xt7d251fnc76 https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7d251fnc76/data/mets.xml Fontenai abbé de (Louis-Abel de Bonafons) 1737-1864 France Fontenai abbé de (Louis-Abel de Bonafons) 1737-1864 1792-08-10 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French Au Bureau du Journal general de France ou affiches, Paris, 1785-1792  This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Journal Général de France, 10 August 1792 text Journal Général de France, 10 August 1792 1792 1792-08-10 2023 true xt7d251fnc76 section xt7d251fnc76   

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N0 223.

 

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(839)

 

 

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GENERAL
ANCE.

 

 

Du Vc/zdrcdz' IO Aoflt 1792..

 

 

 

MELAJVGES.
To u T senilile aunoncor que nous ne som—
mes plus éloignés que (lo qiwlques jcurs de
liépoque houreuse qui doit zu'racher notre
liiallieureuse patrie aux mains sanglzmtes qui
1&1 déchirent .' mais ii l’cspoir llutteur que full:
nziiLre cette idée, se méle um: secrete her-
tour, quand on se représente lcs époumn—
tables torfails qui vom. Iiiai-qucr pHuL (‘étre
ces jours afl'reux qu'on voudroit pom'oir
retranclier de la cliaine dcs temps. Que de
x icrimes infortunées sont menacéus (le tom-
lwr sous~ lc couz‘eau dcs assassins 51 la veille
(lo voir briller le jour de la justice et des
Vengeuuccs l combien de perties la religion
n’uura— t-elle pus £1 déplorer! combicn de
moyalistes ne 1,)ayer0nt-ils pas de leur sang
leur courageux attacheuient 4'1 la mouarchie
or £1 leur souveruin l . .. . . La mort parcourt
(léje‘i les pays méridionaux, tmluant it 81!.
suite toutes les Cl‘uautés qui naissent (les
liaizics particuliéres, du fanatisme et de les—
prit dc parti. Ces contrées superbes , l'or-
gueil de la nature qui y a répandu tons ses
dons avcc profusion, sout charges d’hubi—
tans dont les moeurs féroces cmitrastent
horriblement aivcc le Ciel pur et riant qu'ils
liabitent. . . . . Ayons 13. force de rutracer a}
nos lecteurs le tableau des crimes (lont elles
Viennent d’él‘re 1e tliée‘tlrel Commenoons par
cette ville, foyer dc l'anarchie et (la répu-
blicanisme , qui aprés. avoir vomi de son
sein, de nombreuses bundes d'assassins , n’a
cependant pas manque de bras dévoués au
meurtre pour massacrer les confesseurs de
‘ Jésus-Christ.
Voici ce que porte une lettre du 50 full—
let.
—-— a Depuis 1e massacre des deux prétres
minimes, le peuple ne cesse de manifester

sa joie, soit par des scandales , soit par des

‘cris mille er. mille l‘ois répétés : viva [as rans-

(lilo/Ia; , who in nation; soit en plantain:
des arlJres dir-. do [a [flier/(J. ou en se coif-
l'ant do bonnets rOuges. Hie-r il y an moi:
bien trois ou quetrc mill? ‘ sans exageratiou,
qui courroicnt les rues de la ville. ll rf)’ a
point, ici de cafe, de restaurateur, dcvant
lu porte desquels on me fasse séclwr un ar-
bre sur pied. ll en est de méme d‘un grand
nombre de maisons parliculiéres. ‘
2: Le pere Al‘mc, Venerable vicllard, un
des deux minimes qui Furent massacres;
pendus, et eusuim tralnés dams toutes les
rues de la ville, aima mieux mourir que de
préler le serment que l’évéque constitution-
nel vouloit. qu'il préte‘it, parce qu’il espe-
roit, disoit—il, par 00 moyen, le sauver cle
la‘Fureur du peuple. Mais le pi‘n‘e Arr/1'60 lui
répondit qu'il préféroit la mort it la home
de ce serment. Le frere de ce respectable
prél‘re fut aussi ferme que lui, et ils furent
l'un at l’nutre immmolés. Un troisieme pré-
tre en prison n'ayant pas en la méme fer-
meté, préta le sacrilége serment , et sur le
champ , il fut délivré er reconduit chez lui
en Jriomplie par (les ofiiciers municipaux e:
au milieu dcs applaudissement du peuple.
Ainsi des Francais catholiques sont les bour-
reaux de leurs Fréres. aprés avoir déploré
pendant plusieurs siécles 1e sort des t} rans
payens qui commettoient les mémes atroci-
tés sur les premiers chrétiens. n
—-—Perpignan Vient d’étre aussi ensan-r
glanté par deux assassinats. Le 50 juillet,
au sortir d'une séance (in club, des hom-
mes armés se saisirent de M. Legendre,
controleur de la poste, l’assomméi'ent, et
mutilerent son corps expiraut. M. Bollcl-
lere, juge du district, at arraché de son
lit , et trainé dans la rue , en chemise. Il

      
  
  
     
      
      
    
    
    
      
      
      
      
       
     
   
    
  
     
     
   
    
   
     
     
   
     
    
      
     
     
      
    
     
       
       
       

     
   

  
 

 
 
  
  
 
  

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.ii .Ulkaukeige

   

 

. Viru ;

 

 

 

 

 

 

 

 

(890)

a recu deux coups de sabre dans le ventre

et un coup de stylet, clout il u‘est pasven- ‘

core mort. Plusieurs pcrsonnes out évité le
Irepas par la fuite.

—— Avignon est menacé de nouvelles hor-
reurs. Le tribunal criminel , t'ransfe’ré ‘r’i
Lioutelimar vient de déclarer absousJour—
dam et ses complices. Les’Duprat , les Main-
,vieille , les Tournal, les Raphifl, se sont
gempazés des places (le l'administration et
,des tribunau’x. Ils travaillent é. établirla ré-
publique. 115 so sont emparés de l’arsenul,
out désdrmé les citoyens er fait emprison-
.ner les prétres, les femmes , e: d’autres
personncs .qui ont déposé contr’eux. Tous
.les cionens lmnnétes sortent en Foule. .

-—A Toulon, douze citoyens , comme
.nous l'avons déjéi dit, ont été égorgés par
la populace. De ce nonxbre est le procureur-
syndic du département , quatre membres du
directoire, l’accuszi’teur public, un juge du
tribunal , et un membre du conseil général
,du dislrict.

—- A Nimes , aussitét qu'on a eu proclamé
1a patrie en danger, dit une lettre en (late
km 1”. aofit, des brigands armés de sabres ,
our fair écluter leur Eureur contre tout Ce
'qui' rcste de catholiques. Plusieurs‘person-
nes sour égorgées secrétement , 'et on fair
courir la bruit qu’elles sont parties. Un noun;
mé Roux , fayuncier , a été massacré. Le

‘sieur Dundet , jurdiuier , a while méme

sort. Le 30, has assassins se trausporférent
chez un particulier nouime’ Gibrap. Cejeune
:homme se réfugia chez le maitre de postej;
inlais ce dernier Fut forcé‘ de’ livrer la vie-

'Iime 51 085 auiropophagos. Ils tombérent sur

lui £1 coups de sabres , lul lirent sz'IuLer lzi cer-
-veile, et trainérent son cadavre au Cadareuu
(lieu oil on truiue les bétes mortes). Iis lui
arracliérent le cwur, et le Iaissérent expose
31 la voii'ie. Tous ces crimes sont l’ouvmge
du club , qui , ainsi que les départemens v'oi-
sins, est [rd vaillé par dos émissaires de Mar-
seille. —— La. ville de Beaucaire , ajoute la
'méme lctl're, est en guerre avec Turascon.'
On y craint des scenes semblubles e‘i celles
'(le Jules , 01‘: les assussinats ne discontinuent
ms. Des villages out été incendiés, et leurs
liabitaus massacres, entr'uutres celui do Suiu t-
'Au(lré, £1 uue lieue (le Saint-Ambroise. On
évalue ii mille personncs le nombre de ceux
ui Ont éré égorgés. -—— U11 ecolésiastique ,
l'abbé (le Tmu‘toulon , a encore été assussiné
lo 51juillct, é-Saint-Hippolite.
— Aux Vans , plusieurs prétres out él‘é
décapités, iors du massacre du \Vivarais.

Plusieurs aurres ont été égorgés clans Ies vii»
les circonvoisines. ~ *

-——Ou ue pout lire'sans attendrissement ec
sans inclignuliou le récir (les horribles Vexa-
tions auxquelles sont exposes par- tout les
confesseurs de la l'oi catllolique. Nous uvous
vu quel truitemenl: ont leur a fair subirz‘iMur»
seille, A (henoble , 51 la Rochelle, etc. A.
Tours , le départemeut vienrde prendre un
arrété 01‘: toutes les lois (le lzl nature et de
la justice sont outragées the In maniére la plus
l‘éVOltzmte. 'l'ous les ecclésiastiques dudépar—
temeut doiveut étre réunis an séminaire sous
trois jours, et ces administrareurs barbares
menzicent (les plus grandcs peines les pu-
rens ou routes autres personues qui facili—
teroient l’évasion (16 cos infortunés. Aiusi
I’on fail: un crime au sang et ah l’amitié de
ce (lont l'liumanité et la sensibilité font un
devoir 1‘1 toutc ame honnéte...... A Poitiers ,
ils sont éiroitmuent reuft-ruiés, et menacés
d’én'o égorges par la populace. Ou leur a
fair subir le meme sort, clans plusieurs au-
tres (lépzu‘teui dépufds

ne sOnt é‘lcurs ycux quc (has commis qui
Lloivenq souscrirc ‘51 toutes [curs vo'iourés.
—- 0n disoit hautement (111:: si la (lécliézmce
n’étoit pas (lécrétée par l'usscmbléu , elle 1e
seroit clans la nuit (du jeudi nu vcndredi)
par la penple. Les mouvemens que nous

 

   
 
       
 
 
 
 
 
 
 
  
 
   
  
 
  
 
    
 
 
 
 
  
 
     
     
   
   
   
 

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avonsl #fifipahfi'v‘dnt ‘se‘i‘éul‘isqr'fpéiilt-émé‘. '
On espét‘e'; eelxetidant que-le‘s :p‘récautio‘us

'pris'es 'pa'r l’e‘d‘épartem‘e‘nt ( fvoyéi-la séahééf-l,

'celles que M. \Pén’on adi‘i prendre, d’npi‘és

‘la conférefice qu’i-l a'eue avec 16 ref etles

mi-nistres ,4‘ en arréteront .les effets.
—-—Dausla nuit du mercr-vdilau jem‘li

'quelquesAmo'nvemens, on: an ‘ll‘eu an fun-.-

bourg Saint—Aiifo‘ine. on parloi't d'nilofiaim
‘Tuill‘eries, mh‘is lei’bat-aillon‘wdel iMJfiazi»

'terre a refuse de m'ar‘clier. Des l‘iommei;

nrmés de pique‘s se'Sont reendus auxeaseln
nes‘des Marseillois’. Voyant'qn’ils n’étqicnt
pas soutenus, ils se som; dissipés. Pour la
nuit prochaine on a placé des corps de rér
serve au Carrouzel et a la place de Louis

XV. 115 vont étre renfOrcés vers le- milieu
' n u (A:
‘de la nurt‘, époque Chelsie-par les factieux.

Dieu veuille que cotte nuit ne sci-t. pas souilu
lée par les plus affre‘ux forfaits ! .
: Plus elle s’m’ance, plus les craintes‘aw-

gmentent , plus elles paroissent fondées.

 

ASSENIBLEEjIQATIONALE-LEGISLATIYEi'
Se’ancc (la jdu¢iv,9;ziozit. _ 5.; ,;,
Aprés s’étre occnpée. deiquel'qu'es objei's’),

"dout nous parlerons demai'm, 'liassemblé‘e'a

entendu la lecture de 20 A 50 letu‘es écri'tefs

'au présiderir par des dépntés. Les uns se
'plaignent d’avoir regu-des coupyda pier‘res ,

d'autres d’avoir élé tralnéssparlcs cheveux,
M. Dumolard d’avoir eu presque la Iétex-fen-
due, M. 'Vaublane d'avoir ét‘é poursuivi esti'asi- ‘
siégé‘toute la miitrd‘ans 'sa dementia“... Le
ministre de la justice écrit que plusieurs-ci-
tovens et des députés unt été pofm'suivis et
ac‘eablés (1e céups. Le commandant de .la
garde nationale a regudes‘ coups de-S'abre.

.Sans 1e secours de l’assemblée, dit le minis-

tre , le gouvernemeht ne peut plus repen-
dre de la sfireté dies apers‘onues «en des zpro-
priétés. -— Quittons cette ville, dit .uncmem-
bre! beaucoup de 'député's exprim-entflemé-
me voeu. —— Mule president avertit ll’assem-
blée que des attroupem‘ens d’liom‘mes armés
se ferment amour de. la salle. CeJ bruit est
démemi par des députés. Un membre sou-
tienr. que plusieurs fédérés 50m: armés de
sabres. Des officiers municipaux viermem as-
surer 1e contraire. Les jacobins .veuleqqen—
voyer l'e dénonciareur et le présirdenuéxl’Ah-
baye. On passe enl-inve‘ivl’ondre du jour. 1M.
. , .i. ‘ ,_ i

mrw‘.r.x. ‘ V , I

a. )i

Q. .
\Qlt’hudieurzlwétehd game: flimsnmblée me 11mm

‘m’ofitenimleiifii’rdemu clvu royuun'ie. 'M-‘. l’rhce-
Edelfbt,7qniiavoit:ébé mandé +parui: 2‘1 la barre.
flbraimo'neé ,. oopime nous l’a'viwrisdit nous-
hiémes ,Iil-yé ‘denX:jp1.1rs-,~.qxi?(m‘d’e voit 5041-
her he tocsin 1‘1 min-nit , eL butt-re. la géné-
:l‘ale ‘,. ‘peur rassem bler les citO) 6115 et se por-
.reniawahéiueau mles’l‘uilszrie-s. La. section des
3Quiniaeu¥4imgt (itfuuk'xoin-gitifa'éinfi— Antoine.) a
excrete: que. si‘ fiendi»amiinuii.zi’assemblée’ u’a-
ivoi'twpas 'proiibficé gur le .sont‘ du‘ roi 5' la gé-
nérale . seroit bugle,» 13 42006“! se-mit sonné‘,
all!) que le. peupleuse levzlt mm entien Le
conseil général (Lu département a prismles
measures; (at (lonné des ordres :‘i la municipa-
li'lé , pour prévenir les effets de la fermen-
'tation. . " : . . ‘
~.M. Vaublanc..demande le (lépart des ref-
‘dérés qui sont éi'Paris. Cette motion a él‘é
‘rejetée. M. Lagrevolle desire que le maire
de Paris soit appelé pour savoir s’il peut ré-
pondre de la-sfireté d'e l-’assemblée :- M. G ua-
det .veut qu’onv interroge .le roi afin qu’oa
.sache s’il répond que l’ennemi n’envahira
:Pasle royaumvep . A ~
LM£-Péfi0n£PHTOit'é la barre. Il prie l’us—
semblée d’usersd‘emnyens.(le.~douceimpour
-cahuer 1.318) .peuple...“ dim, -.qu(iiqu’il saclie
"Merrie zeonétra'ire, que .la fermentation at
:pqur ' cause 16. bruit 1 (liim linojut (l’enleV-e-
‘ment du roi.— M. Go-ndoreet.a dfi parlé Slll‘
.la décliéance. (“Lawsuite demai/z. )

 

”"1“ " GT.“ A‘V U RE. 1'

' '1I‘Portrait d-é Ell/[mic-Paul-Josep/zr-Iioch- ”ves-
v-Gifbert‘Méttié' dcfla Fayette , député d9
‘I’Auvergne 'fi'l'a‘ssemblée nationzile , élu com—
'mandant-géri'éml de la garde nutionale pari-
‘sienne le‘15%juillet 1789 , lieutenant-ge’né-
‘i‘al‘commandai’xt lzarm‘ée du centre. On con-
ltipue déf«x*ecevoir Iles souscriptions p0u_r la
"giavui‘e‘del-Mi'fide la Feyefite , chez 1‘1. Hua’,
ii‘o'taire , we de le‘Comé'die .Franeaise. Cet‘te
gravure,‘ exécurée'par M‘. Guerin‘ , graveur
des mormoi‘és d-e Strasbourg; d'aprés lie Ata-
bleau de feu M“. M’eyler , est Faite avec soin.
Prix 10 liv. é' l'ad'resse ci~dessus, et chez
*Jauffret , marchand d’e'stampes, an palais~
royal,‘n°. r671 ; a Strasbourg , (they. MisGuérin.

 

 

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Pour I60 liv. cn assignats on a mo liv. cu argcuc.
. ." LU ‘_ ;, ' .
Louis d’or , 16 11v.

41777.05 {I '1. - .1? .13 I." f. ’

 

L'Aboanemmz de ce Iqumal, qui paroz't my: les'jOul'iL'?” Je 331'“). pqur Paris In 361iipdll'rla

Province, port franc. Le'71urzhu m we Neuvc'Saim-‘Augustm‘, Hq‘tet'dc lmCormpondance,