xt74xg9f7q9q https://exploreuk.uky.edu/dips/xt74xg9f7q9q/data/mets.xml Fontenai abbé de (Louis-Abel de Bonafons) 1737-1860 France Fontenai abbé de (Louis-Abel de Bonafons) 1737-1860 1792-06-26 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French Au Bureau du Journal general de France ou affiches, Paris, 1785-1792 This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Journal Général de France, 26 June 1792 text Journal Général de France, 26 June 1792 1792 1792-06-26 2023 true xt74xg9f7q9q section xt74xg9f7q9q aaaacmp Ho O- :3 M Q ‘U E. clue J ((117115 ,. Zil'llll.‘ ' 3.93%1! ~ c mug. . .. . , _ _ _-4-m' :.-...~—~———~—«———-~+—~— —-————-—r ——— «- f’" JJJ5 , ‘ 59‘ ‘ JOURNAL GENERAL D E F R ANCEe Du Mardi 26 Juin 1792. M/W. les souscripteurs (‘1 cc journal , dont l’abonnement expire z'z Zafln de ce nzoz's, son; plic's de le re/Lozweler, afln qu’zl n’y alt/vow: d mterru/len dam Zc seruzcc. N O U V E L L E S. De Buds, le 9 juilz. O N ne peut exprimer‘ l’enthouslasme querla noblesse et le peuple Hongrois out fair éclater é l’occasion de l’entrée triom- Phale et du coux‘onnement de leur souve— rain. Des vieillards , qui ont été témoins do I’in‘auguratiou de l’immortelle Marie-The?- rese, assurent que celle qui vient d’uvoir lieu l’emporte de beaucoup. La vue (lu pe- tit-lils de l’auguste reine a fair couler des lur- mcs do joie ei‘ d’atgendrissement, auxgfielles le uouveau roi et la princesse son (Spouse ont été infiniment sensibles.- Le 4, la diéte envoya une députatiou au roi , pour lui of: fz'ir , do la part dc la nation Hongroise, tout ce qui étoit on son pouvoir , pour le mettre r} méme (lo pousser avec viguour la guen'e coutre los Franqais. La veille S. M. avoit teuu aux érats assemblés l_e discours suivant. n Apljés la perte que j'ai faite , il y a Pen (lie => mols, du meilleur des péx‘es , mon_ coeur ra>plougé dans mie 'nouvelle (louleur par la nmort d’une mére chérie, Vient cllercher w an milieu do vous , mossieurs , les conso- nldtions dont il a nu si grand besoiu; an n milieu de vous, dis-je, qui' étes accoutu- a) més non-seuloment £1 montrel‘ 51 vds souve- n ruins une fidélité é: lioute épreuve, mais en- » Core i1 lr'ux‘ ren'l "e l’hommage 'dfun amour >.~ filial. Je vicui; pour élcverl, _‘(l'e' concert :0 (AVGC vous, messicurs, \‘0115 (1116111011 pére nregarrlo’t comme sus eul’dn's‘, un'mouu— nmoul: immortal dhumur (‘1 la mémoire de‘ sa Léoyol 'lI , en Yous proposant de concou- n rlr avec moi £1 exécuter , le plus prompteL a) mcnt que possible , les projels que ce glo- wrieux monarque avoit formés , et en par— _>) tie déjz‘l eutamés pour le bien commun ”(la la patrie. Ce sera une m‘aniére toute n nouvelle de lui témoiguer notre reconnois— nsance, quo de’nous occuper au plutOL de n (:65 lois 5i sages , dour il a posé les pref nmiéres bases. Un tel panégir'rque sera le ”plus conforme $1 mes vocux et a volrc (li- ngnité , en mg‘xme temps qu’il serrira (lc le- n gon 2'1 ccux qui ne connoissent pas les 3; homes qui séparent la liberlé de la licence. >>J’aumis (lésiré mettre incessamuwnt, et » déjz'i dams la prelsente diéte, lu mainz‘i cette nimpol‘ta-nte opération, (lout (lépendm le nbonheur de la postérité , mais comme les )) préparalifs de la guerre , que ld nation 7) Frangolse ma (léclai'ée si grazuitement et a) d’une maniére Si outrageaure, lcs soius (le 2) taut (18 provinces dom: il me filut prendre n 1.3 gouvernemcnf,et la situation dc l’empire n (iormanique , demandent impérleuseumnt n ma préseuce ailleurs , nous (levons nécus- n sairement nous bornur dans ce moment-0i >) £1 ce qui est le plus urgent Eu attendant , n poUrsatisfaire é ce que la loi exige , je vuis n rucevoir la couronne 51 l’excmplu (In mos glo~ n rieux prédécesseurs , el: renouvollcl‘t—n In‘é- usence de mon peuplc les engngnnmns que n'j‘ai déjél conl‘mctos (lune mou szu- (lu mo- n ment que la régeuce (la cu. ]‘-)}élilll)0 .31; (lo n‘mex autrus provinces m’aest dfiwnl no par (lroit s>d’lléréclité; vous lus commurcz pllh Claire- )) ment, messicurs , pml propositions. (la a n In grand chauca-Lor (lr: Hougrle cat clzax gé » do ma; panda Voua'donuar comm uuicaiiofi.» r-A: "_"—<\4‘v‘ «Lem ‘( 710) m— I’i’cmzc, Fe 10 jm’n. Le 5 de ce mois, 1e roi , norre auguste souverain, a fait son en- ~trée solennelle A Bude. Lajoie (les Hon- grois est au-dessus de‘jtoute expression ; ils r-figardent comme un heureux augure d’étre de nouveau gouvernés par un Francois et une Jl/Lzrie- Therese. —— Le 5 , 1a coura dé- péché un courrier 2‘1 Coblentz , pour porter aux émigrés frangais 1a permission de s’ar— mer et de se former en corps (lens les états de sa majesré. Cette permission est d’autant plus satisfaisante pour les éznigrés, qu’ils sont obliges de vuider he pays de Tréyes , pour faire place aux Prussiens , dont 1a pre- miere colonne doit arriver le 19. W Franc/“art, [c 15. Il passe con-tinuellement (les troupes pour se rendre clans les Pays- ‘bus. 11 est' arrive hicr un attiraii de 572 charriots charges de toutes sortes de mu- nitions et équipages. Aujourd’hui commen- cent les conferences de l’élection pour un chef de l’enipire germanique. W Fribozng , 17 juiu.‘ L’armée du roi (16 Irongrie, clans les environs de cette ville , sera (le 5‘) ,bdtailions d’infanterie , formant 45 mile hommes, et de 21 divisions do ca— valerie, formant S400 liommes. Les géné- Taux comummlans en chef sont : général prince (1e liohenlohc,générel prince (le VVHI- deck , general prince (‘l’Esterhazy , general \‘fuliis ; généruux majors : Erbach , d’Altou, Brenmno , Kospoth , Kollonitsth , Furten- berg ., ‘Werz‘ieck , Emresberg, Einsidel , Schmackers , Lichsen’uerg , Sclxroder er Li- Lien. La plupart (le' ces généraux se sont distingués dens la derniére guerre. “WW— OFo/zbourg, Ze 18 jui/z. M. le générai baé ron (le Brenmno , commandant des’ troupes 'autrichiennes cantonnées pres cl‘Offenbourg, aynnt appris que les Franguis venoient d’oc- cupcr un camp pres (le Plolzschim, 2t deux :licues de Strasbourg, sur la rive gauche du Rhin, (lonna aussiLOL lcs ordres A 4000 hom- mes (l’inFanterie , at 300 de camlerie, mu- nis (it) 12'pi«‘:ces de canon, d’avaucer vers In rive (lroite, (lirectement vis-z‘i—vis de ce camp. (let onlre fut execute llier; et ces troupes sont cantonnées 210(lenheim, Et- ‘ Ienheim et Jel‘xenlmim , trois villages (lis- Mus d'un (inert dc lieue l’un (le l’aque; car ii y a. apparencc que la; Autrichicns ne camperont pas , sans ,nécessité absolue , avant' la moisson. , . . 13., S. En ce moment , viennent d’arriver ici le‘général en chef prince'de Hohenloh‘e , , et les généraux Kespoth et Brentano. 115 tiennent conseil ensemble ; dans un quart d’heure, ils partent, le premier pour Fri- bourg, et les autres pour se rendre b. leurs POstes respectifs. Le résultat de la conl‘ée renc'e est un secret. ‘ ' 2 Paris, 26 Jain. Tout fair craindre que la capitale ne soit sous quelques jours en proie é toutes les horreurs de la guerre c'ivile. Les agitateurs du peuple sentcnt bie-n qu’ils onttrop osé pour espérer encorequelque pardon. Il faut que, par de nouveaux crimes , ils s’assurent de l’impunité des crimespréc‘édens ; er malheu- reusement iis sont places entre l‘écllat'l'aud et le succes de leurs affreux projets. Ils tiennent comiuucllement 1e peuple en lm~ leine. Le peuple est levé, s’écrient-ils ; ii sait que le premier de ses devoirs est de résisteré l’oppression. Depuis 1e 20 , les fauc— bourgs Saint—Antoine et Saint-Marceau se correspondent par cles (léputations , ct s’exci— tent mutuellementn l’insurrection. Dans des assemblées nocturnes et secretes, on con— certe et 1es,pl_ans qu’il Faint suivre et les moyens d’exécution. Saint—Huruge lmrnngue 1e palais—royal, et y éclmuffe les esprits ,. tandis que Santerre et d’autres émissaires nlimentent l’incendie qu’ils ont alluzné clans les faubourgs. Hier, 2‘1 trois heures (in ma— tin , Ies cris deschefs cle 1a Faction , et le bruit (les tambours ont donné le signal (le la révolte. Le peuple, qu’on y avoit pré-r paré dies in veille, s’est bientot ébrunlé. On a buttu sur-le-champ la générale : la garde‘ nationule ,. bien de'ciclée 2‘1 périr! plu- tOt que de lziisser pénétrcr une seeomle fois les brigands dans le cheiteau , en a occupé toutes les avenues. Les :irmes étoient clmr: gees , et (les canons postés it LOutes les issue/st Cet appareil imposant a épouvanté Ies fac- tieux: ils 5e sont divssipés pare-pen; mills l'insurrection n’est qu’ajom‘uée. —- Les bri- gands savent qu’au rel’us de la municipa- lité , le (lépurtement est (lecidé £1 l‘aire prof clamer la loi martiale. Ils (lisent huntement qu’ils feront marcher it leur téte les femmes des ofliciers dc l’état-major de la guide um tionale, les fenunes des négociaus et (les aristocrates. Ils vculent, (lit-on, s’emparer de l’zu'sonai (il est placé pres du faubouxg' (711) ~Saint-Antoine) , et en confier Ia garde a des hommes- qui leur sont dévoués. On as- sure que le projet est de nommer Pétion dictateur , projet qu’on auroit peut-étre déjé exécuté, si l’on ne craignoit que Lafayette ne revint sur Paris avec son armée. Tallien , un des agens les plus accrédités de la fac- tion ,‘engage tout le peuple ,dans son dernier placard, « a défendre M. Pétion. » -- M. Brissot se soutient toujours £1 la liauteur it laquelie i1 s’est élevé. Il trouve fort étrange que le roi ait osé dire A M. Pé- tion misez-vous .’ II assure que la constitu- tion n’a point donné ce droit au roi. C’est principalement contre lesxnouveaux minis- tres que l’honnéte Brissot épanche sa bile; 1'1 165 voit déje renvefirsés sans qu’il reste Ia moindre trace de leur existence. Dans la. bouche de Brissot , 06 grand artisan de com- plots , une pareille prophétie doit fuire trem- bler les feuilians. : La se’ance du conseil general de la commune du 25 juin a été trés - orageuse. Plusieurs ’membres ont opiné pour qu’on improuvdt la conduite de la municipalité. Un sur-tout a parlé avec la derniére force contre M. Pétion. Ce dernier I’a interpellé , afin qu’il mitrsa signature é tout: ce qu’il venoit d’avancercontre lui. L’opinant a signé sur le champ toutes les pages du dis- cours qu’il venoit de lire et l’a (Iéposé sur - le bureau. Cependant M._ ,Pétion 21 ie calme er l'assurzmce de 1’innocence. H vien: de jet- ter 1e gand au directoire; i1 1e somme , dans une lettre fort insolente , de le poursuivre s’il'a manque aux devoirs de 521‘ place. Le directoire n’a pas encore osé 'accepter 1e défi. - ' aim—— flrrézc' (la directoz're (in def/mnement de [a Somme , (m sujct ties eve/20772872: du 20 jm'u.‘ ‘ . Le directoire extraordinairement assem- bié 16 2.2 juin , informe’ des événemens arri- vés a Paris 16 20 (hi méme mois; A arrlflré et arre’tc ce qui suit : Le roi sera remercié de la fermeté qu’il amonlrée lors de l’atzroupement sédilieux du 20 (in present mois, d’avoir soutenu Ia .dignite’ de la nation, en refusant , an péril de 5:1 vie, de céder au menaces d’une foule 51+} gens sanseveu, ai‘més centre la Loi , er d’nvoir usé avec courage (in droit que 111i doune'la constitution , dont la gurde lui est spe’miaienwm con.iié(-: £1 i’el‘fel‘ die quoi deux dépulés du directoirc, du dégarleuicnc se- rout envoyés sur Ie champ (‘1 Paris pour présenter A sa majesté son hommage , son attachemcnt et le témoignage de la recon- noissance publique. Ces députés seront charges de rendre compte journellement au directoire, des ma- nwuvres et des projets des factieux , de veiller A la conservation de la personne du roi et de sa famille , et de périr , s’ii le faut , auprés de lui, pour sa’ defense et 1e salun de l’état. Seront lesdits députés charges d’of- frir 1e secours des gardes‘nationaux des deux cents bamillons de ce département, dans la cas oh la garde nationale de Paris 56 trou- veroit insuffisante pour assurer la vie du roi et la liberte’ du corps législatif: DECLARE que les citoyens gardes nationaux de ce dé- partement sont dés-é-présent constitués en état de requisition permanente , et que les commandaus dcs bataillons désigneront ciiav que semaine le huitiéme de leurs betaillons , pour étre de planton et'préts é marcher au. premier ordre des autorités constituées. ll sera donne’ avis de cette mesure él’assem- blée nationale et au roi. Pour l'exécution des présentes , 1e directoire u nommé pour ses dépulés MM. Decaie et Berville , mem- bres de l’administration de Ce département: et scra 1e present arrété imprimé etudressé , 51 1a. diligence du procureur—généra'l—syudic , aux c1ir-:ctoire.s de district du rcssortfpour étre envoyé aux municipalite’s , qui 19. Fe- ront lire, publicr et afficher en la nmniére accoutumée. ... Délivré [edit cxrrair-colgformc an registre (17a dirccloire (ludit (Zagrzarlmnentr , Signé 135510131511 , vice-president. BERVILLE , secréLuire—géném}. WW _ ASSEMBLfiE—NATION ALE-LEGISLATIVE. 'Se'zznce du lundi 25 juiu‘ Dans 1.1 sézmce du smiiedi on a décrété l’impression d’une adresse des anus de la constitution , qui pent figurer ix coté dr- celle des Marseillois. Le bruit s’élant répandu que le nouveau minisrre alloit destituer les jacobius que 1W. Claviére a mis A la téce de l’administration des postes , on a rendu , aprés (1e Hes-longs débats, le deem): que nous avons donné hier. Les ministl‘es sont venus rendre coiupre des mesurcs qu’ils ont pris jusqu’ici pour ré‘tablir 1a tranquillité. M. (hinder a trouvé ce coxnpte insuflisant: l’honoruhlc membre s'est livré & ses déclamayious ordiuaires 5» i1 ( 7-08 V, 5a été applaudi {1 outrance; mais M. Ramond lui a bientibt fair CXPiel‘ son triomphe , par ‘un discours adrdit et eloquent. On a néan- moins rendu le décret suiVant’. c't L’assemblée nationale vous ordonne (lei Vous conformer au déeret qu’elle a rendu , Vendredi dernie'r ; en Cor‘xséquerme , elle vaus demande par écrit, et dams trois jours, un compte général des mesures prises ou £1 prendre , afin de prévenir les troubles can; sés par le Fauatisme‘, et garantir Paris , en has d’iuvasion sur le territoire francais. n Sc’mICe rlu Zundi 25 'uin. ? J Plusieurs’ notaires écrivent qu’ils out re- fusé de recevoir les sighatures deé citoyens , our une pétition qui doit étre présentée a Passemblée. , M. Santerre écrit u’il répond de la tran- quillité des liabitans flu faubourg Saint-Au- Imne. ‘ :On annonce uue deputation (le Vingt Ci,- toyens sa‘ns armes de ce faubourg , qui Vien- hent assurer l’assemblée qu'uu moment 01‘1 6n les calomnie ils travaillent paisiblement. Nous ferons connoltre les principaux traits '(ln discours de l’orateur de la deputation , discours don‘t l’assemblée a décrété l’envoi aux 83 départemeus. ' ’ M. Delsaux a voulu parler contre les so. Ciétés populaires , il a été oblige- de se reti— rer au milieu des cris -— 5. has , 51 has : des- cends , descends.-——On s’occupoit de la (lis- cussion sur le mode de constater l’etat civil des citoyefis , lorsque 1e ministre de l'inté- rieur a annoncé que le calme so rétablissoit et que des groupes se dissipoie’nt. —— Un membre atteste que des groupes, composés do Chevaliers de Saint-Louis , out insulté des (léputés. NI. Czilvet dit qu’z‘t la vérité M. Duhem a été maltraité de paroles; mais que ce député tenoit contre' le rol des dis- cours qui font frémir. Toutes c’es (lénon; ciutions n’ont pas de suites. .~ 'l‘rois habitans du faubourg Saint-Antoine accusent M. Chalmt d’avoir préclné la révolte du mardi. au mercredi , dans une église du faubourg Saint-Antoine , et notamment l’m- .mssiuat du roi. Cos mots sont soulignés , (lit le secrétairo. M. Condorcct dit que 5a lingerie , qui y (Emit, lul a attesté que cusoit. Ila cité , pour so. justifier ,le procésl verbal fait dans la société oh il étoit, ré- digé par un de ses compl-ices sans doute. —- La dénonciation est: renvoyée au COXIllté d‘es ‘douze. ’ ' _____-——-—-— ' L’armée de Lukner est toujours‘restée campée sous Mcnin , clepuis laprise d‘e Courtrai._ ' Cello de Lafayette estél Bavai. L’eune’mi est en )résence.’ On attend demain la nou- velle ~e quelqufaction. LIVRE NOUViEAU. Le; Sabats Jacobites , tome troisiéme. )1 Paris, c/zcz J. Blane/Lon , rue Saint-An- drédes—Arcs , n0 110 ; c/Lez Lebom'e , li- bz‘dire , au Palms-Royal , galleries de boix, u0 I 18 ; at 07293 Lallemmw , libraire , szu' Palzc—Nelf, n° 19. On ne peut assez fairs l’éloge de ce char- mant ouvrage , 01‘1 toute la gaieté fraugaise semble s’étre refugiée : les traits les plus in- génieux et les plu piquans y abondent. Aprésavoir donné au public trois\volu- mes ‘des Sabats Jacobitcs, (lit l’auteur, je vais lui mettre sous les yeux un autre Jour- nal, intitulé: ['eir Gl‘mzcls'Sabam. Les cir- coustances changent , je dois changer la _ ‘ forme de mon ouvrage. La horde jacobite est sur son (léc‘lin‘, mals elle veut dans 5a chute entraiuer tout le royaume. Je tie promets cependant pas d’abandon- ner mes cllers jacobins. Je les chunsonnerai , toutes les fois qu’ils m’eu fourniront l’occag sion,et conséquemment je les chamonnerai souvent. Mals il faut parler de la guerre , célébrer nos exploits civiques, donuer des nouvelles de nos armées, 107's me’lne (/u’o‘n lien, apas. Le prix du volume, oomposé de 25 nu.- néros et d’une gravure, est (le 5 liv pour Paris , et de 6 1w; pour la province, franc (16 port. ‘ , On souscrit chez BLANCImN , libruire, rue Git-le—Coeur, no. 15; Llenoonu , liln'aim, au Paluis—Royal, galleries (L: bois , no, :83. On trouve aussi CllGZ l-fS mémos, lilnnix'ts , M. Cliubot u'avoit ,rrien (lit que de patrio- 1e joli poiime de Pfixénou , par le mi}: Lut- tiquc. M. ()habolna nié cc dont on l’ac- tour, 15 s. franc do port. ~ k . ”can ~211V-mwzvtz'r- ' ' “fl nakfl m. w; .. . ' .1 . ‘1" - u v . . g- LZ-u.'omzernrm a’e cc Journal , gut przmu tous les fours, est de 3*. luv. mm Pars ,3 VK Province , par: franc. LeBareau 1;" me name Saint-Augustin , Lian-l dc la com-u,