xt783b5w9q15 https://exploreuk.uky.edu/dips/xt783b5w9q15/data/mets.xml  France  1793-09-21 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 21 September 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 21 September 1793 1793 1793-09-21 2023 true xt783b5w9q15 section xt783b5w9q15  

 

GAZETTE DU JGUR.

; 3e Illis en Vzdetzr: toutce
Fur Err: champ J )9 vous en infiruis ; ce quc vous
) fakes-Kc moi favoxr , )e 1e pubhe fut lheure.

F a A N g. A r s , tie gnnds évenemeris
one ie vois, tout ce que I’entends ,

récouvrirez , ce que vous apprendrm

 

 

£2122 deuxiéme de [a Repuéliqzze Fz‘angaise.

9‘:

Du Samedi 2t Septembre 17

”—

FRANCE.

Dc Strasbourg, [5 I4. scpte'nl're. —— La cano-
mde sut Keiil talcum, aprés avoir déttuit les
batteries et les retranchemens dcs ennemis, 6:
Edit saute: en l’air leurs magasins. Ce soir on
a vu en feu une grande maison iSOIEe qui paroi:
{:tre l'auberge 3t l’aigle sur la chausses. Les en-
nemis out sgu pour la seconde fois se sen/1r
adtoitement des téuébtes de la nuit pout mettte
.le fen au pout du Rhin, qui est tout de bois;
11 paroit qu’ils en ont gaudronne 1a surface, par—
ce que You n’a pas pu parvenit 31 eteindre les
fhmmes.

De Wissembourg, le 12. Septemltrc, au soir ,
d 8 heurss. '

Depuis ce imtin $1 4 heures le canon roule
de tomes parts depuis Birdie jnsqn’d Lauretbourg
route l’nrmée est en mouvcment dans les mon-
tvgnes; nous :wons tepris aux ennemis les trois
canons qu’ils nous out pris bier, dans la fore:
de Bienwa‘d 5 aussi nous avons eu des succés, nos
troupes sont allées :‘1 Schaid, village on dega
de Fteckenfeld, les ennemis y ont'perdu cou—
sxdérabiement du monde , notre centre aussi étoit
avancé et sembloit temporter quelques avantages
mats vets la fin du jour, il a été Obllgé de se

. 1
i

\

 

Li

replie: snr 5;; premiere position. Cette kumée

_ qui ne nous a cofité que peu de monde, est sans
doute l’avant—wureur d’evénemens pins impot-
tans ', i1 failoit essayer les nouvelles troupes qui
sont '5. l’dtmée; i1 paroit qu’elles se font nu feu
:‘z met‘veille. ‘

Toute Farmée est animée d’une grande ac-
dent. Ce: agxrés-diné on nous a ammené un
ofliciet d’émigrés ptis du coté de Lautexbourg,
et :5. l’instant on nous ammene encore I; pri-
sonniets, e: 14. deserteurs autrich‘ens.

L’affaite a été plus chaude du coté de Lau-
terboutg.

4 .' ,' ’ ‘ - , . . _
Au quaracr-gcncral a Wzssemboiirg , [e x, sap
teml‘rc.

Metcredi, t t du ptésent,l’ennemi favorisé par
les pmtiques et les intelligences crimineHes du
traitre Dntlnndes , général fiangais, émigté dans
les iouts de combat du 2.2. au 2.8 aofit, a. sur-
ptis 1e camp tetranché de Nothweiller dans les
gorges, e: s’est avancé jusqu’au Dahnbmck,
non loin de Limbach. Les mesures les plus
ptomptes et les plus sages out été prises le
'méim: jour , par les tepre’sentans du peuple et
le génétai Landtemont, pour tompte ces fu—
uesws intelligences, qui pougoieut dfaucant. New;

2&1! 3

 

 servir nos ennemis, que le scélérat Darland‘es
avoir lui méme commandé, pendant pres dc
six mois, les troupes de la république dan‘s ces
gorges, et que lui—méme y- avoir érab‘li tous
les posres, qu’elles y occuporent.

Jeudi 12L, les ennemis ont été répoussés du
Dalmbruck, jusques sur le camp rerranclré de
Norhweillcr . oft rls 5e son: maintenus , malgré
rous les efl'orts des braves soldats de la liberré,
qui en on: rué plus de 800 , er qui se son: rous
sigmlés . ar des prodiges de valeur, en sur-
moutant es difliculrés d’un terrein , presque imv
prarimble , soir pour monrer, sort pour des—
ceudre. Ils n’ont perdu que tres-peu de leurs
freres, qui on: ere bien vcngés, ec qui le se—
ronr encore de terns en terns.

De Lauzerbourv. Le général Dubois, le gé<
néral Défaix, et le general Michaulr, on: at-
mqué sur trois colonnes ddns la forér du Bien—
wald, ou la rnitraille , les balleset les bayon-
netres republicaiues, on: rués deux mille en-
nemis, et plus de cent de leurs clrevaux. Un
boulet de 8 leur a démonré une piece de 2.5,
er un obus leur a fair saurer un Eaisson. Deux
batteries out ére emportées par les soldars,
qui combanent pour. la liberré,‘ rrr’ois canons ,
er un obus out éré encloués’, une cor‘npagme
d’artilleurs a éré prise route enriére avec Vson
commandant. Dans certe arraque, le 2.". ba-

raillon du 75e regiment d’infanrerie, ci—devanr'

Monsieur, a sourenu sa reputation par une in—
Irépidiré, er Lin acharnemenr, dom il y a pen
d’eXcmples.

Les émigrés arraqués par la gauche clu centre
om été mis en firire c: on: abandonné leur
camp‘, plaice entr'e'Balerorh et'BleiSWciler; ils
onr eré poursuivis par les sans-culortes jusqu’i
Nirieroluba'ch, norre premier Coup 'de canon,
lent a fair sa‘urer un‘ Caisson. Les husSnrds cle
la liberré sonr rombés, le sabre 31 la main sur
(leer de leurs redoures, les our prises, er on:
repoussé le triple de cavalzfirie ennemie , qui n’a
pis osé lcs arremlre i In charge. Un' de ces
liusrarrls «5’63: rrou'vé enrouré par dix lumards
euncmis‘, s’esr bartu avec 'e'ux, a éré blessé e:
eutin rl s’csr défendu jusqu’fi ce que ses cama-
radeslsoiem venus le. délivrer, _
Dizns un moment 'd_’im ar‘d'eur‘rrrbp vive, i
‘poursuivre les ennemis , 1e feu de leurs barteries

 

 

 

 

 

 

“inane“...

 

 

nous a‘ tué plusieurs chewaux , e: blessé quelques
ch‘asseurs, du Se regimen: don: un oflicier,
nommé 'I'h‘ierry , a éré rué. La droire du centre
a commence son feufi 5 lieures er demi du
inatin , dans la partie de la fore: du Bicnwnld,
qui tonclie le Village de Sclicid', er n’a cessé de
tirer qu’i 7 lieures du soir, en nourrissant rou-
jours un fen dc file, non interrom u. On ne
peur évaluc—r la perze de l’ennemi ue ce core,
2. ofliciers dc nos troupes y on: éré blesses ,
uu bouler es: venu mourir sur le genou (lu
citoyen Després, offcier des chasscurs du Rhin,
d’une valenr disringuée, sans lui fairs le plus
petit 11ml: le citoycn Schamo, direcreur do la
verrerie de St. Quirin, vcuu ave-C les braves
Vosgiens , a teen uue blessur; :1 la jambe , causée

.par un éclar d’o'ous.

Fermi l‘c's émigrés rués , il s'csr rrouve’ plu—
sieurs Chevaliers d: Sam: Z0125. L’un d'eux,
fair prisonnier, a 3:6 fusille ce soir :l 6 lieures
er demi, 2'1 l’avant—garde. Sa dcrniére parole fur
Viva la Roi et la fizmille dc: Bonrfions. Les
cris cle vive la rcpubz’ique y out bicnror succéde
et non: pas expire sur les levres (lo ceux qui

’ les prononc'oienr.

Cc: émig'ré se nommoit Afarrsicur [P Comte
de Aiding. 11 a conservé le plus grand courage,
a remoigné'qu’il csrimoit un pitriore {crime clans
son opinion , er qu’il méprigoit un rza'ir e rel que
Darlandcs. ll :1 prOmxs qu’il ne mourroir point
comme Custines, qui est morr, a—téil dir, en
[tic/1e, en mpucin, e: il a term 53 parole. IV.
I: Comte d: Maurzy, étoi: avnnr sou émigm~
rion, capiraine an 159 régimenr d’infanrérie, ci-
d'jvant Bourbonnois. Depuis son émigrarion , il
avoit été promu an grade d’appoinré pnrmi lcs
Chevaliers de la couronne, e; avoir la perspec-
tive d’y dovenir un jour capoml.

( Comrfcr dc Strulraurgaj

D5 Cor/mar, [c 12. septum/1n. -—-La mass‘e
du people qui se léve (le nos Gore's, part au-
jourd’hui pour le Sundgau, occuper les bords
clu Rhin prés cle Gross—Kembs , Hasinguen e:
Orrmarsheim.11 fanr que clmcun s’approviaionnc

Spout douze jonrs. Ces Ciroyens soldars our beau-
rcoup de 'bateaux "aver: eux, sans do'ute pour
'pénérrcr rlans le Brisgau. lVIais quand méme ils

" i-ne'passeroient pas la riviere,rrls ne laisseronr

‘pas '-que dc‘faire une pu‘issanre diversioniaux

ennemis, en faveur de norre armée.

De
I

mill
mia
cl’A
cndi
«la
de j
Ce
ton
qui:
er I
se
Err:

 

 De Sonnes , 3021: longwy , 1e 10 uptemére.

Les troupes ennemies grossissent. II y a douze
mille hommes arrives :‘1 Luxembourg, et qui de-
micchleut les clerticres dc Longwy. Le posre
d’Arion esr rempli de soidnts. 11 y a deux cs—
cndtons de chevaux-Iegers tepnndus (inns lavallée
(1e Vitton jusqu’i Obnnge, Village :1 une lieue
de Longwy, sur la chanssée qui conduirz‘t Ation
Ce seroit le moment d'occupet 1e mont Quin-
ton qui convrc Montmcdy. On a mis en te—
quisition goo ciroyens du district de Longwy,
er d’un district tie in Mense, voisin, qui vont
se cantonnsr sut its frontiéres. Us doivent y
{me nminrcmnr. Nous manquons encore de ca-
valerie. C’esf, Ie moment d'appelet tous les ann
ciuns Cnvahers et de les monter.

Paris. ——~ Cernés de routes parts :i l'cXtérieur
dc in Franc-e, la guerte interieute cmpéclunt
un: parrie de la ranbliqne de communique:
nvec i’autre, on es: déjii fort cmbatasfi de se
procurer dos nouveiles _, et celles qui atrivc—nt
51 trnvets mii'le diflicnltés, souvenr no se pi‘é-
sentent p.13 a’vec route 121 véracité qui en fait
le mérite. Lrs jourmiisres qui sont les moyens
de la propagation des nouvclles , sour donc pat
Li plus exposes clue les auti‘es d dormer quel-
que fois dc fausses nonveilcs , n’nyanr d’ailleurs
ancuns moyans de s’assnrer de leur vériré: er
voili qu’un décret ordonne que tons ceux qui
présenreront dc {Misses native-Hes dans la vue
de susciter du trouble , serort ri‘aduits au tri-
bunal rérvoiutionnniri' , d’cuil suit que les jour—
miistcs sont pins exPosés que les autijes aux
efiéts rigonreux (if) cetre ioi , er qu’i'is ne setorent
pas meme dispensiés d’en subii‘ 1.1 rigueut, quand
ils exciperoicnt do ieurs cortespondnnces , part6
qu’on leur diroit : Vous aver: an vcu assure:
de la DOUVGiie, et qu’il seroit encore plus £1—
cile de leur snpposet des intentions contra-re-
volmionnnires dans l’annonce In Flu; indiflérente.
~Nous=ptions done nos lccreurs qui prenncnt
assez d’ime’rét it notte feuiile pour nous faire
passer des inouvei'ies de lenrs départcmeus , dc
set rem-ire,piusscruonleux que jamais dans l’e,n~
voi de celles qu’ils nous adresucmnr. La res-
pon-sabili-térrepose sur nous._Iis voudtont bien aussi
ne 'pas trouvet mauvais si nous ne SECOHLLOUS
spas roujoursleurs desirs .de voir lenrs nouve‘lles
5e réPandre aussi- «3:, ce qui Pourm altéter

'(3

fill-M—N‘Dw—n.

i
i
‘ J

i

{

 

 

 

m

I
i
i
i
i
i

5
ii
i'
i
it;

i
i
i
l
1

i

 

)

queique fois certe fruit/tear qui, plair mnt aux
amateurs des nouveaute’s.

§ Le commandant de Cambtai es: destitué,

er mis en émt d’aitestation.

' 1) Danton esr dénoucé aux CordeiierS, par
Vincent , hm des premiers commis de la ma-
rine, et i’cn a mis 51 l'ordte do jout les (16-
noncmtions centre tous les gens en pla:e, 6:
tous les individus auxqucls on a des griefs :‘i
reptorher.

{5 On continue Farrcsration des gens sus-
picts. Le ci-dcvnnt comte de Brion :1 en: con—
Iuit :‘i Sainte Pelagic.

I

Q

§ Sur la proposition d’Hébert, le couseil de
la commune a were que tons les mucous, C111E4
penticts, serruricrs, ct nutres, scrout tenus d’a-
bundonnet incontinent lent; tramux, pout sc
livtet :‘1 l’émbiiszement des atteliers destinés ila
fabricmion des armes. A Fi‘opos d’Hébert ,
eon ‘ére Duchéne est toujours B. . . . . . . . . . .
‘en colére. 11 vient dams sat feniiie d’hiet de
l’exhaler conue tous 1es détenus dam les pri-
sons, et sot-tour de ce que l’on ailonge la
’“counoie nu sujct dujugement do Btissot,'de
1a venve C3pe:, de Fauchet, de Vergniaud,
Gensonné, o'u borgnc Manuel , et de tous ces
scélérats qtii vouioic—nt dépecet In répnblique er
en vcndte les lambenux, no roi Georges Dan—
diu, eu Mancitin de Prusse e: an Cartouche
de Vienne: i1 suppose qu’il a. été voir tous
les prisonniers c—t continue: ‘

a Je ne m’atrétai pas long—toms aver nous
ces brigsnds; leut presence m’inspitoit ttop
dfilorteur. ,Chemin fnisnnt , je donnai un coup
de pied :‘x in conciergeric, ‘ponr rendre visxte :1
la veuve Caper. Je. rtouvai 13 g. . .. mnsi in;
so‘ienre que de coutume. .cs Tu as beau juror
et te débnptiser , vieux matchand de foumeaux,
me dir elle , je ne semiupas raccourcie , j’ai Lies
amis [Tar-[0L]! er clans 13. convention meme; ils
out in pane bien gi'aissec pout allongcrla tour?
r0ie.€t pour m’ouvrir , unfmnu ‘niatin , les porrcs
(13:3?ch prison, “-er je mien .doute p.35 , “co;
quinc; mitis 1e people esc—i‘i. 11 faudm ibien
qn’on en passe put of) ii voudra, cat c’est 1e
Souvemin , c‘est 1e ma’irre; cei ifest que qudnd
i1 dotr , ‘qu’on 50 f. . . . dc: lui, mois qunnd i1
56 réveille :. game laflbmnbe;~ ton Qgros cogu ayoit'

 

 . “E
s.- :n_,.

:u

{4,}

de-s'e' réunir 2‘1 Marseille- pour extitpet dans le

.3

s... .._._,.. . a: -Tw‘rw M‘AM‘.

tie bons amis clans la convention , il n’en 'a pas‘ 3:;
moins joué ii 19. main chaude; tu essaiems aussi‘ i '

la cravatre , f. . . . n. ,,
§ La sociéré de Lajouski, dinns 'I-e {auxbourg
Sr. Marcel , vient communique: un projet

a

d’adresse ti la convention, donr VOlCl . exttalt:

n Legislaieurs, ce n’est pas assm tl’avoir tiré
le glaive dc SOL' fourteau , il {nut le plonger clans
le .aein dc} depure’s proscrits. Que COmPIC‘Z'VOJS
fm-e de cetre NItSballl‘le modetne, qui no devroit
déja plus étte'comptee nu nombte (les vivans?
(. Ici les tribunes applaudissenr pendant long—
tcms, et la socié c crie bravo. ) Légizlateuts,
c’est au nom dc tout le peuple que nous vous
demandons la mort des tta'nrt-s (lesignes clans
CLEfe petition. Vous avez tire ie glaive; tee n’esr
pas seulement pour es intimidet, insis Pout
leut Percer le sein. Applnudi et adopté.
CONVENTION NATIONALE

(Présideuce du citoyen Billaucl—Varennes. )

Addition :2 [a se’imce d’hicr.

Le colonel légionmire , écrit de Ham le 14
septembre, qu’msrruit qu'il fipassoit routes les
nuirs quelques émigrés , qm hloient pout rentrer
dans la république , il s'est pose’ avec force suf-
‘sanre en embuscade. A minuit , seize homines
passenr -, aptes avait crié ttois fois qui vivc, per-
sonne ne répondanr , on a fair fen cle file snr
eux , rm 2. éré rué , deux blessés , onze Fairs pri-
sonniers; on lies a reconnus pour ptisonniers
detenus :i la citadelle, (qui désertoient; ils sont
au cachet; mais on a piérendu que plusieurs
aurres ayant enrendu la fusillatle , s’étoient c.1—
chés dans un bois , sur la route de St. Quentin;
il a £11: corner le bois.

On a arrété le procureur syndic tin district
de l’Orient, le maite, le procureur de la com-
mune , 1e commandant de la place, le lieute-
nant des canonniers , comme nyant voulu livrer
la place aux ennemis de la répnblique. Une dé-
purarion‘de cetre ville les reclame , E‘t se rend
garanr de leur civisme. Renvoyé an comité.

71 sociétés populaires du Midi ont artété

l

 

 

 

 

 

Midi, les racmes de fetiéralisme. blles ont
a‘rr'eréla formation d’une ntmée tévolutionnuite.
Elles delimndenr la réte cle certe sceletate , de
cette messnline nutrithienne qui a fair les maL
hCUi'S de la France; de déclarernuls rous les
certifitats de civisme, er de n’en laisset accor-
d’et cine pit les sociéiés populaires.

Cumlwu es: élu piesident.

ric'Jm'e dz Ventr'rc'dz I; Septem/vre.

Le nombre des prisonniers de Paris est
tle.............. 2.3129.

Une société pupulaitc, celle du Puy, invite
la convention de lever une atme: revolutionc
naite assez forte, qui, (iivisée en 4 colonnes
partirz Lies 4 coins dc la i'eptzblique, en 5e
portant snr le centre, nynn: clucune un triblh
nal er Line guillotine pout fiiite guillotine-rd routes
mains les aristocrates cl lcs gens suspects qu’elles
trouveront sur leur passsgc.

Gossum annonce que malgré les efforts du
general Billet, pour flute lever 1e siege du
,Quesnoy, Cette plate est anjoutri’hui la con~
quéte des Aurrichiens , que la gatnison a été
faite prisonniete, et qu'on ignore le sort des
habitans; mais Houclmrcl marche d in tencontre
de Cobourgnvec des forces formidables.

Le nouveau commandant de Perpignan Dalionst
écrit que le génétal a potté son quartier zl Sijan ,
en laissunt :‘i .Petpignan rout ce qui esr néces-
saire pour le SiEge; il protesre de faire saurer
plurot toutes les fortifitations, at de ne laisser
qu’un monceau de CClldfai , plutot que de se
tenure.

Les administrateuts de l’Hérnult ont défendu
:1 tons citoyens de receler :des jeunes gens pour
les soustraire :i la requisition.

.L’assemblée appzouve le clécret er de plus
décréte que tout ritoyen range dans la premiere
classe, qui refuseta d’obéir :‘1 la loi, sew mis
en érar d'artestation.

Il s’esr élevé un mouvement contre - tévolu-
tlonnaire :‘1 Toulouse, mais le courage des sans—
Culottes a tour fair renrrer clans l’ordre, et les

5 l auteurs de la sediiion vonr étte guillotincs.

.-

On fouscrit :1 Paris In bureau de ceiourngl boulevard de la porte Saint-Marimi celle Saint—Denis N'- ;
is prix de l’abonncmem de ce_ papier nouvelle, [e mains cher de tous eft {ie 34 livres pour l’nnnée. ISliv.
pout fix mors glivtes pour troxs mom. er pour deux mots en envoyanr 6_lw._ , . ‘

 

.A .CLQ.

(1‘2) nor. :3 (b ”"h‘

'1th