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rort pus prévoir que , jbur LL main de [a Nation,
ces biens dcviendront la propriété commc ceux
du Clergé P Sans répondre :‘L cettequcl’cion , nous
ous permettrons une autre obfervation fur ‘le
.grand motif de ce décret. A: '
Les Opinans contre les Emigrés fe font tousr
a‘ccordés 31 les regarder comme la grande caufe
de la. guerre dont la France ell: menacée. Mais“
tous ces Emigrés feroient refiés en France, en
aurions—nous moins la guerre avec l’Empirc .> les
Princes Allemands pofl'eflionnés en Alface & en‘
Lorraine en auroient—ils moins demandé la refii—
tlltiOIl dc leurs droits ? la Diette en auroit—elle}
moins donné {on Conclufam ? l’Empereur 8c 13.
I’rufl'e en auroicnt—ils été moins jaloux de main—‘
tcnir ces. droits de l’Empire, parce que leur'
volarion auroitété plus généralement applau--
die 9 Toutes les 'autres Puifl‘inces de l'Europe err
- auroient—ellesété moins allarmécs des principes mo—'
dernesBc d’une révolutiondont le fuccés plus comd
plet; en France ne leur auroit montré - u’un
damper plus preflantpour leurs Etats .> ell-i1 bien vraf
d’ai leurs que la petite armée des Emigrés efit
occafionné de fr grandes dépenfes, {i nos Décrets
les eulTeut lailTés feuls intérellés 3i les combuttrc?
Il nous femble que ces quellions auroient p11
fournir quelques o-bfervations qui u’ont pas été
faites fans doute, parce que tout le monde n’a;
pas le teAmps dc ~refléchir, quand‘ il y a zngcnce ,
8: pcur—etre aufli parce qu’on n’ofe pas toujours
tout dire, quand les bravo‘ font tous pour 1m
coté , 8t les huées toutes pour l’autre. 11 y a nil
peu loin d’lnviolable z‘z imperturbable.
Quelquc tard qu’il fut , ce Décret rendu , M.
de Lc.fl:art a voulu encore annoncer les bonnes
difpofitions dc l’Eleéteu‘r de 'l‘réves. Ce n'ell pas
chezlul que les Emigrés {e rafl‘emblent; c’efl 3!.
Bareith 8: :‘1' Anfpach, fous ’les aul‘pice du Roi
de Prulle, 8c :‘1 Fribourg, four ceux dc l’Empe~
reul“, qu! n’a point encore fair de réponfc aux
explieutrons demandées par le Roi.
Cc fort, nous avons eu encore une Séance;
d'abord quelques Pétitions ; enfuite le rand
Rapport fur M. Mulot. Sans admettre toutes lcs
accufatlons contre ce fumeux Commillaire d’A~
vignonx, M. le Rapporteur ne fait trop comment
It: délendre d’avoir évidemment favorifé un
‘parti cabaleur; d’avoir rendu 1:1 liberté aux atro~
alfulfins du ficur Vilaffc 5 d‘zxvoir emplové la
voie des armes; au lieu dcs voics dc coacili‘a‘rion.