xt734t6f4t9j https://exploreuk.uky.edu/dips/xt734t6f4t9j/data/mets.xml  France  1793-05-03 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 3 May 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 3 May 1793 1793 1793-05-03 2023 true xt734t6f4t9j section xt734t6f4t9j   
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
   
   

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ETTEDU JOUR.

 

FRANCAYS, de grands événemens fe préparent; je Iujs en thutc:

L‘OLK CC

3:6 )e vois, tour ce que j’entends. fur le champ , ie yous .en infiniis ; ce .ue vous
’couvrirez , ce que vous apprendrez , faites—le moi favors , )e le publie fur l enra-

 

Du Vendredi 3 Mai 1793.

W

annca.

Paris. ——Il faut bien , au risque d’éprouver

encore quelques prescriptions de In part de'

certaines municipalirés qui , lorsqu'on rend
compte de quelques détails affligeans, veuleut
crone qu’on ne le fair que pour pervertir l’opi—
mon publique, et indisposer les (lépartemens
contrc'la capitale, il faut bien faire le recitnle
ce qur se passe ii Paris, 3 1:1 convention ,
er nux sections , le faire avec sagesse et impar~
I’lallté; nos lecteurs l’exigent et ont droit de
lexrger‘, ils out droit :3. savoir comment 5e
gonverne 1:1 representation uationale, comment
ellc est considérée clans la capitale : tons lcs
crtoyens de l’Empire :ippartiennent & cette con—
vention, et elle leur ,appattient ai tous route
ennére; leur en parlet, c’eét donc les occupcr
,e leurs plus clic'rs intéréts,‘ et nous devons
dnumnr moins‘lcur mire; que c'est pour les
deparremens ’seuls que nous écrivons (i).

‘ch rl'abor‘d, la convention n'n-t-elle pas les
plus vrfs reptoches i se faire? la mésintelligence
er la discordc présidenr 5. routes scs' (lélibém-

 

\ r . , .
’ (If R0119 n’asons pas un senl abonne :‘1 Paris,
«tun youlons; on en dor: 53kt” les raisons.

 

 

 

 

l V

 

 

tions; les haines et les animosirés dictem‘:
toutes les opinions; des huées, on passe aux
injures; des injures, aux ménaces er aux mau-
vais traltcmens. Les tribunes, er quel est ce
peuple de tribunes? Buzor va les depeindtc.
(voyez Cy-apres convention) et ce peuple
éxalté, furieux, emporté dicte impérieusemcnt
les décrets, les fair révoqner, er son influence
tumultueuse er arrogante est telle qu’il n’y :1
qua certains ddputés qui aient la parolelibre,’
ct que beaucoup ne peuvent aborder la tribune,
sans étre exposes aux irascibles imprécarions cle
ccrte multitude inexplicable;

D’un autre cote, les. petitions sent portées
:1 un excés incorzcexmble7 les plus’bisarres les
plus incomprehensible-S sont accutillies avec trans-
port, or souvent décrérées snr la. simple expw
sition ; nous n’en indiqucrons aucune : on croiroit
que nous Vaulous critiqncr la loi; nous gémis—
sons de les voir proposer; mloptées, Imus lcs
respecrons. Mais il résulte de leur prompts
adoption qu’il se'mb‘le qu’il y nit clans toutes les
parties (lel‘mipire une sorrc d’émularion, :i
qui propostm Ll€S idéc les plus cfirénées.
Pourm qn’cllcs soient remarquées pours-u qu'elles
obrieunen: tine mention honorable, one inserriou
2;; bulletin l‘ninout propre satisfait v1 encore s’in:

  
 
  
  
 
 
 
  
   
  
 
   
  
  
   
   
   
  
    
     
 
  
   
   

 .1152? -.e“1:, an. if"

 

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génier fien renclie'ri'r d'fiutres d’e'xpressions lmrdies ,
d; tournures force’es, cle pense’cs sublzmes. Lisez
dc sang-froid ronte cetre multitude d’adresses er
o‘e petitions qui se succedenr si rapidemenr, er
qui absorbent les moniens p ecieux tie l’asseniblee,
vous y voyez rous les monvemen,‘ dc l’orareur
se contourner comme ses pensees. Pourvu qu‘il
soir remarqué, qu’il Ense son cfler , il atteint son
bit. Ii esr fucheux qu’elles se soient presume
routes monrées sur ce ton; car c’tlroir une bien
grands er sublime iiée tle l’assemblee consti~
ruanre‘, d’avoir pose en maxime fonc‘iamentale,
que tons les ciroyens de l’empire Pourroienr
presenter leurs vucs, et qu’uu ciroyen uni en

trouverou: cinquanre autres comme lui gut les ,
agrérorr,rpourroit venir lui-inéme les soumettre -

:‘t la convention , en supposanr qu’une idée re-
flechie remaniee, rebatrue par go personnes,
ne pourroit érre qu’une bonne itlée; mais elle
navorrsuremenr pas prevn quebqnarre ou cuiq
individus réunis se diroienr un jour une portion
du souverain, suflisante pour aller demunder ou
dicrer des loix, qu’ils Pourroienr clmque jour
venir troubler l’ordre (les deliberations, que
malgeé qu’il y eut un i'ou'r affecré pour les re»
cevoir , 'ils auroient , d-roit d’étre .admis :‘i
chaque instant, 3t chaque minute, er se faire
inrroduire Comma dcs érres trés-importan's. Voili
pour la convention en général. Nous aurions
yeut—étre quelques observations :l faire sur les
membres de cette assemblée; malgré qu’on en
dise , une représenmrion mricnale (loir
parler aux yenx co‘mme aux esprits? il régne
dans le cosrume 'de presque tous les incliviclus
qni la composenr, un tel désordre, qu’en les
Voyanr individuellement on collecrivemenr, l’ima—
gination ne peut jainais se faire zi lcur tenue ,
ni le specrnteur se dire: VOllZl mon representanr
relui de mes co‘ncireyens, celui de ma nation,
er si la vertn et les talens sont respectablesvsous
le im‘illon; le liaillon on le'sans-culorisme ne
les couvrenr pas toujo‘urs, er c’esr pen se res—
pecter que de se confondre sous un exrérieur
qui :mnonce presqne mujours la misere or‘i l’in-
eonrluite. Les Angiais et les Suisses aussi dé-
claigneux que nous cle l’éclar de l’extérieur en
tonnoissenr mieux les convénances, er le pere
Gerard sous son vérement simple rmis propre,
éé’cent, figuroir trés — bien :‘i céré des rochers
ale mousselines de nos evéques, et' des habits

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des cordons de la noblesse er
pas moins le respect de la

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doaps , clramares
ne sun atriroir
Nation.

CONVENTION NATIONALE.

Ducos parloir want—bier sur les snbsistances;
il démontroir que In rare des grains seroir
de’sasrrouse', c’éroit son opinion , bonne ou mau~
vaise , n’iinporre : tout-zl—coup il est interrompu
par les liuees des tribunes. L’indignarion s’em-
pare cle l’nssemblée', la plfipnrt des memlircs
se lévenr en crianr : nous ne sommes pas libres:
quoi, s’écrie PeniersJ l’on pcur indecemmenr
h’uer un représenrant clu penple! il {hut que nous
soyons environnés d’une force publiuue siaflisanre,
ou il faut déclarer que nous sommes ici sous
'les couteaux. Des huées plus incle'cenres que les
premieres se font enrendre', les chefs de la.
Montague paroissoienr excrrer les tribunes ,
mais ellesieioienr t‘ellemenr lficlrées, que Le—
vasseur, l’un de la montagne , propose de les
faire évacuer routes.

Guader demande la. parole er dir : une rc-
pre’semazion avi/z'e n’exisze deje‘z plus. Les nom—
breux rappels au‘ respect enprouvent l’inurilité.
II cs: temps de faire cesser ce,tre_ lurre‘ indé-u
cenre entre la nation enriere er nne poignée
de conrte-revolutionnaires qui se disent patriotes.
Je demande que lundi, la convention tienne
ses Seances :l Versailles. (i) Oui , ajoute un mem-
bre ,‘ nu premier signe tl'improbnrion, il tundra
nons retirer z‘r Versailles, er le sabre :i lamain,
S’il le fruit, pour nous arrrzclzer a Z’oppresion.
anor reprend : il faur désespérer clu salur pu—
blic si nous ne trouvons les moyens cle nous
Soustraire i l’oppression, on renouveller 13 Con-
Vention selon le vcru de la Nation entiere:
Que vous voyez auteur de cetre enceinre? des
figures bin/eases qui suenr encor le crime et le
sang que leurs mains our verse
Une fois que l’homme a versé clu sang,

(I) Cetre fuire de Paris inst irée par l’indignarion
manqueroit son effer ;. car si' a convention ne sai:
pas se faire respecter 5. Paris , elle ne le sera pas
dnvantage 5. Versailles, 2‘1 Tours , 2‘2 BourgES, méme
dans un village. Elle doir sfimputer ses premieres
molessés. vis—Si-vis de ces tribunes; elles les 3 flartéesfi,

adulées; aujourtl’hui elle est subjuguée par elles;
er Comment la respecrern—r—cn aux extremnes de

il lui

 

la républiqne, si elle ne suit pas se fairerespect‘er

glans son encemre."

 

 

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faur du sang,‘ encore 'rlu sang, ‘pbur assoxévir
ses remords. 'Vous eres rous convamcus oes
grands criminels qui existent, er yous ne les
:wez pas punis. . . Vous no le pouwcz 1335:0111,
vorre silence m’en es: encore la Preuve. Qunnd
Vous dema’mlcz des comprcs, on vous in an
n52 (35C.

Les rribunes onr poussé des I'Dgissemcng 5i
allreux , que la v'oix de Bozo: n’a pu LC {sire
mrcnclre plus long reins. La majeure Wile do
l’Assemblée se leve er (lit: 11' fuut gm [65 m”-
17am; sortenz oz'z que nous sorriorzr. —~ CCLre vo-
lonté bien manifesre’e en impose aux direjeurs
a’cr tributes. Le signal est donné par eux , er
:‘1 l’insranr les applaudisseurs :‘1 gages, (1“; (fan.
leurs depuis le depart de Philippe 55 171333125.“
d’érre mal payés, abandonment leur posre ,
vomissnnr les plus violenres imprécarions contre
les dépurés, er les ménacanr .des )‘cux er des
gestes. Danton parle, er la tribune s’evacue.

Suite dc lrz séancc du AIcrcerdi 2 Mai-
Des pétitionnnires de Versailles sour admis; on
n’y reimrque presque'que (les femmes permit un
baron au bout duqucl on lisoir : Nous deman—
dans" la mxc dc: Men’s. Cello qui Porre la pm
role fair un tableau déchimur cles épouses er
des meres de Versailles don: les mnris er les
fils sonr clans nos armées, randis qu’elles man—
quenr de pain. Le president les console er les
adme: :i la Seance.

”a secrion des amis de la parrie demande
qu’avanr o'e forcer nucun ciroyen 31 marcher
conrre les rébelles, la convention fasse parrir
routes les troupes soldées qui sonr 51 Paris,
méme la garde d’honeur. Marat converrir certe
demande en morion, mais il rermnche la garde
d’honneur. Décréré.

Une deputation du fauxbourg saint: Antoine
est admise. liomreur (lit u Mandaraires en-
tendcz (les vérirés dures. Nous vous nvons
euvoyé'iri pour Faire une constitution republi—
caine; epuis plus de six mois, vous ércs ms-
Sc—mblés, éponclez, qu’avez vous fair? vous
:wcz envoyé nos plus zélés défwsun‘s on com-
missionwous avez dégnrni la sninre montagnc,
les agirareurs son: resrés en force , er our lnissé
manquer dc tour les défenseurs de la parrie,
leurs femmes, leurs enfans n’onr pas de pain;
nous qvez rout promis er rien ten u. Que la
majeure parrie de vous oublie qu’ils sour pro-

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pr‘iéraires'ou fermiers: sin-2 le maximum air lieu
cur routes les (lenrees de néccssiré; que les
soldars dc rous les Corps, sous :ellu oenomi—
nacinn que cc soir; que les gendgzrines meme
gui cc EZPUSC‘HE la gnrrle de la. Convention
parrenr inCessammeurg il rosters assez cle pa—
rriorcs, de rz'ipublicnins clans Paris; In source en
es: ix‘ialrerablc“J ils nous re'pondronr du dope):
qui leur sera confié; que les signaraires (les Pe—
titions anti—re»olurionnnircs, que rous les gar—
cons de Paris, depuis Clix lnii; ans jusqu’é 50 ‘7
les lionnnes Veufs er sans enfans , er les liommes
maries, si les premiers nc sour pa; en nom-
bre suHisanr, s’assemblent sur les places publi-
ques, er ‘rirenr an sort pour complercr l8
contingent qui sera determine pour aller mm.
batrre les rebelles de la Vendée: que les pro.
priéraires, dour le revenu exgéderoirdeux millc
livres, soient renus de donner la moirié do
surplus pour les frais de la guerre; que aux
qui anronr (les enfans soient autorisés :i gm'u'er
cinq ’cens livres nu-dcssus de deux mille lirres
pour chacun d’cux. Voili les seuls moyens do
'sauver la Parrie. Si vous ne les adorrrez pas,
nous qui voulons la sauver, nous vous declarons
que nous sommes en érar d’insnrrecrion n.
‘Ciroyens, (lit l‘Jnssuyer, clans la circon:«-
tance malheureuse 0131 nous nous trouvons, nous
devons garder rout le calme, route la dignige
qui conviennenr a des lioxnmes invesris cle route
l’auroriré d’un grand penple; nous devour;
monrrer aux liommes perfidcs ou égarés, qui
viennenr ici vous faire d’insolenres petitionsD
qui employenr les injures er les menaces pout
vous fairs subir leur volouré, que nous mour—
runs pluror iri que de souErir qu’on ose attentcr
21 la someraineie (In people, don: nous sornmes
1L5 représenrans: Je ne vous pr0poserai pas de-
quirrer Paris. (On murmure.) La ciiconsmnce
ne le permer p.155 nmis pour que la France
air on point de ralliemenr, er puisse encore:
5e sauver si, par nmllieur, il arrivoir qu’unc
partie de la convention tombfi: sous le fer (les
assassins; je demands qua sous huir jours les
suppleans s’a’ssemblenr d Bunrgcs; je demande
en ourre que la petition soir imprimée gut—lg-
clump, envoyée par un courrier cxzmordinaire
é rous les dc’pn‘rremens de la Republique, er
que les périribnuaircs soicur nus (.11 (Star d’arm
restauou.

  

 
  
 
 
  
  
 
 
 
 
 
   
 
  
 
  
 
 
 
 
 
    
   
  
  
 
 
 
 
  
  
 
  
   
  
 
 
 
 
 
  
 
  
 
 
  
  
 
 
  
  
 
 
 
 
  
  
   
  
   
  
  
  
 
 
 
 
   
   
  
 
 
 
 
  
  
   

  
 
  
   
   
  

 

 

    

Chassey appuye 1n proposition de Massuyer,
e; il denunde', on outre, que le présulent 1n—
tcrpelle l’orateur de déclarer son nom, 53 pro-,
fession, et le lieu de sa demeure.

Sn proposition e51: decretée. .

Le petitionnaire interpellé, teponi .(lllill
s'appelle Fusil; qu’il étoit auttefois tapissrer;
qu’rl est maintenant commissarre de p‘olwe, et
qu’il dcmeure rue du farm-born; burnt A11—
£01m, N°. 28.

Plusieurs propositions se suct‘étlent. Il Ifant
mettre les petitionnaircs en étar d’flrEC‘SEREIOD,
les interrogen Improuvenc la potition. Le
fauxbourg Saint-Antoine a bien mérité de la pa-
trie par rout ce qu'il :1 fair pour L1 revolution,
il £111: l’eclaircr. Toutes ces propositions se dis-
cutoient , lorsqu’on annonce qu’une seconde defi
putation dc ce meme fituxbourg se fait‘annoncer,
ct ptésentc dcs dispositions plus pacmquem On
l’admct, un tles liuissieis l’inttodmt, un citoyen
(lit : ' _

Législareurs , nous voyons avec douleur que
110m; Petition jette le trouble dans l’assemblee ,~
et vous fair perdre des momens pre’c1eux a la
cllose publiquc. Il y a one heure que nous at:
tendons 31 la porte du temple de la liberté; $1
nous eussions are aclmis tout de suite, la dis-
cussion seroit terminée il y :1 long- temps. Nous
11c venous pas pour Vous egorgcr, mais pour
voas défendre; nous demandons t111’1l nous sort
fair lecrure de la petition, .fin que nous dé-
sapprouvions cc: qui est contte nos principes.,

linfiu, aprés quelques debuts, l’assemblee
Passe ti l’ordre du jour.‘

Sconce (1:1 Joya/Z 2. 51112.

Une letrre dcs conunissajrss (lt‘: la conven-
sion au‘x :umées du Noril, errrveut tle Lille
tit; 1.9, qn’il y a eu tine atlairc tie posre pres
Bachi 0L1 110.15 avons eu l’avaniage.

Une lettre dos commissaircs .i Bayonne , an-
vonce que le lieutelunt—Colonel lnbete a lurtu
:1'1 corps d’Espagnols, s't-st cmparé tln Village
:1: Pu ”Midi or". l'on a [EUL'Vé 5JOUO car-
ton-i “.i- ‘ .15115, .19 bayannettes.

 

 

 

 

3.

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Les administrateurs de Nantes, écrivcntidu
2.8, que les rebelles out quitté Noirmouricrs.
Machecoul a été le theatre de leurs crimes;ils
y out égorgé 550 patriotes.

Une deputation de cette ville admise A la
barre en exposela. situation , retrace les horrenrs
que St: $011: permises les révoltés qui-ont this
perir plus de 2.,ooo patriotes. On decrete quc
cet et’rrayant: recit sera afliché par placard, in-
séré. au bulletin , e1; envoyé aux quarante-huit
sectiors. . .

On annonce de nouveaux succés. Les Hessois
et les Saxons ont regu quelqu'échec pres (l6
Cassel. Le 14 et le 16 ils on: temé one atraquc
pres de Maycnce , elle a été infrucrueusc ,,
_cette ville, marque Custine, par une lettre
du vrngt-neufavril , sera le tombeau des troupes
Alienmudes. _

Autres nouveaux succes sur les Espagnols,
quatre cents ont été battus par deux cents des
notres, qui se sour. emparé o'nn Village appollé
Saimon—(mldz'.

Une lettre de l’Orien: rend compte do
l’intendic des nagazins de ce port; 1111 brave
sappeur par son courage et son acrivité l’a
presqu’arrezé seu‘. .

Husic‘urs dons patriotiques, entr'autres de
Bourges, et de Cliamberry sont accueillis avec
‘econnoissznx, et mention honorable. _
”On nprend la discussion sur les subsistances;
on accrue plusieurs articles; nous en remettons
la lecrure a demain. '

U11 siXieme article portoit que les municipa-
lités scroient autorisécs a fixer le maximum du
prix des grains. Ce: article eprouve les plus
vivcs contradicrions. La discussmn se prolongc

 

LOTERIE DE FRANCE.
Numéros {ortis le 1“. Mai 1795,
89. 77. S4. 69. 59.
Przycmc'zr a’c Z’Hrlzel—dc—ville.

Six derniers mois 1792.. Ierzrc M

  
 

 

 

an {unfair i Paris au bureau do cejoumal boulevard de la pnrte 92.i11‘1-‘..':11‘ti11, :1 celle Saint-Denis N0. ;,.
Le: rr'nr Li».-1'2l111111151n2rrd‘: ce pa; iet nouvelle, le moms Lll‘lf d3 rous oil (it: 28 liVTc‘S 10 {His pour l’année

:5 liver '3 ;v-.;: Emmi-s 7 'ziw 1:; 1011315 pour ,trois 13.315. amt-1. deux moi: €11 envoy 111' rm sflignat dc 66m {015.

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