xt702v2cc34h https://exploreuk.uky.edu/dips/xt702v2cc34h/data/mets.xml  France  1793-01-27 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 27 January 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 27 January 1793 1793 1793-01-27 2023 true xt702v2cc34h section xt702v2cc34h  

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FRANeoxs, de grands évenemens (‘e prépll‘fint; is an; en I'ELiEItC :

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one je vois, tout c: que j’entends , fur le Chl‘mp ,1 Je vous .en initnns ;_ce one vous
decouvriz‘ez , ce que vous apprendtez , faxes—1e mm favoxr , )6 ie pubhe nu inane.

 

Du dimanche 27 janvier I79 3.

Novvnntns {trait-mounts.

De Cozzflanzz'rzopla , ce 8 decemére. -— Procés-
verbll de [a dc’Zibe’raziorz (16 Z’afimbla’e dc touze [a
nation frangaife d Cozflanrmop/e.

a Les citoyens députés de la nation frangaife de
Confinntinople, ayant eu connoiflance du décret
de la convention nationale , qni décrete d’accufa-
tion le criminel Choifenl—Gouflier, ci-devant am-
baffideur de France prés Ia Porte ottomane , {e
font hfités de convoquet tous les Francais établis
2‘1 Conihntinople , 2‘1 l’et’fet de prendre lcs mcfin'es
qu’exigeoient les circonflances 5 8C 165 citoyems cm—
pitaines des navires marchands frangais, on: eté
invités d’affif‘ter 2‘1 cette alfemblée, on Ice patrio—
tifme , crop long—temps comprimé , dcvoit enfin
prendre fon eflbr & triomphet des obfiacle's que
les perfides agens du defporifine lui oppofoient.

n ,L’afl‘emblée convoquée & tenue 10 S décem-
bre de l’an premier de 1:1 République frangaife, on
a délibe’ré le méme jour : ,

1". Que, attendu 1e décret d’accufation porté

   
   

 

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contre ledit ChoifeuI—Gouffier , ii ne peut étre
teconnn {alas long-temps pour le chefdes Fran—_
cais établis an Levant.

1°. Que, comme Ies citoyens francais ne pou-

.! voient étre {ans chef, i1{emitfable-champ{31'0chch

2i l’éleé‘tioxt d'un Chef ptovifoire.

a: 11 CR réfulté Ie 1a délibémtion , qu’on ailoit
' proceder i cette election an {crutin , lorfqu’un
membte a fair In morion de rcconnoicre pour chef
provifoire lc citoyen Fonrorz, at 52611 prsmier drog—
man 8: confeillet d’nmbfifade 3 il 21 em accueilli :i
l’unnnimité , 8x: Antoine Fonton a été élu pout
chefprovifoire dcs ancais :1 Confiantinople, C\:
Gaudin pour fon fecrétaire.

a: On a arrété enfuite qn'il {emit ptéfenté uu
mémoirec‘t la Poste ottomane , '21 l’effet d’obtenir {a
function pour les mefures Provifoires qui avoient
été prifes; & quc le citoyem minifh‘e {eroit ptié
d’obferver que la nation frangaife de Coni’cantinOs-
ple n’avoit pas cm pouvoir, 8c n’avoit pas pu faire
un meilleut choix , que d’élire pour {on chef pre-
vifoire Ie citoyen Antoine Fonton , pout déttuirc

   
 
   
  
   
  
   
    
   
   

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rims l’ci’pri: es minifires de la Potte, les injures
b‘.’ ridicules imprellions qn’on avoit cerrclié cle leur
dunner contre le patriote Semonville , & pour lui
applanir les voles. 7:

De Vic/me, cc [2. jmzvicr. LC prince dc Co—
lmurg , au farri’r d’un grand Confcil , dam legucl
l’empcr‘eur a deplore rous {es ralens ainli qu: (e5
connoill'ances militaires , a , Clir-on , prorere CCS
paroles renzarqualxleg 2 16 rcr'ienimi m't'r‘, arr/7w
7230.1 lint/den Un fair roujours (les prépararils; un:
arrillerie hrnntlable rloi: unrelrer ainli que la ca?
valerie : {rune-tin] nounult: cleatlrons our 011er
Ll»: l7; ll);i’tre Cr] i11.1‘r‘;l1€ , a la liuire LlCS cinquanrc‘
quarrc qni {our algjfi ntzrzis. Le fuperltc regiment
ties C’.1l'fll?llli0175 C1; .1 ‘nitlucé‘rlberraL111itté‘y7ieiiire;
les carabinitrs d: l’empereur le remplaeznr , mais
11.; he I'iflierunt iri quc lix jon‘s.

D: Brawl/55 , (5 18 jumu‘ur. La nmniCre dour,
illfi1£l’2i lyre-[mt , on exhumir ici les criminelsfi
morr , etoir cllrayanm. Les 1': prelenrans provifoires
clc la ville (l6 Brutelies‘ , Viennenr cl‘adoucir cerre
execution par la loi l’uivanre , pronom‘ée lc 16 do
tremors.

n L’sllbmble’e (les repréfenrans provifoires rle
la ville lilirc de Bruxelles , confidérant qu’il 'doir
fulfire a la vintliére publique , qu’un liomme qui a
encouru 1a peine cle morr , {ubilfe cerre peine {ans
fpe’rularion fur l’étendue & fur la durée de {es
{ouffi‘ances , 86 en rendre l’exe’curion aufli longue
b1; ef‘n‘ayanre pour le patient , que révoltanre pour
l’lmnianiré du fpeéhteur; conlideranr cle plus ,
qu’il e1} abfurde d’erendre certe peine au—deli de
1; peine mémc , par l’expolition ales cadavres aux
lieux pari‘oulaires, abus qui prére £1 la loi fartsfaite,
l’apparcnce cl’un caraflére implacable.

» Elle décrére que la peine ale mort fe bornera,
pour l’avenir , a‘ la feule decapitation , que route
expofirion des cadavres aux licux patibulaires ef‘r
fupprimée, &' que ces cadavres feronr :‘1 l’avenir
enrerrés aux frais de qui il apparrienrlra , 86 {era le
préfent clécrec envoyé an tribunal de la commune ,
your 5’)! conformer , & pour en faire la publication
glansla forme accoutumée. a

La haine des malveillans fe manifcl‘te de plus en
plus contre les. troupes frangaifes par (les alfaflinars
répérés. Avant-hier, un faérionnaire a ére alTafliné,
la nuir, :‘i la porte de l’hépiral Saint-Pierre. Le
meme jour, deux chafi‘eurs de la legion dn Nerd,
qll’on dir étre défetteurs autrichiens, out éré ar—
Iérés tirant fur les fentinelles du rempart. La meme

 
 

 

Scene s’efihrenouy‘ellée flier a mais par fix on fept

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clmffeurs de la méme legion , Hour quelques-uns
font arrérés.

U11 deferreur aurrichien qui , (lepuis quelque
jours, s’eroit lair recrurcr (le la ltgion clu Nortl,
voulut , lumli duffllLl‘, forcer un fiacre «:1 le conduire
horns de la ‘v’lllc. .lre iarre qui connorllrrir le reeru~
reur pour un rapageur, & plus enrore pour un
mauvais payeur, rcl‘irfa Lle lc conduire. La rixe
yen-laugh ; le coclier prononga quelques paroles
ourrageanres , C1; lC recrurenr oxzvrir, tlun coup LlC‘)
fibre, le vcnrrc ale cc mallieureux , qui morirut
pen nprés. Le purple, re‘muin do cerrc arliiire,
voulur lanterncr ce laxglre allallin , mais (les volon—
Lures indignés (lune- pareille arrocire, Parvinrenr
[1 le l‘auvcr LlC la inorr , CV le Conduirenr en prilbn.
Lefoir,lesclubilresontfairl'npoosi: LlC cerneurtrc.

F R A N c E.

Pizrir , cs 2.6. On a fair Cartrir lr: bruit que l‘on
fe porroir encore aux prilons; auli‘i—rot , 1:1 LCM}-
IUUHC a fair afl'ielier le placard litrix'ant:

« Le conleil—géntérul, informé que (les malveil-
lans répanclent (les bruirs allarnians fur la sureré
(les prilons , apres s’étre fair rcndre conxpre de la
fituation de Paris par l’adminillrarion dc rolice , a
reconnu la faulTGre de ces brnirs. Conlitle’rant qu’il
ell: de {on devoir de rendre une jvfiit‘e eclarante au
people, que des agirareurs {e plaifenr :‘1 galomnier
a arreré qu’il feroir envoyé a l’inllanr (les ordon—
nances dans les 48 feéhons , pour donner avis de
ces intrigues , CV invirer lcS buns ciroyens {i arrerer
tous les individus qui fe repandenr dans les lieux
yublics poury debirer (les menfongcs , clans l’in—
tention (ie realiler‘ les complots hurdles qu’ils
medirenr.

§. Les Jacobins envoyent :i routes leurs foriires
afliliées, lc lignalemenr du patriotzdde Paris , be
our ouverr une fouleription pour remerrre une re-
compenfc pécuniaire a qui l’arrétera 3 cepemlanr ,
1i llarreteur el’t Jacobin , il ne lui {era offi’rr qu’une
couronne civiqne CY une mention honorable.

§. Un pretrc a , (lit-on , decouvert a lVIalines,
un dépa: fair dans une eglife , cl’une fomme do
2. millions goo mille livres efpeces de France. ll
feroit a delirer que ce prérre eur le talifman de
de’ccuvrir on 51‘: palTé le numérairc de route 12.
France , rellL-menr rare anjourd’liui clans le com-
merce, qu’on ouvre tie grands yeux quand on rate
1111 écu , conn 3 fi c’éroir unemédaille antique.
Cependant Io. tréfererie narionale en cfr roujourg

beaucoup approvifionnec.

  

   
  
  
 
   
  
  
    
      
  
   
    
 
    
  
   
   
  
   
  
  
   
    
  
 
 
    
  
   

 

   

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§. Rcmarques fizr is 2.1:
21 avril i770. Manage 2‘1 Vienne; envoi de

l’annenu.
2.1 juin idem. Fires 3. Paris pout ce mariage.
2t janvict 178:. litre £113. villi: pout ls nailliince
clu dauphin.

2i j-uin i791. Fuite 31 Vai‘cnnc's.
21 lcptembrc 179:. .Détténemcnt.
11 janvict 179;. Exécution.

§. On cléligne Collot Ll’HCtbois pout {ticczllEut
dc Rolland. duns la dnngcteufi: CV; dill‘icilc place
dc minilh'c dc l‘intétic—ut , mais catte nomination
n'c-ll (lu‘un bruit, on doutc qu’il facrilic- la repre-
fcntation (lu pcuplc 31 l’cmploi do minil’trc , qucl—
qu‘lionomblss clue puillen: ctte ces detniétcs func-
{10313.

§. Le miuil‘ti‘e des afiiites étmngétes vicnt (l’cx-
pétlicr un cozii'rict 51 none amballudcut Ll Loncltcs,
pout lui lignifict {on rappcl.

§. La conduite que l’cx-dépnté Ketfaint a tenu
:1 la. convuniion pendant ces dcrnisrs temps, &
funtout la lettte qu’il a cnvoyée :1 la convention ,
& fiiitplacatder dans les rues , lui out fittil‘é beau—
coup d’ennemis :‘1 ll). fociété des Jacobins, on a
demandé , on plutot on a voulu preparer contre lui
un dc’cret d’accufation. Quelques—uns cles {ociétni—
res, <35 Dclfieux éntt’autres, out propofé i la fo-
ciété de demandct fa tévocation an minillre do In
marine. Entr’auti‘cs griefs allégués contte ce mili~
mite , ils difoient qu’un liomme qui avoit fui une
fois (& ils cn out accufé Kerfaint‘) ne devoit pas
commander fur les vaichaux de la République.

§. Adiczzx dc Roi/and, mini/ire c’e [’inze'rieur aux

corps iu’miniflnztifs , aux/{wists} popzZui/‘cs, :3

20115 fax coming/ens , du 12. ju/zvicr‘.

« Tant que j’ai confervé l’efpoit de {tire le
bien clans man polio , j’y fuis I'Lllié , tout pénible,
tout pétillcux qu’il {Cit pour moi. Je ne l'ai plus ,
cet efpoir , & je dois m’cmpreflcr cle l’annoncct ,
6‘: d’iuvitcr la convention mtiomle dc remcttte
en d,:1'JL’1’€S mains une mlminillration que je con—
fetvc depuis long—temps , nu milieu dcs clégofits ,
des nuini‘tumes & cles lioi'reuts. Je penfois clue
ma fitléliré , mon zéle, mon dévouemcnt , quel~
qucs luiniét-ss , une longue expérience clans la
cattiére dc- l’ndniiniftration , l’amour le plus pro—
fond de la patrie , pouvoient me rcnclte lmbile al
In fetvir utilcment 5 mais il n’cft plus aucun bien

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:1 fine, aucun bonheut a tcntet pout fes COHCl-

   

  

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toyeus , {ans lent confiance. Je l’avois acquife pat
cctte Meme conduite qui me l’a fait petdte. Ce
n’ell pas moi qui :ii Changé, 8: ccrtes, je ne
VOLILll‘OlS meme pas changer pour la tcconquétir 3
car je n’ai en d’auttc but que le rigoutenx acquit-
temcnt cle mes devoits , ci’auttes principes que la.
jullice , cl’autte objet que le bicn do la patrie.
(littc invarisbilité ni’a liifcité cles cnncmis; ccs
enncmis out Clcvélcurs calomnies contra moi;
8c Ll fox-c: dc [:IIOUVC‘llCL‘ lcurs clumcuts , ils font
cnlrin atvc-nus Q1 wrvsr'zir [’0 iniorz Ll fumércr leS
lbupggns lcs plug injull‘es écpmcm; lc—s Ellis titli—
cults, (X Ll fomcnttt contrc— ma petfonnc les agi—
tations les plus nmlvcillantcs. 51 mo. pttfcvétunce

étoit utilc Ll la patrie, Jo faurois tclll‘cr ii ces
manmuvtes toutcs pctverlcs qulelles font; je fau—
tois moutii‘. Muis cn vain j’ai appellé fur nu téte
dcs dc'noucéuzions pra’cifcs,‘ cn Vain j’ai cléfié lcs
gens qui m’inculpsnt dc cite; dasfiu‘ts : on s’obl’tine
{1 divaguct 6‘: :i n‘i’accnblcr. Il flint un tctn‘iesl taut
d'amettumes: ma prél‘cnce fatigue , j’cn connois
les raifons, j’en txpofe quclques-uncs dansma
lettte i la convention nationalc 5 je lcs dimi routes
quclque jout. Mais on to moment jc n’;;i plus qtfi
me renter && in’e/zw/opper dms 77IOIZI7ZL’IIZlCL7ll. . . .

79 Aptés les regrets bicn légitinies de ma pouvoit
plus confucrer mes veillcs :‘1 ma pamc , j’ai cclni
non moins fenliblc . o'e rencncet aux relations qui
fulzlilloicnt cnttc nous, 8; quiJ je puis l’attellt—t
:wcc joie , ret‘pitoient en génétal l’amout le plus
put, lc plus ardent de la cliofc publique. Jc vous
intcrpcllc donc , vous tous mes coucitoyens , :wcc
lefquels je les ai enttctcnucs, cle (lécl'amt s’il y
exille ls: moindi‘e prétsxtc aux imputations groliié~
rcs 8c petfiu‘es clout on :i ptétcnilu lc‘s uric-t, en
m’acculhnt ci’ufc‘t dc cc rcflort pour égarer & cup—
tivet l’opinlon. Vons dcvez cettc declaration zi-
gourcufe ', vous‘la devcz Ll. la panic , fl la jullice ,
enlin ti nu conCitoyen qui, rcmré clans l’liumble
obl‘cutité Clout i1 ne fortim plus, cloit qofitei‘plei-
nemcnt les conlolations cl’un EIIE fans ieproclae. :9

CONVENTIONNATIONALE.

Fin dc [’zu’rc :3 dc [d convention antic/mic mus

Frun’cais ra}~:zfi/icai/z:.

a: Tels font les {entimens de vos rcptéfcnmns -'
ils braveront tous les dangers, toutes les menaces‘,
comme ils out bi‘nvé tous les préjugés; 11$ s’oculo
peront fans telfichg de la défenfe générale 8: des

-‘ z a"; .t."1::m,, w w.‘ < . .t ‘

   
   
   
  
   
  
  
   
  
   
   
  
   
  
   
  
   
   
    
   
  
  
 
 
  
 
 
 
 
  
  
 

    

  
  
   
  
 
  
  
  
    
 
  
 
 
    
  
 
 
 
 
 
 
  
  
  
  
 
 
  
  
   
  
 
  
  
     
 
 
  
   
   
    

V (
finances de la Républiqne. On nous menace de la
guerre avec cle nouvelles puiffances. Ciroyens,
vous l’avez déji clit , pour relever le trone , il faut
dotruire la nation euriEre , il faut renoucct 51 la
conquére , ou s’a-ttendre :‘r regncr fur (les mnemis.
La llbcfté ne veut que des guerres coutres & ter-
ribles; 8C In libetré no compte que des viC’loités.
Soyez debout devant l’Eurnpe étounéc; que la
nation {e léve encore unc fois tour cuticre , 6; les
cololles defporiques vout s’écroulcr ut eux -
memes.

=2 C’ef‘t pour vous , citoyens , c’eft pour votre
liberté que vos repréi’enmns bravent tous les jours
la mort. En nfiiihnt aux fnnémilles de le Pelletier ,
nous allons tous juror fur la tombe de cette vic-
time do l'opinion republicaine , de fauver la Pattie
8c la patrie {era limve'c. Celt dans cor afyle de la
mort que nous allons cle'pofer routes les lmines para
ticuliéi‘es , c’cfl clans le Pantheon frangais que nous
allons juror 51 la nation, inquiete & aflligée , de lui
dunner bicntot une conFriturion {ondée fut: fesdroits
imptefcriptibles. ‘

n Si 51 Rome un ami (le Céfar parvint 2‘1 émou—
voir le pcuple en agitant la robe enfanglnnrée djun
ryian , que me doit pas attendre la convention
nationale pour la Farris , en découvrant au
pcuplc francnis le corps enfanglanté de l’un de
fes défenfeurs P n

Se’ance du fizmedz' 25 janvier
Prélidcnce du citoyen Rnbaud.

Deux dépurés , tepréfentaus des deux Flandres ,
denmnclent la fufpenfion des décrets des 15 8;
17 feptembre. Reiwoyé nu comité diplomatique.

‘ On décrore la lcvéc dos fcelles appofe's fur les
papiers dos dircéreurs _du comité des achats , pour
qu lc fervxce ne foufire pas".- U

On décrére que trors legions Belges & Lie—
geoifcs, nouvcllcmenr créees, {Grout deforniais

ayées fur lc Pied cles aurres EL‘OUPCS dc la. Repu.
liliquc. .

Lli‘vlarriniqtic 8; lnGuarleloupe re font miles en
étar d’infurreétion , CY les gouverneurs our {mt tlé-

otter on France tons ceux fuipcclés tle civilime
6C do 25:15 Pour la revolution. La convention

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