xt731z41vm40 https://exploreuk.uky.edu/dips/xt731z41vm40/data/mets.xml  France  1793-04-11 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 11 April 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 11 April 1793 1793 1793-04-11 2023 true xt731z41vm40 section xt731z41vm40 qu'ils
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GAZETTE DU JOUB.

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one i: vais, tour ce quc j’emends, (in Le champ ,_
découvrirez , ce que vous apprendrez , faxes-1e moi

hangers, ne grands événemens fe préparent; )0 (“15 3“

Du Jeudi I I

avril

Vaduz: : rout c!
je vous en infinus; ce Glue vouo
favoir , )e le public fur lheure.

I793-

W

NOUVELLES érnAuoiuis.

Alger , 19 fei'riar. 11 y a d’honnéres gens par—
tour, méme parmi les dcspores : Ofi la probiré
va-r«elle donc se nicher? Sid/2 Ali, minisrre du
Day, apres avoir fair déclarer la guerre 31 la
Hollande, vouloit exiger de son inai‘rre la con—
fiscation des bitimens hollandais que les cor-
saires on: pris avant l’expiration des go jours
accordés our 19. validiré des prises. Le Day,
indigné (l; certe proposition, a relfiché les bari-
rneng, er a chasse’ son perfide conseiller. Sa dis-
grace delivre les chrériens du plus cruel ennemi
qu’ils aienr jamais eu.

Dc Madrid, [e 2.5 mars. Le conseil de
Cnsrille n’avoit pas approuvé certaines formes
employécs dans le nouvel emprunt fair en Hol-
lande; mais, 31 l’ap roche des hosrilitcés, ce
tribunal, lc seul qui Enhance un pcu le pouvoir
du roi, s’ext empressé d’enregisrrcr l’emprunc
du gouvernemenr. La com a su metrre 3‘ Profit
la situation acruelle des es rirs; par-rout le fa—
natisme de la liberté. Les (Ems parrioriqucs vien:
nenr de s’ouvrir pour les frais de la gum-re; ils
s’élevent déji i des sommes assez conside’rables:
routes les communaurés religicuses on: offer:

leur rribuc 5 la parties les caPuCins de Tolede

 

 

 

 

 

 

ont donné une somme do 20 mille livres.,Ce:
jours dcrniers , un vieillard des monragnes d An-
dalousie s’esr présenté £.Ara11jues;ayant dc:
mandé 2‘1 park-r au roi, ll. es: parvenu [lusquu
luii Com/72c Jawb, dit-il 31 $3 maICStés I a:
doqe fils; maz': , plus hearcux que ce 'pamarc/zf,
je pals consacrer ma famiz'lc an service dz: Dzezz
du ciel e: a'u menarque d'Espagrie. En aclrevanr
ces paroleS, il a Présenré au ror so uombreuse
famille qui va s'enroler. sous les eteudards de
la religion ct de la patne. ‘ ‘

On vient dc donner des ordres pour ouvrir
Ia Cnmpagne vers les Pyrenees : c’esr touiours le
jeune duc d’Alcudia qui est :‘1 la te‘re oe toutes
les opémrions du gouvernement; on remargue
dans ce nouvcau ministre beaucoup des‘qualires
qui disringnenr le célébre Pitt? qui est a la rere
du ininisrére anglnis. L’analogie qur 5e troave
enrrc les cleux ministres, semble avoir rapproclre
les deux cours, éronnées peut~érre d’etre amen
réuni‘es , er d’uvoir les mémes intéréts d dél'endre.

De Brave/fer, [a premier Avril. Pour jugcr
l'insrnbililé ale l’opinion des hommcs, e: la
mobiliré du pcuple, il n’csr pas linutlle de
couuolrre le mbleuu que fait le gazcncr de ecue
ville, (inns sou journal du 2.7 mars.

:2 Nous efunes avanphier le bonlicur de 905-

      
     
    
  
  
   
 
  
 
  
 
 
   
 
 
   
 
  
   
   
   
    
   
  
   
  
  
  
  
  
   
 
 
 
   
 
  
  
  
  
    

   
  

  
 

(

Seder darts nos mnr’s l’archicluc Charles , accom~
pagné du prince de Cobourg er (les antres gé—
‘lél‘fllEK de l’arcnée. Ce prince, arrive avec une.
colonn. de l’armée, vets nne heme aptes-midi ,
in 119131 la pot-re de la ville par le magistrar
I les sermens qui accompagnéreut S. A. R. a
église collégiale de Sainte’Gudule pour y i‘cn—
olre graces an trés—haut du succes ties armes de
son angusre frére. Aprés 16 Te Dawn, er apres
moi: examiné les ravages que les Frangais
ave-lent fairs dans cute église, S. A. R.,se
rendit a. la cour , ofr 0n lni avoit Prepare un appar—
rement, les meubles or provisions ayan'r éré vendus

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J)

on pillés p.11 les Frangais. Le (on, routes les ragades A.

des maifons ayant éréilluminés , S. A. R. se pro-
mena, daus une voirure cle'couverce, clans les
principaux quartires de la Ville, aux acclamauons'

tl’un peuple nombteux qui se trouvoit sur son 1925- _

sage et qui entouroir sa voirure. Ce prince ,vchéri
cle route la nation , a re’pondu aver: la plus grande :
affabilré :1 toutes les demonstrations de joie d’un
people bon, loyal er vertueux, et qui ne forme plus
qu’une meme famille. "
7) Les vases sacrés , les chandeliers er autre
argenrerie enlevés dans les e'glises de cetre ville ét

clans les abbayes circonvoisines , par l’ordre (les i .
petits dcspotes subalternes, connus sous lenom de a

commissair‘es du pouvoir exécurif, furent rendus
16 2.3 de ce mors d’aprés un ordte du general
Dumonricr.

:2 Dimancha dernier, les bourgeois, apres avoir
abartu l’arbre de la prétendne liberré, er avoirtrainé
le chapeau qui le surmontoit , dans les rues adja-
centes de la grande place, on 811 hr un grand feu,
en criant au (liable la carmagnole et les Jacobrns!
Viv: Francois II .’ _ ‘

25 La statue en bronze de fen S. A. .R.le prince
Charles. érigée'su la place Royale , qui avort ere
renvetsée par les l’rangais er lcs sans-culorres. er
transporres clans nne (les cours n‘u conseil , pour
étre convertie en canons on an monmie, en fur
r'etirée hie: er con/Juice sur la méme place , d’ou
clle'avoit ezé enlevée.

. . :2 Alix: que les braves troupes (le S. M. , notre
augusrc SCUV:P.’1m , poursuivcnr l’ennemr pour en
fierivrernos belles m‘awincesfizz bourgemfie de certe
ville fat invitéc hiiw a. prendre les armcs. :2 .

Per les oralres cie S. M. 1., les généraux autu-
etTiiens our lair publier la ytoclamtion suivante:

:) 5. M. l’cmpereur C: Di, persuadé que l’op

 

     
 

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pression sous laquelle gémissenr les provinces Bel
giques depuis l’invasion cln mois de novembrc
'dernier, a oévoilé aux yeux de ses fideles suiets,
par une trop fnnEsre experience, la perfidie (les
Principes destrucreurs , :‘1 l’aide alesquels la facrion
trangaise , sous 1e prétexte cl’nne liberré chimeri—
que , acherché a fonder ses progtes , ne sauroit
douter de toute l’horreur qu’inspirenr aux ciroyens
honnétes les indignes menéc—s dc cctte faction ,
égalemem ennemie de la religion , (les maturs e:
de tout orclre social. 5. M. 65: aussr convaincue
qne ses sujets belgigucs désirent sincérement le
retablissement de l’ordre Constitutionnel et de leurs
loix fonclamentales , attaquées par cetre faction ,
et dans la jouissance desquelles ces provinces on:
trouvé, depuis plusieurs siéclcs, leur bonheur e:
prosperrte. .

Dans cet e’tat de choses, ‘le rérablissoment de cet
ordre er deces loix étanr l’uni ue objer des eflorrs
de la puissanre armée que 8. (Ll/1.3 envoyé au se~
cours de ses fidéles sujets, elle s’attend qu’ils s’em~
prell‘eront 2‘1 concourir a. ce but salnraire; cerrains
d’érre sourenus et protégés dans lcurs efforts de

'route son aurotité er. de sa‘puissance souveraine:
S. .lVIf declarant ‘de son cote que ceux qui , contre
toure arrente, oseroient agir en sens contraire , en
se montranr comme partisans decetre meme faction‘
seront trairés en route rigueur, comma rébelles i
lcur souver—ain er eunemis de la pame. '

Donne :l norre quarriet-général 2‘: Aldenhoven ,‘
le premier mars 1795. Szgnc, prince de Lobourg.

FRANCE.-

D’Avigzzon cc 2. La ville dc Beaucaire vient
d’érre le theatre cl’unescene sanglanre, don: on
me connoit point l’origine , mais dour les suites
donnent de vives inquietudes. Voici le fair, clout
on me pent garanrir les details. — lee club Po-
pulaire avoit dispose uu banquet civique auquel
il avoit inviré les citoyens cle Tarascon qui
n’esc sépnrée de Beaucaiie que par le Rhone;
les convrves s’y rrouverenr an nombre' de 7 a
3000 (nous iguoron: .sz' Cc nomérs n’est pas exh—
gc’re’). A la suite de cet agape, on (lansa des
farandoles an son des tambours 3 ecl’on obser—
vcra que tout s’éroit fart d’aprés une permission
de la municipaliré.

Ce correge arrive cl l’entrée d’une rue , qui
étcit défendue Par 'des canons; on veut Passer

   

   

 

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mute; on lui fair injoncrion de se renter, ll
insisre; deuxienre injonctlon; 51 la trOISieme on
fair uue décharge: 6 Ciroyens resrent sur le

carrean, les autres sour disperses; clans la unit,

’pluxsieurs sour emprisonnés; enlin un Tarasconoxs
poursurvr se jerte dans le Rhone; Il est coulea

fond :i coup (les pierrcs. . . . Dans ce moment
les commissnire du Gard et les garcles nationales
(le Nismes sont i Beaumire , er l’on y precede

an desnrmement d’une parrie cles habirans.

Dc Laméulkwc 4. avriZ..Les troubles occa-

sionués par le recrutenienr se sontaussi fair senrir

dansnotre départenient,il s’esr fair un mssemble—
menr cl’environ deux mille paysans auprés de St.-
L’rieuc, le district de Lamballe l’ayant appris
envoya sur—le-clxamp deux cents hommes de la
garde narionale qui ayant fair une d'écharge sur
'eux, lcs metroienr en flute, sans leur chef
Boislmtdy, ci—devaur noble , qui s’érant mis der-
riere nu fossé, nous envoya plusieurs balles, qui
'arrétérent notrc marche. Hurt 5. dix de sa troupe
sc joignirent i lui, et le combat dura environ
‘deux heurcs; nous crimes la douleut de perdre 4
des nétres desquelséroir un nomine Tavanr, jcnnc
citoyen rempli de courage, mais grace :1 l’acliviré
dc norre garde nationale, le calme esr rétabli er le
recrutement 5e fair avec zéle; on a pas encore
P". mettre la main futile chef, quoique sa rEre
sort zi prix et son signalemenr donné.

De JVanrcs, [a 3. » Sans cesse :‘i cheval
depuis mon arrivée 2‘1 Reunes , j’ai 2‘1 peine le
rems dc donner au sommeil le tems necessnire
pour rétablir les forces de la nature. Les Bri—
gaus sont entiéremcnt disperses dans le depar-
rement de Lille et 'Vilaine. Le general Labour—
donnaie , aver: tour ce‘ qu’il a pm rinzasser Lle
fetces, :1 marché sur Nantes , on ii a rérnlnli
les communications inrerceptées..li :1 en} :iccuilli
dans certe ville avec beaucoup d’innfiréz. Le 5
(hi courant, Blain er Savenav aumnt eré ar:.~
qué-s er pris sans-dome: je snis cle l'expéo‘ion
Blam , on sont retranclies quarre millc brigands.
Dlmnnche proc'nain, nous serons :‘1 Hermes”
I‘l eSt constant que cerre conspirarion tient fi dcs.
MS Idepuis long-tems ourdis : il y a dam ccs
e’nvuons 30 mille de ces coquins; lieureuscment,
lomfire d’un vu/omaire leur fair. peurgils n’c-nt pas
flSSez de jambes pour‘se snuver quand c’cst L1 rcinira’.

peine se donnenr-ils le [CHIS de declmrgcr

 

 

 

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"‘ 3 nutmeg.

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leurs armes; :mssi l'on cu auroit grand nurclié,
s‘ils n’assassmoieur comma dcs Volcur: de grand
cliemin. Ils s’c—mbusqucnt clans des passages, nu
coin d’nn bois clout iis cunt cu grand sour (1e
rcconnoirre les avenues pour se manger une
{wire iassurée. .. J’aumi domain 8 lieues :1 faire
pour arriver :i Blziin, er 8 paroisses revoltees 3r

'lel‘COthlr avant (l’arriver 51 um destination. . . La.

- - :» \
rive drone de 1.1 Lorre sera ubre nvau: 5 a 6
jours; er nvanr IS , si nous recevons du renrorr,
[our sera appaise ».

Puri5.Bouchorte commandant & Cambral ac-

. n ‘ ‘ . V . \

ceprc le ministere de la guerre , ll :1 etc retcnu a
Vaficncicnnes , il doir arriver le 11 '3 Paris.

§. Le généml Dampierre qui a Pris le ccm<
mandementde l’arme’e du I‘Jord file. piace de Dn-
mourier , er qui a accepté a cnvoye nu tronipetre
an généml Cobourg avec une letzre par laziuelle Il
lui disoir que l’espece de treve qui reguorr enrte
les troupes francoises et les Aurrichiens ne se~
roir pas violée par lui sans l’tn prevenir, ct qu’ilnt-
tendoit de lui les memes égnrtls.

§ 1“. TE/JUIKLZZ dc: noms afli/za’r aux porter.

Fauxbonue, nncien menuisier retiré, habitoit
avec sa lemme une petite mnifon rue Ste. Anne,
pres le palais de justice, on ii vivoirJ en bon ci—
royen, du fruit de 5:: années de travail et d’une pe-
tite fonune acquise nu prix de ses sucurs. Ii :1 cm
devoir executer religiensmneut la lci nouvelle. Des
le lendemain, 5 bnndirs, d exterieur decent, avanr
ln le fatal placard, oz) Paige nuance de: 7. efoxx:
leaf amzonfoiz van de resistance, montent 2‘. lap.
parzement. La bainne vielle citoyenne étoit settle;
elleonvre; on Ini parle cl’une lerirefi remetrze ii
son nmri,y0ur affnz'rcs q:.1i:”irzte’r€55cfcnr er qn’irl

3cm}: life/z aise d’apprcndrr. —— Ln dame Faux-s
bonnc oi‘i‘re obligeammcnt ties cliaises aux 5 incliu

vidus , qui tour a coup Sc jetreut 1m clie, 1:1 pren~
merits} in gorse et 31 terrassenr. Elle alloit étre 12.
victims rle ccs scéérars , lorsqn’un bruit saluraire
se fair entendre au- dessus de la rlmmbre on se pas—
soir cette scene; les a~s.-.5sins épuurantés prcnnent
la flute er laissent l’iufortnuée scxagéxmire-deniiu
morre de frayenr Lt de mauvais trniremens. —-—~
D’c ii proveuozt cc bruit salutaire anquel elle a all}.
In conservation de ses proprieiés er de la vie? on
me l’apprenffim pas sans inréret : Un jeune enfant
cu razbots s’amusoir cl fairs: des rants et des bonds

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sat. la parrie supérieu‘re de l’escalier; ainsi ce fut :‘t
cos jeux innocens qu’est due la fnitevde ces assassins.

§ Un nommt’: Gautier a dénoncé son propre
frc‘re comme émigré , at l’a faitvttaduire au co-
mité de 53 section. L'accusé, aprés avoirjusnfié
do so. conduite, et livré sa correspondance, er
ses pnpiets, a été mis en libel‘té. Gautier dc"—
nonce encore son fréte'i le sacéc'rc’; il attesre
itémtivement qu’il esr émigré, et qn’il fant qu’il
aille :3. la guillotine; car un bon republican] ne
(loit pas épargncr, méme son péte. . . . Nou-
velle attestation par le comité de surveillance,
et les scélés son: appose’s :i l’liotel d’Espagne,
rue Vivienne, on il piroit que logeoient le
j'rére delta/Iran: et 16 frérc a’cf-‘zonce', on dutnoins
on It: croyoit. Quoiqu’il en soit, pour ne pas
manque: son coup, les scélés son: apposés sur
la porte du Gautier dimmed/2:) qni, tentmnt
cliez lui un peu écliautfé, brise lcs scélés sans
autre Forme..Certe violation a été regardée conime
un de’lit, et le dénonciater a rite atrété et mis
a Sainte-Pelagie.

C Otivrnrtou NATIONA'LE.
Pi‘éfidence clu citoveu DELMAS.
Séznce dz; mcr;r‘cdz' 10 avril.

Les conimissnires envoyés dans le clépartement
du Loire: éaivent d’Otléans le 7 avril, qu’ils: out
{iris toutesles mesnres nécessaires pour): mainrcnit
a tranquilité publiqne, ilsont destitué la nouvelle
municipalité, qn’ils nnr remplacée par des ciroy-ens
patriotes. Les assassins de Leonard Bourdon son:
artéte’szxils vont Erre conduits 51 Paris.

Kellcrman demande a étre autorise’ 5. lever un
Corps de 600 homines pour serVJr de tirailletn‘s
:‘i {on armée. Renvoyé an comné de la guerre.

\Vesrerumn this on érat. d’arrEstetion subira
l’interrogation devnnt les comités de la gucrire
dc defense générale, et son intc—rrogatotre seta
remis an comite de salut aublic.

Les cominissaircs cle V alencienncs, confirment

l’arre :tttion du particle Lécuyet général cle brigade

Ora {outcrir' ft Paris an bureau de la Vedette , boulevard de la porte Saint-Martin, é celle Saint—Denis , N
Le prix dc-l abommment ell de 27 lzvres pout fannee,
pent s’abonner pom deux man en envoym: Lin aflignat dc cent (gals.

 

  
   
   
 

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If liv. pout‘ fix

  

      

complice de Dumouricr et' (in i". sccretaite de
ce général qu’ils envoi‘ent i Paris.

Deux ofiiciers communiquent :‘1 la convention
une nouvelle proclamation de Dumoutier, er don-
nent do nouvellespreuves de sa traliison. Un tnen-
bte indigné du recit, propose que les 509 rnille
livres promises pour la téte de Dumouriet sort ac—
corclé meme :1 tout étranger‘, meme. aux emigrés
s’ils ruenr Ie général ', on renvoye la proposition
an comite’. ’

Le procureur sindic du Calvados annonce qu’il
se Piépare fur les cores une invasion de la par:
des Ang’lais, il demande dessecours. Renvoyé
an comité de la guerre.

Pétion monte :‘i' la tribune er dénonce une
petition qui‘ court toutes les secrions de Paris pat
laqnc-lle les pétitionaireside la Hallo an bled d“—
mandent un décret d’accusation comre Rolland,
lfexpulsion de tous les employés dans les bureaux
du ministre de la gnetre, celles de Normandie
direcreur de la liquidation, 1e renOuvellement do
l’administrarion des postes , la destitntion des
oiliciers suspecrs, 'la prohibition d3, la vente (in
n-utnéraire, le ra pel des défiflltés coupables on
pussilanimes , enflijn une déc aration fosmelle de
la convention par laquclle il exprimeroit s’il est en
son pouvoir do sauvcr la patrie. Cette petition se
plnignoit ouvcrtement de la convention; e’est la
detiiiere fois disoit elle quc nous vous disonsla
vétité, et songez bien que C'est pour la derniét’e
fois, la France est lasse de l’infidéliré de ses man-
dataires; le peuple vent reprendre sa sonvemineté
(’65: :‘t vous que nous imputons les trahisonsde
Dumourier, vous laisser vivre Rolland et Norma.
die. . . . - . . :‘iqui malhcureure patrie as to confié
les intététs? &c. &C. _

Cette virulenre de'clamation sans étte directe-
ment défendue in trouvé cependant dans, Danton
un appuyipeur on empécher de penser d’evpriA
met 53 pensée? s’il falloit sévir contre ceux qui
émertent lent opinion, cc seroit 5. no yes finit.
On esr passé i l’otdre du jout.

 

0a
0,!

mois, 7 liv. minis pout trois. moist. Os