xt72rb6w115x https://exploreuk.uky.edu/dips/xt72rb6w115x/data/mets.xml Lecerf, Pierre-Louis France Lecerf, Pierre-Louis 1797-11-07 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French [Paris] (rue de la Feuillade, près la place des Victoires, n° 1) : de l'imprimerie des Tablettes historiques, an VI = 1797  This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1800 Tablettes Républicaines. (No. 1) 7 November 1797 text Tablettes Républicaines. (No. 1) 7 November 1797 1797 1797-11-07 2023 true xt72rb6w115x section xt72rb6w115x   

.‘des

46

    

 

 

 

17 Brulnuire an L3

 

Cour; (19: changes , expéce: at marc/umdises d1; 16 Brrmmz're.

Amst. 13°30 i ’15 5/4.-—go j. 56 SH. Lausanne, 1 1/2. — an p. 7
11/. 1:0:111111t, 5113/4. -—5ti ,71/4'.

Ht: '

[Jule , 21). — 1/4 0/0 13. 121i

     
 

»- 13 1:1 1/ ti. hyou, au p.20.

 

1". — 15 15 2 (3. filarscille, au [1. id.
17112176. llordeauxfid. 15‘.
111.61 1', —— 15.

Genes, 951/2. —33 1/2.
Livourue, 103 1/:;.— 102.

hon 3/1} 51.1260311. 2 676
E1111 1/4. 521. 10 5. 52 0/0 p.
NOUVELLES INTERIEURES.

Bruin/712.1, 4. mover/113m. — Los parens (le plusieurs ab-
sens bolaes , s‘appuy‘..11t sur l’at'tif‘le 9 du traité de puix
connlu entre 1:1 republiqu: 1'1‘11n1311ise et sa majesté l’em-
pei'eur, so sont déj 1 1111' “9512s 1111}; administrations centrales
de leurs (lépat‘temeus respecl‘il's , 1'1 i‘efl’etd'obtenir 111 main—
1evée du séquestre mis sur leui‘s biens. Les Charges 1121111111138
(163 générauk autricliiens, comm de‘Clairfiiyt, baron de
Beuulieu et zuitres , on out Eiit autant; mais nulle disposi—
11011 1111 pu e'tre portée sur leur demunde prémuturée. Les
administrations out cru devoir e11 rél‘érer avunt tout an
gouvei‘nexnent , et en attenclre de simples instructions pour
Ieur servir de ‘égle de conduite dans cette circonstance.
L'mi assure (l‘uilleurs qu'il sera (Embli des formalités que les
abseus qui voudront rentrer dans-leurs foyers seront tenus
Ll'olmerver ponctuellement.

L’o 11 mzmdo d'Amsterdam que le comité de marine de la
république butavo a envoyé l’ordre au Texcl (1e metirre
le plus tor. possible en état de service les l):’1ti1nens de
guru're , rentrés duns ce port , 51 la suite (111 malheureux
combat du 11 octobre. Indépendzunment do (‘0111 , 1e gou-
verncmeut hollmulais s’or‘cupe des moyens les plus effi-
cmes pour armer promptement d’autres vaisseaux , afin
113 pmivnir mettre en mar une nouvelle escadre , qui se-
cnmlemit les el‘t‘orrs do Celle de la republique frangaise ,
.destinr‘c 1‘1 cffectuer une descente sur les Cotes d’fmgleterre
ou il'filrlimde.

":1 a

  

M
PARKS. .

1.1: miizz‘stre (lg la police ge’mimle do [a niinfliiit/ue', aux commis—
J‘ru'rcxx' £1,111 (Ii/7.111011? mat-1111f pre's [cs «Izmirzii'n‘ations tantra/cs ct
7/1mzicipalea‘ dc In. re/Jltb/z'i/uc. ‘

Paris , 5 brumaire an 6.

11.1 revolution, citoyens, a developpé, (111115 105 angais l'instinct
1112 vel‘tu ct 11111310151711: (111i vit toiljours au ('ceur de l’ltomme , muis
1111i ne put 11151101 11': son ézzlat réel (pie dams les actions 11a l’linmme
1113.19. 1510 en a sponuluément 1311: an peuple :‘1 111 fois t81‘1‘11)10 et
géuéi'eux, l‘el‘l‘i'oi 1le tyraus , 1e consolateur et l’uppui dos op ri—
nlés; clle a, en 1111 11101;, crée 1:1 grantle nation, Fobjet de lad-
‘1ni1‘a1tion , ales voeux et (les espét‘unces 1111 reste du momle.

Minis , niusi (11181111011111107 le corps politit us a son elifalice; Tun
at linutre sont 50111111511 11! murche immuable de la nature, quine

Prnilnit at me pert‘cttiouuc que 11.111513. succession des temps.
at 1011 (levuit s’y attondre, 1;). premiere 1mpuls10n

311113 11mm: ,

. _ (N° Ier.)

195 19:] 1/2. — 192 1/2 193. Louill‘es , 26 1. 17 s. 6.—26 l. 1,2 5. 6.
l

11 “tript. 91. 8 15 s. 12 G (1.8 109.

‘ des couleurs do. 111 liberté;

  

 

 

Or [in , I’once , 104 l.

Argent, 511 1. 10 s.

Iliustre, 51. 8 s. 6.

Quadruple , So 10 5..

Hucat, 111.10 a.

Guinée, 25. (5.

Souverai :1 , 54 l. 5 5.

Cafe mart, 44 :‘1 45 5. la 1.
St.—Do111iugue , 42 51 43.

Sucre d'Orl. 4t 5 .44:
d‘Hamb. 45 £1 48.
Savon dc Mars. 16 s. 5.
thrile d’olive, 23 A 24.
Cot-on du Lev. 56 1'1 5/;
des lies, 5.; 5. 513 l. 4.
Esprit 3—6, (510 11 (J15.
Eau—de—vie, 22 d. 420 i 450:
Sel, 41. 5 s. 51 10 s.

1105 habitmles de quatotze siécles,
itlécs rcligicuses exulusivement dominatrices, aveuglés par les réiu~
gos (l‘uue (Education senile, engout‘dis par des jouissumhs privilEgiées
ct 11131‘13dita11'os ([u'ils ont craiut ou regretté de penile; ceux—la'i ,
dis—{e , ii’ont pu d‘nbord s‘elever £1 cette gmrulc et premiére pensée
de a revolution qui 11 voulu généraliser 111 Somme dc bonlieur é
lurpielle 11101111116 a la (110i: diaspircr. D’autres, révoltés nu premier
cri 11:: iberté 1111i s’est liiit entendre, Se sont préuipités c1191. 1'15.—
tmnger dout 115 out mendié ['01 et. le fer p0
le111' patrie , ct la remettre sous leur' joug
D‘fiutren 1-1-Hn , mettant 1'1 profit lcs circonsta
occasion beureuse d'arri
51 111 dug'iinatiouj.’ p

enchainés de‘s 1e berceau 3'1 deg

v.1 revenu‘ eusanglanter
insolent et oppresseur;
nres , n’y out vu qu’une
ver plus Vite 31111 fortune, aux houneurs at
our mieux e11 imposer , ils out max‘ché revétus

et pauc-étre l'aumient-ils étoufféc 111111:
leurs étreintes cruelles , 5i 1:1 Iiberté ne les e1‘1t terrassés eux—mémes;

De (:9 choc, 'usqu’alors inconnu, (1e préjunés et de passions mis'
en ferment par la revolution In plus profon e dour liliistoire (les‘
hommes Passe mention, sont resultees (lea résistances, des reactions,
e1; enlin la guerre civile ct 1a guerre étrau 'xre avec tous leurs fléaun

Cepemlant nos enuemis, toujours d‘iutefiligeuce pour nous égarer:
(111115 1:1 route et 110115 detruire en nous divisant , 50 sent, entr'autres;
moyens, splrt‘iaiemeut attaches :1 déverscr sur la liberté elle~méme.
les el'tets 111-5115312113 , soit de 191115 propres fureurs , snit des ririzonss
muces , 50111105 vices particuliers do quelques scélémts 111111311135 (111‘
110111 1111011111112. 115 on: allecté sans cease (le confomlre les chose},
avec les priuripes. De (:13 1111.11 a purl , dans les 0111325 (10 1.1 1&1
volution, (les liommes pervers , ils out voulu (1-,1’011 cu conclue ([113,
1:1 revolution elle—mém: ue pouvait p1'»duire que (lcs fruits timers;
qu’elle ctuit l’u-uvre 11:1.- méchims, et que scs amis et ses soutieng
ne pouvuicnt éti‘e que Ms mét‘lians.

C’est (1.111s cet esprit (l‘llJ ‘73 5 les aw,
traits (is sung lcs (mac's qui 1,
lution , 0311135 11011: ils szivaicnt .. 11113111311115 gémissuient.
p111» (pi’eux. 115 out Fait plus ; no . 5 avcz—vo s pas vus muvrir d‘un
voila ollit‘ieux , que dis—‘19, 119511111121 1/:3 crimes enfantés par 1111c‘
rém-tiou qu‘cux seuls out remiue bialvuse .nt 1.11.116 1‘1 111 putrie?

Pour ai‘hcver (11: Llissipcr 1e prestign 11e t1u1t de 1101'11111mtioiis, ii
sullirfit aujounl‘hui de presenter lid-tut de la Franve aveut ct depuis,
1e 18 fI‘UL‘tidOT; il sullirait (le montrcr 111111 1:61:13 la 11% ul>li¢p1e iiagtu'vra,
11101111139 (l'émigres et (le prétres rubelles soullhut e routes parts 1:.
fllSFOI‘LlB , 1:1 vengmnvé et 111 111011: ; et la panic préte é SUCCOHIlJCI‘ sous}
leurs mups punitides; de litutre, 1e souveruement (111,011 vouluig
(iépouiller dc tout umycu réprcssif et conservuteur, s'au‘maut tout—
;l—Ltoup de 311 vertu, appuyé sur 121 volontu nationalc , disperser avec
la rnnidité de 111 fouure la tourbe 110 5135 cnuemis; magnauiime eL‘.
clement 11am; 111 victoiro , respetter les jours méme 111: 595 bourroziux '2
ean la republique repliu‘ée smirlain et allermie 5111‘ 111 111159 inelimn"
1411316 110 1a vérite , dc 1:1 force at de la justice. Mais il est 1111 moyen
plus dé1,:isil'encore dc coutimdre res suppers merceuuires de la roynuté ,

 

ma s'aclmrner 1'1 pcindre‘en.
‘ ms époques (112 1.1 revue

 
    
  
   

Ct ie 111’e111p1‘esse (1!: W115 1111111111161.

 

Llu 111011vemont régéuerateur

n’a pas ugi 5111 tous les Frangais en
meme temps ct avec une égetle cflicacité; Lcs 11115, 51111111511123 par

Des oatmnbes tie /a terl‘t'm‘ 115 out cxbumé 11nc 1'1 unc ses Vic-J

times infortunées; 115 on: émlé gm 13 [0111111 la Ipbe gixiauslanté‘g

  
 
 

  

 

lzl ’

In tvran; lung-fernpa iis n‘om: ofl'ert et reproduit £1 nos rcgsrds
que les dégoutanles images do ruines amen/telees, tn.11:lis quuux
‘mémes instans ils étenduient sut- tous les republiatains le crepe de
LI destruction. En opposition 2‘1 leurs tableaux perlidcs,1nettons uu
grand jour les attentats du royrzlesme. Déroulous , s‘il 5e peut , la
iste épouvantable dos républicuins tombés sous son poignard 1101m—
(‘ide. Le 13 vendémiaire -et le 18 fructidor ont nssez lprouve que
les républicains qui savent combattre , abundunuent 51 cuts lzirhes
ennemis le moyen atroce de se venger en assassinant. Nos inten—
tions , dams cette circonstance, ne pourront donc étre dc’nuturées;
mais nous parviendrous ainsi £1 convuincre les hommes foibles 0L1
irrelléchis , que si les crimes dc [a Lerreur appartiennent i1 quelques
féroces usurpateurs , les forfeits du royalisnw appartiennent 1‘1 clu—
cun de ses sectaires, ct quils (lecouleut de leur systéme et de leur
moralité. Enfin, nous démontrerous que 111 liberte, lille du ciel ,
source pure des vertus publiques ct privées, abhorre route action
qui niest pas (litns la. loi, proscrit les vengeances individuelles ct.
annthémntise les assassins.

' Je vous charge de lhire dans votre arrondissement un relevé exact
et nominatit'de tous les attentsts commis rant sur les pcrsounes «[ue
sut les propriétés publiques et particuliéres , par esprit de vengeance
et e11 huine de 1.1 républizlue et des républicuins. Vous me feroz passer
ce travail aussitot qu’il sera terminé.

Salut et fraternité , S o 'I‘ t :1.

———Le général Loiseau part pour prendre possession de
Llatrenca , nu nom de la republique frangaise. Les Villes
de Tréves, Spire, Coblenta, Ehrenbreistein et Newied,
sont du nombre de celles (lont la république prend ou
conserve la possession jusqu’ii la conclusion du traité de
Iiustudt. Il en résulte pour la France tous les aVantages

attaches £1 la navigation du Rhin. Cologne et Bonn res— '

teront 2'1 l’Empire.

—-— Un journal (18 Milan annonce que le directoiro exe-
cutif de la république cisnlpine , a ol'fert au généml Buo-
napurte la terre de Montebello, on les négociations ont
eu lieu jusqu’au temps on elles ont été continuées 2':
Udine.

CORPS LEGISLATIF.

CONSEIL DES CINQ-CENTS.

Présidcncc de V I L L 13 n s.
Séance {Zn 16 brnmaire.

Sur la propostion (1e Luscoure , le directoire est autorisé
é e'clumger la maison de l‘Université et celle des Feuillun-
tines contre le ci-dcvuut hotel de Custries.

Lerlcrc (de Blaine et Loire), on nom de la commission
churgée d’un travail sur les institutions républit-aines,
fprésente un long rapport sur les moyens d‘imprimer un
curactére moral, politique et religieux (111x principaux
actes civils. La politique et l'exemplc de tous les peuples
instruisent 1'1 marquer, par l’éclut des cért’nnouics publi-
ques, les époques de L1 nuisstmce , de l'udoption, du
maringe, du divorce, (les iul1u111uti0ns , de linseription
civique, etc. L'idfie d'un litre Supreme , rennu'iéruteur et
Vengeur, celle do l'immortalité de l’znne, doivent se meler
£1 toutes les fetes, etc. '

Le rapporteur propose une série d‘nrticles conformers £1
ces principcs. Le ronseil en urréte l'impressien nu uombre
(19 six exempluircs. Nous donnerons, £1 l’époqre de In
discussion, une analyse plus 15tenrlue du rapport et du
Projet 1pm lcur importance no permet pas de trtmqur‘r.

Orgune (Iv: 1:1 commission des finances et dos depames,
Fatbre fait adopter un projet qui rcgle le mode d’i'upo-
sition et dc puiement dcs charges dépurtementnles, muni-
cipnlcs et counnunales. En Voici les principules dispo-
smons :

 

1°. Toutes les de’penses de la re'publique seront distin‘
guées en quatre classes ,

Dé-penses générales , dépenses départementales , dépenses
des administrations municipules de canton, dépenses com-
munales.

2". Les depenses générules sont celles de l‘indemnité (les
électeurs, du corps législatil‘, des archives nutionales , do-
muniales et judiciuires , du directoire exémxtil‘, de ses com-
missuires pres les udminislrutions et les tribunaux, dos
ministres , de la lmute cour do justice, du tr1bunal de
cessation , do let trésorerie nutionule , dc la comptabilité
nutionale , de l’institut national , (les ecolrs S])é(‘l&LlCS et du
service public, de la gendurmerie nutiouulc, de lilli‘JtCl
des invalides , de l’liotcl (les eufims do L1, putrie , de l‘im-
pression et de l'envoi des lois , do let guerre , (le l.1 murine,
des relations extérieures , de lit conl‘cl‘tion, entreticn cl:
l‘épflrdtiOI’l des grundes routes sur lesqtu-lles le droit de
passe sern étubli; de la navigation intéricure , des primes
et encouragemens it l‘ugriculture, 1111 connnerce et aux
111 ts; de lil bibliothéque nationule , du Musteum, du Jur-
din (les pluntcs , des hotels des mommies , de la régie des
poudrcs et salpétrcs , des manufactures nutionules , dc lit
(lette publique.

5°. Les dépenses départementules sont cellos dos nd111inis-
trutions centrales, dos tribunzulx Civils, criminals , cor:
rectionnels et de commerce; des écoles centrules , do
l’entretien et reparation dos édifices publics et des prisons.

4". Les depenses municipales sont celles du bureau cen—
tral duns les communes o1‘1 il y a plusieurs municipulités 5
dos administrations municipules , (les jugws de puix.

5". Les dépenses comumnales sont celles des écoles pri-
maires, des gardes-cluunpétrcs , (les emretiens do puvé ,
voierie, et toutes autres qui n’inte’ressent que lat com-
mune. ‘

6’. Les clépcnses ge'ne'rales sont réglées cheque année par
le corps le'gislutil‘;

Les dépenses départementales seront réglées clmq’uc
année , sur lit proposition des :11l111inistrations ccntrules, par
le ministre do l‘intérieur , et d'uprés les lois relatives 51
cltacune d’clles ; '

Les dépenscs municipales et communales seront réglfies
par les administrations ceutrules, sur la propmition les
ad111inistrrtions municipales , ct d’uprés les lois relatives 21
chucune d’elles.

7". Les de'penses ge'nérnles seront supporte’es par tons les
Francuis , et acquittées par la tr:'-501‘erie nznionatle ;

Les dopenses dépurtementales seront supportécs palr les
seuls hubittms ou propriétuires de clmque (lepurtement ,
et puy‘ées par le rcceveur du dépnrteiuent;

Les defenses municipales seront supportees par les seuls
habitans ou propriétuires des communes qui forment le
ressort de la Inunicipahté;

Enlin les dépenses comunmales seront supportées par
les seuls lmbitzms ou propriétuires de '17I1sque commune.

Les dépenses municipules at c-gmmurmles seront ac—
quiltées par les percepteurs (les c<.:11111111nes.

8’. Les administrations dépurumeutules imposerortt ,
par addition it leur contribution fonciére Cl‘. persomielle ,
la sommc :‘1 laquelle s’éléveront leurs dépenses, telles qu’clles
nuront été ztrretées par les ministres do l‘intérieuret «is
1:1 justice , jusqu’h concurrence , et suns pouvoir €.\(Tétl€f
les 2 sous ou 10 centimes pour livre du prix‘itipul (les deux
contributions. , -/

9°. Chuque dépm‘tcment imposera en sus dos sous 0m

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centimes ac'l'ditionnels nécessaires pour ses ’dépenses , 1 sou
on 5 ccntilnes pour livre du principal de sa contribution
fomiére et personnelle. Ce fonds sera destiné ,

1°. A. accorder des suppléinens aux départemens é qui
1e maximum de- 2 sous pour livre ., réglé par l’urticle 1X,
ne sul’firait pus pour leurs dépenses;

z”. A faire face aux décharges , reductions , relnises et
moderations a accorder sur la contribution fonciére;

5". A subvenir uux secours effectifs a accorder pour
gréle , incemlies , inondations et autres accidens;

4°. A la dépense des travaux relatifs a la confection
(les TOlOS.

10". A l‘avenir , et a compter de l’an VI , chaque
lnunicipulité enverra é l’administration centrale ,

‘ 1°.-L‘<':Lat de ses dépenses udministraLiVes;

2°. L‘état des dépenses particuliéres a cliacune des com-
munes de son ressort.

L’atlniinistmtion tlépartementale examinera , réduira ,
s’il y a lien , et ai‘rétera ces deux états, et les fem repasser
a l'allniinistration municipale.

1 1°. L’adininistmtion mnnicipale repartira , an mare la
livre (les contributions funciére et peréunnelle de toutes
les communes de son ressort, la sonnne fixes par les
dépenses inunicipales.

12°. Elle réparrira ensuite séparément sur cliaque com»
mnne la somme Jixée pour les dépenses comniunales do
chacune d’elles.

CONSEIL DES AI‘ICIENS.
Présidence de Lsconms — SAINT - MICHEL.

Seance d1; 16 [lrumszire an. 6.

Le conseil approuve une resolution rectificative d’nne
erreur qui s’est glissée dans la loi sur les patentes.

Depuis trnis jours, la discussion s'est ouverte sur la
resolution tendant £1 destituer les comxnissaires de la tré-
sorerie nationale.

Nous crayons faire plaisir aux Iecteurs en leur mettant
sous les yeux les (lenx opinions contradictoires les plus mar-
quantes qniaientélté émises relatiVemenl ii cet objet , et dont
1:2 mmseil ortlonne l’imln‘ession.

Marbot soutient que l‘arrété pris par la trésorerier, le
5 Frimaire, n’a été imagine que pour donner a la compa-
gnie Dijon le moyen (l‘enlever (le toutes les caisses le plus
cle manclats possible. A .l’époque on fut passé le traité (lit
5 niVose , la netion n’aVait aucun‘intértit a le faire. On pent
done croire qu'il a été diuté par des vues particulieres, ct
cr‘la est d‘autant 'plus Facile a croire que les ef‘f‘ets de ce
trairé ont été extrémement désustreux pour la nation.

On a parlé (les fautes que le minislre des finances (Wait
a se repi‘oclier clans cette affaire. Quels que soient les torts
tlu ininistre des finances , ils n'efifacent pas ceux dos com-
lnissaires de la trésorerie. ll n'en résulte pas moins que le
traité a été fait sans la participation du ininistre et du di<
rectoire , et qu’il appartient seul aux connnissaires de la
trésorerie.

Ou le traité do 5 nivose est un nouveau traite’, ou il est
line: suite (1e celui du 18 Vex‘idéxniaiz'e. o‘i c‘est un nouvel
acte , les connnissaires (le la trcsorerie onr. Violé la loi , en
ne le soninettunt pas a l’approbatioa du (lirectoire. S‘il est
une suite de celui du 18 vcndélniaire , il Pant qu'ils avouenz'
qu‘ils ont ouvert eux—xnéines quarante nouvellcs Caisses do:
(léI'nu'tenzens a la compagnie Dijon.

'- Marlmt parcourt ensuite les autres chefs d’aecusation

5)

qu'ils ne se sont point justifies , et qu‘ils doivem étre (Yes.

tituef. Ce n'est pas a quelques négociations particuliéres ,

ce 11 est pas 51 la crainte de renverser quelques reputations"

ban on mal acquxses que nous devons nous arréter. Ce qua

nous'deVuns nous delnander , c’est si les cominissaires de '-
la tresorerie ont bien on mal adininistré. Si la negative est

prouvee , nous devons les reuvoyer et les remplacer par

d'autres. \

Nous devons d’ailleurs consulter l'opinion publique ; elle
nous Lllt que les principes et les opinions (les commissaires
de la trésorerie ne sont pas les nétres. Je ne partage pas la
manlére (le voir de ceux qui consentent £1 fuire administrer
la x'épublique par des royalistes ou (les hommes sans cou-
leur clans la revolution. Quels que soient le talent et 18 me-
rue de ces honnnes-léi , je n‘en veux pas.

11 me faut pas qu’il y ait une seule place qui ne soit occu—
pee par un républicain. C‘est parce que vous. n’avez pas
adopté cette maniac de voir avant le 18 fructidorr, qua
Vous avez e'té obliges (l6 Fairc cettc journée. Eli bien! fuitcs
un 18 ..fructidor dans la trésorerie , et chassez -en ces
hummes, qui ressemblent plutot aux connnis de la conr
de Blancltexnbourg qu’aux agens tlu trés-iir national.

Marbot jette ensuite les regards sur l’état de l'adminis‘
tration générale de la république. Des bruits sont répandus ,
dit-il , que le directoire s_e laisse mal entourer, que les ini-
nistres ne purgent pas les burcuux de tous les hommes
entachés d’aristocratie, qui le souillent encore. AVez-vou;

' jeté un regard sévére sur la direction de la liquidation ge—

nérale de la rlette pnblique? Etes-vous snrs qu'il n‘y ail:
que (les republicains? Vous étes-vous assures que ce no
soit point (les émigrés ou des amis d’éinigrés qui composent
la direction de la liquidation de la (lette des émigrés E’
AVez-vous ieté les yen); sur la comptabilité , et, Vous étes-
vous assnl‘és qn'il y ait encore un republicatin? Fires-Vous
certains qu‘il n’existe plus diagioteurs , de marchunds d’aro
gent dans les bureaux de la trésorerie 2’

Citoyens , j’ai ouvert la ('arriéi‘e, et je la poursuivrai
jusqn’ai ce que nous en ayons ('ilizftlg, , non-settlement les
lionnncs douteux, xnais tout ce qui n‘est pas républicain
jusqu'a l'évidenoe.

Si, nplés avoir jeté les yeux sur l‘e'tat (le l‘aélministrao
tioe, je porte Ines regards sur la liberté individualle, sur
celle (le la presse , je n‘aurai peuI—é “e pas 11101313)? plaintes
a Faire cntendrc. ”it est la liberté indixitluclle , si un mi-
nistre pent {Zaire incermirer un liomme , pal-re qu’il aura
Inal parlé (l‘un dc 5:35 mllfigues 3’ I’ense—t-on que la loi , qui
a Inis les journaux sous la surveillance (lu Iniiiistre , ait eu.
pour OleL‘t de sez'vir lcs passions (lu minisire on les ven-
geanrcs et le (lcspuzisme ale S-‘S commis 2' .li‘xTiit‘i'OHs-HOUS fair.
la revolution quc lunar en rcvenir aux leitrcs—de-Carhet (lo
Ill. Saint—Flt rentin, que pour baisser 16 front devant les
lmmmes en plnr‘e 3’ ll me semble que lo conseil i'liS Final—
ccnts 11'a (pas assay. llit attention a. la reclamation qui lui a
élé zuli‘essec , ii y a quellluc temps , par un journaliste 1m.-
nacé duns sa libért". , (lane. sa propri/rté , pair onlru {in mi«
nistre (1-3 1;: police: les journaux sont sous la main till mi-
nistre ; mais (‘n n‘est pas pour les emptrlier cle parlor.

Il est encore bicn (l‘aui’res rol‘orines .1 {hire : pourquoi les
ininisti‘es sont—ils entonrés dune foulc dc ('onseillczrs sala—
ries, qui ne conseillent :‘ien?

Pourquoi cutie f'oule (Fig-genres inutilcs , et qui content)

 

(les sonnnns énm'ices ? POP-1‘4 noi les EUIPIIS du (lenartement
D x

(lo. l‘intérieur sont—ils si nombreux qniils or‘vnpvnt quatre

portés contre les Ctmnissaires de la trésorerie; il trouve a cinq mille mans-ans dam; in xépnblique ? Pourqu 3i un

 

   
  

 

 

 

dons ce traité meme, dit Lnussut,

-v1.11ll11rent ar‘célérer l'exécution (In truité;

 

 

$115 M2 'mmj. '1 aim11111)111‘1..—t-ilnos fce'gates entre les 11111113
111;. 111. -1'l1:11.\1Is ? Nos I'L"_r gates entt‘e l12s 111111113 dos 111111-
("1 mods I Iii les s.“ .ront Vendues 1111.1 Angluis avant do soitii.
rl ‘ no: ports. Pourquoi sonnnes-nous soul Lis 1111x1111lle voix
1111i nous disent que l1'11or1'uption est 1'1 route 5 ins portcs .
q‘nolle assiége' les ministres , quelle empoisonne tous les'
111111191163 1‘ Si1isissez, citoyens , suisissez les coupablr-s , 1i)
1111611111121111ute dignité qu ils soient rev elus et -11€L1p1te=/-sle
1"l111s l'iuI'umio. Jevvous propose (l1: commenc 12:1 cet‘m réor-
“IIIISILIIOH indispensable p.11“ approuver 111 resolution (111i
1111 lebjet des LIL-buts.

L111‘11-11‘at.11n1= voix 11 retenti 11 mon oreille; les comin‘1s—
snii‘cs 1112 la trésorerie nont point ici de delenscurs . si, ils
en 11111 ont do Piers, Ll'i1'1t1'1‘pi11115 ; ils y Li‘ouvei'oni: 1'11-5
I”::i‘ sages, impur tidux, )leins do fen at d 111térL‘t pom
i innocence ; Lie. gluce pour les préventions , les 1221111.; '2-

..:ions, les innomtions, les sectes, les systeinas. II. L‘al'.
mus cotte Vonte cloux VOiX. tonnuntes qui y promudront
131111111111e111e111, la conscience lnunaine at 111 Volunté 1111-
tionale.

Luussat recherche ensuite quel était l'état 11c 111 tre'sot‘et'ie
nu mois do frimuire (le1‘nier : ii 112 t1‘ouVC dnns lC rapport
1'112C111nus,1;1pRort dont ne peut, dit- il, 'suspecter luustv-
1il.1". ll n'y av.1it point d'in‘gent, 111 ni'cessité s'cn I'.1is.1it
sent: "1 (l1: tons 1:51.35: plusieurs 00111])11"11ies se 11119511111111.1111;
1- llns 1211 (111111111111, Innis c'1 Lies conditions (111i devaient néce s-'

suirenlent étre désannintageuses pour le trcsoi Public. 011
I).1l.111111, 1n.'1is le besoin 11'11rgent l’emportu‘ . ce mot sulfit
110111 nbsoudie 1:1 trésoreiie.

lVIuis ils soumii out Get arrété {111 dire? toire , et olJtinrent
son approbation. Si 11116 In ClIlI("J.6 I'1111te 1'11t cominiso clans
1: cite 111F11i1‘e , 12 est celle du ministre des finances qui 011V1‘it
1'1 luncompwtnie Dijon les caisses Lles Ll.1"pzn‘te1n‘ens suns l.1
P1rlicipzuion et .'1 linsn do 111 trésorerie , (1111 sutt1ibu11
.1111si lL‘ lnouvcment des fonds que la constitution 11V1'1ir.

exrlusivement réservé aux comnnssaii‘es (112 L1 t11‘1101ei 113

On .‘1 attuqué sur- tout l arrété 1111 5 nivuse , 1110i 112 trouve
la preuve 1111 ii 111511'
conclu (Inns des intentions droites et pures. Ii 11 est point,
(‘omme on In (lit, 11ne extension Llu traité 1111 1S l‘riniuiref
il 1113 prouve rien autre chose , si 06 n'est que les mininis-
snires , sentunt Jnieux que porsonne lcs besoins 11'11rg1-1'1t,
lquils 111‘. vou—
lux'cnt p113 donner .’1 la compagnie Dijon pl us 1111 ii 1112 lui
rev'en111t,1n.‘1is qu 'llS VOUIUI'F‘I'II. ilLlSSI fiflle Vv1'51' L i' ‘I I1 (" .‘SOI‘
(luns le plus bref delai possible, 112 million (11 numémire
11116 la compagnie Dijon d1 V..1t encore.

[11.2 truite,(li11'1—t—on, n11V11it ouV1—2 rt ('1 Cette compns'nie
(1111 les miss'c‘s (16 six Llf'2.p 11‘ 11211112115 , er in 11 13.50161 1e lui 121111
ouvei‘t (1111111111112. 11 Ii1ut1lire unssi 1111:: la t1‘.'1i11'2 .1111n1luit
11 I11 1‘ompugnie cent Inilli ons de 111.111d11ts ,
clepurreinens 11'1'1V1'1iei'1t pus sul‘li pour les Your 1111‘ , il anruit
Iii1n l".1llu lcur (2n affectei‘ Ll'uutics, 011 bien l'on 1'1111‘1'1it
UH: ()I lfié l l Colnpflqllle i'l Yer/HUT.) ]|1S(Ill' ('1 CB (1“ 'Cl'u‘. ('l'li' 1'Cl"ll
tons 5e .5 111.1111l.1ts,l12 ntunérnire 1111 ell devait, et rela 11.1I1s
l1" 111111111111101‘1 lc‘ 'l1csoiu (1'111‘g12nt 131.111 le plus I” ess.u1t.

(.‘ct t111‘1‘1'2té ne fut p115 souuiis 1111 ministre «les Finances;
mpendunt, relui- hi on 11)11nt eu connaissanc eindirecte-

 

    
 

( .

(."l ([1112 si l1s six‘

 

1;. l

1113111 , mrdnnm 112' 1111112 11151111. 1'1 la 11313112 dc Penteglstrclfient
112i :.:.1 Cute.. C12 1'11111‘011‘1'5 do 111 11\' 1111t01.‘it'.s (lch l'gcnus
1‘1; piouve til p15 on favour Lie 1.1 bonne l'oi do CL-li'e qui-
11'1r11it111it co t1'11i11".

L11 Poxnnuguio Dijon 11"011t 1111s puisé duns lcs miss: s
Lies Lléimi Lc‘nuns 111‘s 5011111165 11118511 10.151111311111115, si l1s
112121.! 1115 1.-5L 1l'.' 111131113113 11v.1'11t cu soin LI'L‘inovw,
rounnu l.1 Iresn‘ei'ie is 1.2111‘ avait soigneuseuient12112511i: ,
11‘s rsvépissés Lie l1'1 c1.:111p.1gni12 11 I'Lu' ct. 1n1‘sui‘e qn'ils lui
J'o‘11r11issz1i'2nt 1l::s 111:1111.l.1ls. .'1\'I;1is , 12'est 1111:1112 negligenr‘o ,
0:1 l’ -ut~12t1‘12 lu collusion, qui n13 p:31'111il. p.15 ('1 111 t1'1'—'sv.1~
112162 1‘..- 1’12'1‘111Lr l12s<‘.1isses assez 1'1 temps 1111111 eian-CliL-i‘
qu'on no lcs 1'-puis.'11. '

E111 n , si lus1on:n.issui1‘es de la t1'151-zo1'erie sont 00111,)...11128
110111 .'1voi1 p is 1'111‘1' -113 (l. 11 :2 niVOne , i'1 l’audi’uit I125 11111111:
11.1111'3 il no l.11:1'1.'ui'1_pu1:11 111112 1:eu:. It”: $011l1C1)Up11llles. ()1
1:1): .11‘1‘L'1é 11'osisi1711é que (l6 {in 11le'e',l)esre7.1‘t l)e1: lerli. II
11 ‘1‘ .'1 (111111. point do raison pour destituer Lemonier et

C-onibund.

Lanssuc insiate ensnite sur l'i11rl1'2pend111112e 01'1 il est nL"-
C(‘i-Sdii‘e Lie to: i1' 7.115 ( 1111.i5s:1ires1..le'l'1 1.1‘1'5111‘crie. Ce sont,
Lnt il, (1135 16:11 13111111111113; 1:l 1111 01111:. 5111112 1i1211r dans‘ notre
sx'stéxne actual. S ilsne $111.11 ‘- .int i11d1:"1' 1311111113, Ce ne seront
1ilus q11or1les1':omniis, 111112 Lies 1:1é..L:11Cs 1111.6. le p.11'ti \1'1i1'1-
queuz‘ substistuem 1'1 la Plane ales 1.11311111111 es 1lu 11111.1 Vain U.

J12 suis arriV"1"'1111 11101111211t1r1'1 je semis tenté , flu. Laussut ,
do me joindre 11 111111111'.l1'2 uo 1‘1I31l1ot, rclvtivsnient .'1 1:3
(111 il 11 Llit de 1.1 diiection 11.‘ tuelle de 1 opinion et 1112 cells
du gouverne: nent.

J12p11rr1'uge son opinion sur 11‘s utteintes pouees .'1 1.1 li-
bertc (le [.1 pi' esse, ct Jo "1"" (lire (Jue j'ui 10111111111 on 11113
(:2l11 se aussi essenliello .'1l.1 lilwrte publique, [Analmerl‘e
se soit inonti‘ée Plus ombrugeuse et plus indoniptée flue
nous.

Quant aux opérations (lont a parlé none collégue , ne
conl'ondons pas ensemble 111‘s Pl10.1.s qui 11 out 1111mm rup—
port 13111112 olles. Si nous devions 1l1'21ilx'21'1'1 5111‘ cetol3'112t 130
no 5121:1it 1111 '11pr1'251'1voi1‘ piol'0111l1.1111n1 1‘. ‘.1'11nine' quelle 1l1="—
l'1'.1'1'.n1: 12. i1 y .1 , 111113 1111 gouverneinent or gunisé, entre (pu-
ration et revolution.

.'n gouvernLnu-nt,('15s qu 11 est constitué, doit 1i1111‘r
tons s15 1111115 , ([11:21 (11113 soit leur 1‘11r11PtL-r12 flognmti .11111.‘ on
boniliunt , leuis sun 11 as obscnrs on éclntuns.

Inuissot tf'l'lliillC, en donnznit 1111K connnissuii‘cs (113 la
t1‘1'501‘11'i12zw1‘c lesquels il .’1 me , pendent: six ans d'zulmi-
nist .1011, en relation non intm'z'oinpue, l1: 1"21‘11oi1b‘1'nuge le
plus Iilv’fll‘iii.)le de 11:11‘1‘11101'11lité e: (le leui‘ pi‘obité.

La suite 1112 in discussion est “journée.

   

,,

 

 

 

   

 

SPECTACLES.

Du 16 ermlmz're.
1712511171: dc la Rpfith/um -— L'Ewle dos Pores; la Feinte pa!
Amour.
'J'liu’rin'e (In Vaudeville. — Santeuil; Ser‘l‘On; I12 Pin‘i , divertisse‘
semen: .’1 l'occusion [l8 111 puix. '
L 1‘. C 13 n 1‘.

mm“

 

L “Ila/mement on do 12 [£12. par hzmestre. I! [hut mlrm‘ser [es [12/0721 et [(17 "1071/
7'1... ‘ (112 [a Fenillmle,

Lace/f

directeur, an 5117mm,

I'mnc (le 1101151,
7111.: [1; place (713.? J'VL'ctu/I'as, IN”.

an citoydrz

 

DE L’LMPRIMERIE DES TABLETTES RE

710102;“ , N".

 

_ .11. .1...” n w..- ._

UBLICJIINES, we do 111 Fuuz'lllzde pres In place 115