xt76m9022f2g https://exploreuk.uky.edu/dips/xt76m9022f2g/data/mets.xml  France  1793-04-26 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 26 April 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 26 April 1793 1793 1793-04-26 2023 true xt76m9022f2g section xt76m9022f2g   

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F R ANQ A l s , dc grands évésncmzm fe "MC-{MEI}? ; KC
ne )6: veis, tout cc one y’antend; , fur l
cec uvrirez , ce que vous app-re .1

'3'?!”va ;'>>",'.’>

 

mlrez , Rites—ls moi fnvmr ,

~- *7 en"

(iii: an Vzdezrc : tour at
a chair.- , ‘56 Vuus ‘en infirLus -,_ce fuck: V015
1: 1e publie nu Liam-e.

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Du Vendredi 7.6 Avril i793.

T ‘r
I“; OUVELLES ETRANGERES.
Odomsance concemarzt [es éngre’: Francais.
Mons, le 3 Avril.

n 11 cs: enjoin: :‘1 M. le Chevalier dc Ver—
sevil, dc publier er Elite signifier :i tous les
einisrés fi‘anglis qui vienncnt d’entrcr aux Pays—
an, ct don: il y a méme quelques uns qui
on: on l’imprudcnce de se rendre clans mon
quarutr—généml , qn’ils sc retirent sur—lc—
cliump do cius lcs ?ays—an ,' qu’ils reszen: tran-
qnillc-s eg p.1isil>les clans les cndroirs on ils om:
65c ilommiiés lusqu’i présent, or y attendant
lcs cvénemyns ulcericurs avec patience ».

Fair dams mon qmrzicr— ,
3. Mens, lo 3 Avril 1793.

Pt. COBOURG, li'eld—nmréclml.

Copen/mgue ) {'c S avail. —— Nous nc pou—
Vozis nous (lismnuler qu‘on clicrclic :l disse-
mzncr m lcs pmmpcs l'i'nngais, at 1'1 excitcr

SOLE

 

iiuncnt lo {maple i L521 soulévcmcncg
nmrlinmmu's do cc ccnmlot avoicnt cm on
trouvcr liorcnsion lo 2 ClC cc mois.

Un ccrnin Embands, épiciur, coumolc tie
Elna-mus crimes, vcnoir alkuc arrxité cr con~

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...‘;’:—'i 41L7L1X“£m~l2x...w_un——J

mung-551:2. U -»

 

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lwimczniai-zi are r}: iii-ix :14;

duir en prison, sous bonne e: {its escorrc.‘
Ce procédé, avoué ‘par lcs lois dc toutes
les nations politéqs.,.fu: rciirésenté RM: 165
instignzenrs, comm: une ennqmse HUUSEC.
En tout lien 15 pen-pie csr hols i Ironiper,
qLILLHd on a SL‘if—EUUC liars dc COIWII‘L‘ .sos
patfigies‘ projets clu masque de la popularize;
bicntot sc formc un QECL‘OUPCSICIIE do qual—
qucs apprentiffls, nuqucl se joignont qnclqucs
brigam‘ls‘, ils so poms): sous lcs twitch-s cijlun
juif , accusazcur dc Bizflnuzds, er sous LCl.CS
do l’avocat qui instrnisoit Li proxiiuru co;
cc: liomine. lls 0.31.11: 1:25 vi:rcs ‘ l'=
maisons, Ct 5e sci‘oic‘n: norm?
grands cxcés 5i l’;1}7p‘i’3Ll_ZC u: 11

no lcs cu: mis cn Liize. Cum?
n’a faint Progi‘: Kill-t onion s’un ét':i
mis, CE lcs lmbitans son: rest
pgisiblss. La mu: :1 til: initbiigr .i'
unc paccntc, Emu“ prcunni‘ {ILTOEmLS
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bits :umuiq.5 Paglia-1:12: ‘s-Clt‘J'iL, “.1111

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inisgnircs dc la convuuiozi

 
  
 
  
   
 
    
 
    
  
    
   
  
  
   
  
  
   
     
   
      

    
 

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commc prisonniers cl'état , an prince de Cobourg
a Mons , procla né le dauphin roi cle France 2i
la r’cte de son armée , et s’e'toit mis en u'iarclae
sur Paris, aprés avoir conclu uue tieve ave:
ie prince dc Cobcurg; décida le géne’ral Wurmser,
conmrandant sur la Haut-Rhin, cl’inviter 1:
general Gillot, connnandanta Landau , a true
cntrevue. A cet ellet, il euvoya lc comte de
Gallemberg; accompagné cl’un trumpette, vers
Iauclau. Le general Gillot acccpta la propo-
sition, er} l'ixa l’endroit , (lit Freulrof’f, pour le
rendez—vous. Le general \Vurmser s’y rendit,
ayant avec lui le colonel, Prince de Hohenlohe,
le general Klinglin, st—ri'ant clans son corps
d’armée , quelques autres oHiciers Gt 6 hussards.
Le commandant cle Landau: accompagné de 8
ofliciers, y arriva en meme tems. Apres les
salutations d’usage, on régnoit la plus grantle

politesse, tous les oflicrers s’éloignérent de six ’

pas , et la conference commenga, entre les cleux

généraux—commandans, en presence du prince '

dc Hohcnlohe et du general Kinglin, clu coté
des Aurtichiens , et d'un seul oflicier', du c-été
des Frangais, Le général \Vurmser parla, avec
bea‘ucoup cle force , des motifs de cette entrevue ,
ét représenta au générfrl 'Fr’ancais, que son
corps d’armée , joint :l celiti des l’russiens, sous
le prince de Hoheulolie, n’étant qu’a une lieue
et demie, pourroit eutrcprendse , :‘1 route heure,
1e siege de la place; qu’il seroit {fiche d’étre,
malgré lui, la cause de la ruine de la ville et
dc ses habitans, an cas qu’elle nc lui fut Pas
Iivrée de bon gté, comme il l’invitoit cle le
faire; que la ville ne lui ayant pas eté remise
par le roi, il dépemloit (le lui tie faire cesser
les calamités, suites tin reovicirle, par son ac—
cession volontaire, com-me Dumouricr l’avoit
déjil fait avcc son armée, qu’il pourroit ac~
qizérir, par _cetre (lémaiche, autant do mérite
quc do gloxre; qu’il devoit souger s cc qu’il
dtvoit a son nouvmu roi Louis XVII er prouver
a celui—ci la meme loyazité , avec laquelle il avoit
servi (comma tout lc momle lc savoit ), pen-
:lant plusicurs années, le roi injustemcnt exe-
euté', qu’il setoit traite au mieux ainsi quc la
ville et mus ceux qui cmbrassuroicnt la bonne
cause, ct que lui (\Vnrmscr) les recommau—
dcmit fortemcnt a S. M. I. et R. mais que,
dans la: cas d’un refus, il ne lui scroit pa .

 

 

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venus lc inure artérer, avon envoyé ceux-cr, l"

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diflicile d’obrenlr par la Farce la fin de ses pro:
positions. Le général Gillot téponclit avec au—
tant de décence que de modeStie, er déclara,'
que la ville lui ayant été confie’e par la nation,
il in: la rendroit qu’avec la vie. ll clemanda A
presenter ses ofliciers au général \Vnrmser ,
répéta en leur presence les propositions du ge—
neral ennemi et ses réponses. Les deux partis
prirent enfin congé , l’un de l’autre, de la ina—
niére la plus lionnéte. En partant, un oflicier
fraugais s’écria: (l dies, notrc gc'nc’ral 71c .rem
pas mz Dumouricr.

FRANCE.

Marfez'lle, [e 16 avril. —- Le fils do Phi-
lippe Egalité, est en cette ville, cn état d’ar-
reStation. Il a été pris é Aix , au moment oft il
y passoit , en revenant de l’armée d’Italie; il a
été tracluit ici sous l'escorte d’un déracliement
dc grenadiers nationanx. Les commissaires de
la convention nationals ont fait afl'icher a l’oc—
Casiou dc ccrte attestation, la proclamation sui-
vante.

CITOYENS,

Egalité le cadet est dans vos murs, sa vie
est un depot saCré qui vous es: confié, vous en
clevez Compte 21 la république entiere.

N’écoutez aucunes suggesrions perfides; on
en répand déja, c'esr a vous ci’en recherche: les
auteurs,

Si Egalité est ctiminel, c’est ll la nation '5
1e juger, et :‘1 vouse‘i le conserver pour cetre fin.

Si Egalitén’estpoint coupable, quel triomphe
pour vous, l‘vlarseillois, que celui d’avoir pro:
iegé l’innocence. I

Sous tous les rapports, Egalité est un (Stage
précieux, sur luquel la convention doit pro-
nonccr, et avcc lequel elle peut obtenir cle
grands avantages pour le bien de la république.

Dociles a la voix (lc vos fiéres , de vos amis,
votre géiiérosité, vorre dévouement au salut de
la patrie, sour pour nous les garants sur les—
quels nous comptons.

A Marseille, le i; avril 1795 , l'an second
de la republique fraucaise.

M. BAYLE, BOISSET.
Triémml criminal Rm'w’utionuairc. Audience a’u
mercredt 24 ai'r'il.
§ Le tribunal s’est occupé de l’aflaire (l6

 

 

 
  
     
      
        
       
    
   
   
   
  
 
 
 
  
 
 
 
 
 
 
  
   
    
  
  
 
  
  
  
   
  
  
   
  
    
    

 

 

 

    
        

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Jean-Paul Marat, député de Paris; :‘t 'la con—
vention nationals, accnsé cl’avoit‘ clans (lCS
écrits intirulés -. I’Ami du Pei/pie rt 16 Pub/iciszc,
Frovoqué, 1". lo pillage-,2". le mature; 3°.
,1 dissolution de la convention.

En entrant 31 l’autlience M. Marat a dit 31
l’uutlitoire ct aux juges : Citoycns, cc n’t-st point
1m coupablc qui ptzroiz dcvanz vain-5, c’csz [’amz'
du pulp/e, [’apétre at [e martyr a’c [a [217316;
cc n’esz qu’un grouppe de fdczieux et d’inzriguns
gui on: porte’ contre moi urz de’crer d’uccumzitm.

Les rémoins, qui ont été entcndus, n’ont
Iien déposé 5. charge iii '5 oéclmrge.

M. Gircy~Dupzés, rédacreur LlL] Patriote-
Fiancrtis, l’un dcs témoins, ayant été interpellé
cle déclarer qui lui a fourni la note qui se trouve
clans le numéro du 16 avril present mois; il
a (ii: 121 tenir dc Brissot, son anii, qui lui a
(lit 19. tenir £1 son tour de iliomas—Payne, qui
la tcnoit du jeune anglais, qu’on disoit s’etre
rue ‘51 cause do Marat.

Sur le réquisiroire de l’accusareur public, M.
BriSSOr :1 ea: invite '21 so rentlre an tribunal pour
donner les renscigneinens qui Feuvent Ette 2‘1
so connotssance.

Le tribunal a chntgé son president d’éCtire
:‘t cc: eficet an president de la convention na-
tionalc. Au bout d’cnviron trois quartsvd’heurc,
le president a annoncé o‘t l’uuditoite, que sur
la. lettre qu’il Aavoit écrite :iu president de la
convention nationale, elle avoit Passe '.l l’otdre
du jour.

Le jcune anglais (Ionnson) (lont il esr patlé
clans la 'note clu Patriotc—Frangais, coinme
s’étnnt su'i'ciclé aprés avoir lu les Ecrits cle M.
Marat , a été entendu en deposition; il a de-
claté que ce n’éroit pas Marat, mais bicn
Gorsas qu’il nvoi: lu,

_Ici, les plus vifs applaudisscmens se sont
fut: «entenclte dnns l’auditoire, M. Marat se
tournant vers 16 public, a (lit: Cimyens,
ma cause er: [a v61rc;je dc’fcnu’s ma Patric;
j: vous invite au plus profond si/ezicr, aft/i
d’ézer aux emzemi: de la 6/2056 pnl-ljgue [cs
moyens dc dire que 1,072 a inflate/255' [a
tlii’nmrtl.

M. Marat s’est défendu ave: beauconp
d'assurance. 11 a prononcé un discours pour
5:1 justification, qui a éé écortté dans 16
plus profoud silence, er ensuite convert d’np—
plaudissemens.

 

 

 

 

     

Le tribunal, sur la declaration unanims
cles jurés que l’accusé n’etoit pas. convaincu
d’avoir eu'l’intcntion dans ses écrlts de P1131.
voqucr 1c Pillage, le meurtre ni la dissolu<
lion (’6 la convention, 1’3 acquitté dc l’ac—

7- cusntion, ordcnné que son nom sets. btfic

et le jngtmcnt afifché.

M. Marat a (lit avant de sottit du fin;—
teuil : Cimycns, [6 50M des conspirazcurs est
dam to: mains, protc’gq [’innoccnt ct puffs“
56; [e coafal‘le. ct la putrie gem sanwc.

Il esr ensuite sotti au milieu cl’nne fouls
immense qui rem-plissoit les salles clu palais,
er a été convert cle couronnc—s civiques par
les membrcs dcs sociétes populaires. N:
’ Marat est age do 49 ans, est we :1 Banclu
comté cle Neuf—Chatcl en Suisse.

.
i

a CONVENTION NATIONAL?
3 bum: de [:2 56am: d1 mercrctt’z 24 mm].

LC citoyen president du tribunal revolution-
naite écrit an president cle la convention qu’un
témoin quidépose (lans l’nflaire de Marat, a
imliqtté Brissot comma l’autcut d’une ”tote étant
clans le patriote frangais; que le tribunal a at-
rété. q‘ueBrissot, par l’orgnne clu president,
semi: lnvné d se tendrc an tribunal. Lo. discus-

 

 

 

 

rwmfigwmmmnmmmm ‘ .

sion s’engage pour savoit si Brissot Clmt s’y
rentlrc; mais stir ce qu’on observe que le tri—
bunal auroit pu faite assigner Brissor, et que
tout citoycn , tc—l qu’il soit,'doir obéit 5. laloi,
on passe fl l’orrlre du jour.

On cléctéte plusieurs articles sur la vente du
mobilier des bicns nationaux : {in cntr’aurrcs
porte (lu’on ne Pc-urm pa}; Elite par four, pins
~fle‘iqua’tre ventcs cle I}1t;l31ll¢£§, qtn seront routes
marquees put dcs afhclies. 'iout l9 mobiler 52H.

etilablcment estfmé. Peine contre crux qni
troubletcnt lcs enchéres , on qui les Gnu-,3.
chcront. , . 1

Lecture definitive clu clécrct qni orclonnc la

 

 

.At_,,.

 

g; cepoi‘rarton a la Quyannc-‘frangsnse cle tour
lg; eccleuiuanue , accultcr , rcgulrcr , convers , lays ,
3);}; qlll 1} Euro. P35 PHJEC SiLl'lllCllt (“HIDE l6 2-5 [3331";

115;;

dtrnier, contortmmcnt A la loi du 1; mm}
i790 , ct lc-s neportes qui rcntrtront en France,

  
 

 

 

I ,l
-"’l
lg; scront nus a URI! dais les 24 hcures.
if! thc lettrc tic.) atlinnistratci:rx (le Marne
‘ x ‘H‘ . ,’ ,c ,.,"|. . v '
I , er tom. 5.. .Ugncnt tl_. n rogue Cans lcs troupes

 

Bil Clu géuuztl liboniCt Lm rapt-it tlc brigantlage

«pf-V. {33,2367 ;

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 
  
 
  
  
 
 
  
  
  
  
   
 
 
  
   
  
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

      

     
  
  
   
    
  
   
   
   
    
 
   
    
    
   
  
  
   
   
  
 
  
 

c1 dc 111111131- ; 1105

—respcc1ées 11.1 .1: 105 b1'1g2111d5' 01 ceux qui Viennent
110115 11é1c1111re, s’eu e111pare111.
(1.1111 (1111 est 11131610111” de ce département,
(.11 qL1’11Ia vér1té 11 y a quelques mauvals 511-
-,15 111.115 qua 121 preuve (111115 50111 131611 (115—
c1p1111és, c’cst q11’115 0111 11'é 0115 de 15 1111116
161191125 , at 11111- (.:.-11101 , 11-111 chef a (3112’ 1116

1111:; dc (3111.111 ,01 011111111011 dc rcjctrcr 16 111.11
5111' its 1101111125, 11 £1111 1311111131111 1111 1113111111

mm 15111111 13 01311.3 1.11 1311-1111114 £6 120111110110 a

12111 052.111. P101: 1,113 1.1 101111113.
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palais 11111011211 est p1ére 2‘1 recevoir Ies députéé

pour le premier 111.115 11 propose ne’anmoms
(111011 diflére 1111 1:10 jour de I’aniversaire dc
louveuure des Erats- -gé11é1':111x. Qua-1 espnce
1111111151156 121 nation apa1couru depnis cetze époque,
er combien quatrc 111nées 011111116111: de chan—
gcment dans le 11101.11 comme dans lordre
pol11:que de 11' France.

Se’a/zce du feudi 25 awil.

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