xt7dfn10s79x https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7dfn10s79x/data/mets.xml  France  1793-04-02 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 2 April 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 2 April 1793 1793 1793-04-02 2023 true xt7dfn10s79x section xt7dfn10s79x 'x

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ue '2: veis rout ce hue 'enterids fur e ‘c amp ,_ . _ _
g 1 j l ) ndrez , faires-le moi {await , 1e le public fu

venemens fa préparen:

; je (is en Vain”: tout c5
je vous en infrruis; ce gue vouo
r lheute.

.J. H .1, :.'«,

,1,

Du mardi z avril 1795.

Nous pi-évenonc ceux de nos abonnés qui n’ont pas
regu la feuille d'hier , premier avnl , qu‘tls la recevrémr
mcessamment.

Nouvxrnzs iTRAncinrs.

De Gottingue , [e u mars. Quoiquela curiosité
du public in: se porte que sur les e'véucmens
politiques , elle ne restcra pas indifférenrc au re’cit
d’uu événement qui nous fair. connoitte Ies va-
riations dc la nature, aussi admit-ables , er plus
consolaures que [es vicissitudes du monde moral.
Le tameux professeut de médecine , Osiaudet,
a. été consulre par une femme qui souffioit d’unc
Violenre colique. Le docreur s’est transporté chez
lo. maladefrvec plusieurs de ses éléves;il a ordonné
un vomitif; quelques momens aprés, cette femme
a rendu d’abord’ des vets do cave, ensuire des
vets de terte , cr enfin u-n petit lésard. Ce petic
animal s'est fair lui-méme uu passage ,et s’est
montré vivant sur les lévres de la malade: ce
phenomena :1 Fair mitte l’étonuemeur parmi les
personnes qui e’toient présenres 3 mais le docteur
en a facrlemcut trouvé l’explication ; il a arttibué
cet eHet sutprenanr :‘1 l’hivcr pluvieux , qui a cor
rompu toutes les sources, er qui a porredans les
fontnmes et dans les puits lesgermes des insecres,
que la chaleur a pa développer dans le corps

 

' , I '
humam 3 ll se propose cle donne: uu memoir:
deraillé sur cetre pattie mtéressante de lhisroue

narutelle.
F R' A 'N c a.

Nantes, 29 mars. » On vous a_ assuré que
nos périls étoienr passes; plfir 2‘: p161] que le-
choses ffissenr ainsi; notre .posuiou est ,Plus
critique que jamais. Norre Ville necesse derre
assiégée par les rebelles. Enhardts , llS commer-
tent des insultes jusqucs daus nos faubourgs.
C’est sur-‘tout du 66:6 de nos pours que hous
5011111165 menacés. Le dépattcmenr de la Vendée
a vomi sur le norre une horde de scélérats qnz

' se portent sur les cores , er aptes s’en érte em—

gates , se réunissent pour foudte surrmtre ville.
aunie , ptis par les brigands, repris sur _eux
par le courage de scs hubirans, er dieuviton
80 hommes , vieut d’étre enriu téduir et incendié
avec routes lcs horteurs du brigandage. Reste
la ville de Paim'ocsuf, qui , si elie es: prise ,
livte aux nmlvcillans routes nos dues er uotte
avigariou. .

Ni Ccpcudanr nous ne pouvons lui pOiter ties
>50Cours. Les rebelles out en leur posswszon six
distrirrs. 115 so fortilient daus tous les lirrix oft
ils Pyrimcus Pl‘Jtl, iudépeudamm-tnt Llcb cm»:

 

   

 
 
 
 

tonnemens qifils font aux entrees de norre ville.
On en compre 4 :1 moms d’unc lieue de dis-
tance , er ils renfermenr chacun prés de 4000
hommes.

a> Nous avous dépéché des commissaires pour
hirer le secours que nous a promis le clépar-
temen: 3 Maine er Loire-

:2 Nous ajoutons que la fie’gate la, Capricieuse ,
starionuéc 2‘1 Mindin , est cauonnée par les bar-
rerxes qu’occupent les rebelles ‘; elle court grand
risque , er elle a besoiu dc Secours prompts:

» Si une descenre combinée. . . . '. Nous n’o-
sons prévoir ni calculer tons nos maux; mais
tout est possible , [out esr probable. Labour-
donnaye est 2‘: Rennes , mais sans secours , er ll
nous en a' demandé; nous nous sommes refu-
sc's :l 321 requisition , n’ayant pas assez de 1105
forms. «

Des Sables, [c 24 mars. Un‘ dérachement cle
gardes narionales qui est Ella poursuite des ré-
volxés , a fair une incursion jusqufil'la Greve , of!
il en a été trouvé 500 retranchés ; il les .1 Fair
‘dégucrpir :lv coups dc canon, aprés leur ayoir rué
ct blessé 104. Quoi qu’i‘l en soir',‘ nous nesommes
pas suflisammenr :11 force poor renter de rérablir
in communication de Palluau es de Challans. Les
révolrés four rous'leurs efforts pour s’emparer de
Sables; mais le g'enéral Beaufranclier est. allé au

secours de cetre ville. Qua clécouverr aussi 2‘1 Niorr . 'i

une des branches principales (1e Ce complor , qui
tendoit 2i facilicer la des’cenre'des anglais , qu‘i
auroir en infailliblemenr lieu s‘a‘ns l’éqninoxe , et
qui est remise ‘du 5 an 1'0 ‘de ce moi's : mais l’on
ne dome pas , qu‘avanr cerre époque, routes les
mesures n’uienr eré‘prises pour opp‘osrr .une vi—
goureuse resistance..

VDe [yon , .14 16 mars. On (air ici comme
chez vous , des visires domiciliaires. Des soia
disanr commismires :Ju comiré central sour V6,“
nus, la nuit du dimanche au lundi, clans. lc
domicile du ciroyen Carrier , l‘un idécoré d’unc
éclmrpe , deux auncs d’un ruban national au
bras; un aurre :umé d‘un fabre , er lcs aun‘es

sans nrmes. (Les soiuiisant commissnircs , qui so

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sour préscurés nu nom do w loi pour finite 1:3.
visiie domiciliaire , our dérolié dans une poclie
un mourlmir er un porre-feuille contenanr cn-
varon 400 liv. er des quirtanccs. Comme on no
dome ll“ que ces brigauds nocrurnes n’aiunr

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abuse’ cles mesures des circonstauces, er em;
frunré la. déc’orarion des nugisrrars pour exercer
eur vol , nous croyons devoir prevenir la police
municipale de certe espiéglerie.

De Cam , 1/: 2.8 mars. On a beaucoup exa-
géré les inouvemens qui on on lieu :‘1 Caen:
comme cetre exagérarion Pourroic dérourner de
la foire prochaine dc cetre ville , les marchands
qui sonr'en usage de s’y remlre, les officiers

municipaux vous iuvirenr‘al insércr l’avis sui-

' vanr.

' v Ciroyen, nous vous prions d’annoncer dans
_vorre journal, que nous avous pris routes les
mcsures pour assurer le maiuucn de l’orlre
dans nos mars , pour In {oire franche qui doir
s’y tenir aprés la;quasimodo , et que les mar-
chands y rrouveronr route In sfireré et la pro-
teerioii possibles, pour eux er pour leurs pro—
priercs.

LETTRE AU REDACTEUR.

Alamargis, [e 30 mars 1795.

J'ai lu avec surprise , Monsieur , clans votre
feuil'le du 17 mars , un article (dc Montargis qui

'fait'forr‘é la contia'nce qu’on peur avoir dans un

journalisre , er qui m’en fair dnns un genre plus
gra‘ue en dirigeanr ljopinion publique sur‘ mon
_compte d’uue maniéredélavomble. Il esr dir clans
ice: iarticle: guc dcux dc: principuux c/zef} dc:
trouble: om eic'arrétc's , qu’ils 50m rlomcsziques 3
[’un, do [a ci—dcva/zt comtesse dc Framond , czc.
er Z’auzre dc , etc. , 91;. Que 'lemr maz’tres, par
artizc/zemenz pour 'eux , [car on: envovyc’ dc: [its
aside [a nourritura en prim/z. , etc. Le fair est ,
pour ce qui me concerne , (1116 men domesrique
.s’est rrouvé clu nombre de ceux donron a euel
se plaindre dans l’affaire qui a eu lieu lo 13 on
L4 de ce mois. Mais qu’aussi-tor quejc l’ai appris;
c’esr-i-dire le lendem:in , je l’ai renvoyé sure
le-clmmp, qua j'en ai fair parrd la munieipaliré
et que je n’ai eu avec lui , depuis ce reins-Ll ,
aucune relation direcre , ni indirecre.

Voili la viriré , I'Vlonsieur , que je vOUsprie ,
de faire insérer dans'vorre rochain 11°. , vous
rendrez jusrice :i one mere

er du désordre , er qui He cherche en nucunes
nuniéus i courrlbuer su malheur de qui que ce
soit. Je réclame vorre emctirude er suis vorre con~
ciroyeuue. VBmgclozzg/ze, vcuve Frumond.

     

 

 
    
  
 
  
  
   
   
 
  
  
  
 

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e famille qui, par
.prinupes er par caracrere , est cnuemie du rrouble

.23; i:&£;1"§$~1cmu~kflm’§:1 91' 7

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parls. Les séances (Yes jacobins deviennent
dc plus en plus animées -, clucun s’occupe 2‘1.
5’}! Pure remarquer par des opinions forte; er
prononcées. Chales , ci-devant prerre , (1111 re--
vient d’une rourne’e , disoit hicr : n Nous avons
n annoncé crux citoyens dcs campagncs, (We
*3 par le maycn de la taxe de la guerre , les
» pauvres sxoient nourris par les riches, et
» quills trouverdient dans les potte—feuilles des
’0 égoi‘stes de‘ quoi satisF-Aire :‘1 leurs besoins. «
Marat (lit : les trahisons de nos généraux ne

.5011: plus 1111 mystere -, mes prédicrions sont ac—

complies..... Mais on ouvre les ycux trop
turd. U11 coutrier a été expédié :i Dumourier,
et dans ce moment méme , je gamntis que Du:
mourier esr émigré; que Beurnouville est part1
pour enlever , n’en douttz pas , totites lesvpicces
de conv1crion, et pent-étre pour essayer de
marchcr sur Paris avec Dumourier.

§ U11 membre a dbnoncé son fréte, comme
étant rentré en France pour la troisiémc fois ,
pourvenn' clierclicrde l’atgc-nt. n J’niespe're' , clit-il ,
clans le commencement, que je poutrois , par
mes rail-unnemens , le Eur: tester chez moi,
mais il m’a trompé cruellemenr, et a (Emigré de
nouveau. Il ajonte qu’il a fair cette denunciation
an comité de surveillance, mais qu’on ne lui a,
pout ninsi dire , rien répondu , et qu’il y ira encore
sur—le-clmmp , si on vent lui donncr dcux com—
missaires pour l’accompagner. ( ACCOUlé.) '

U11 membre clunancie qu’on force la moitié
de la convention er tons lcS citoyens «lepuis 16
jnsqu’i 50 ans, de matcher contre l‘cnnemi.

obespierre s’oppose 21 cetre mesure , er dit qu’il
511th do rnppelcrles ge’néraux pctlides ct de les
remplacer par d’auttes.

Marat s’usr plaint, ces fours demicrs , cles
cabt'iolcts; il :1 denmnrlé une loi pour les pros—
crite : mnis on 11’en rencontrc plus clans les rues
de Paris , non plus que cle carrosses , depuis
le décret qui mer tous les Chevaux cle luxe
51 la disposition rlu pouvoir exécurif.

§ Dorm Culiiércs a dénonré avanr~hicr , ;l la
commune , 1111 l1omme et une femme arretés
aux burriéres, et qui etoicnr vétus dc noit. Sans
donte, clit—il , ils portent le deuil rle Louis Caper.
0n 11’a trouvé s11reux qu’uu passeportsignéZeLdrz.
Ils on: prétendn que lcur parriotisme les nvoit
fait chasser de Rome; er les commissaires de la
Cqrcrion out eu la bonhomie de s’apiroycr .sur

 

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leur sort. Mais je crois que ce sont des émigre’s;
Car observez que si 21 Rome , les Frettes et le
pape on: clmssé lcs patriOtcs , le penple a clmsse
les aristocmtes 5 Ct 115 sont sfiremen: dc ces darn
niers. Je demande donc qu’on les enfetme, alin
que la justice [‘OPL [dire ne percle pas ses droits. M
Le conseil a passé a‘ l’ordrc du’onr.

§ Les amis des arts on: considéré avec plai—
sir l’enthousiasme nvec lequcl les artistes er les
amateurs sc sont portés :i l’cxposition de la col-
lecrion dcs tableaux , statues , bijoux er beaux
meublées cle M. de Prallin , e: i la ven:e qui
{en est hire ensuite.

Tons les effets s’y sont en géne’ral bien ven-
dus 3 mais les tableaux flmunds y our ere portes
51 des prix qui paroi'tront cxccssifs £1 ceux qui
ne connoisseur pas la valeur de ces objets. Nous
allons citer quelques articles cles plus remar—
quables. Un tableau cle Jorn‘aens , 6000 liv.

c Vandik, 8000 liv. Adrien Van-Vcld, 10,600
liv. Adrien ~Lin-Quad, 10,000 liv. \Vanver—
mens , 12,000 liv. U11 du meme , 57,000 liv.
U11 Reinbmnt , 17,500 liv. Un Karel Dujar—
din ,' 15,1c0 liv. U11 Tetburg , 15,500 livres.
Unfilc BJgem , 17,600 liv. Un de Paul Paurrer,
28,200 liv. E11511 un tableau de Gerard Dou ,
33,500 liv. , et son pendant , 54,850 liv.

§ Ilne‘sullir pas d’avoir terrassc' M. Dumoutiez ,
on e11 veut :1115si laz-aucoup a‘ Z‘rlM. Custines 5e
Beuruonville. Ccs clerniers ont éré dcnoncés crux
j.1cobi11s j, M. cle Custincs , pour avoir exercé rlcs
acres o‘e violence sur le tetritoire q‘l,ll occupe 3
et M. Beurnonville , pour laisser nos places dent
le plus grand délubrernenr. Bl. Saint—Instr: a (lit
avoir vu les villes LlC l‘vlonrmeflli , de Churkville
et cle lVIeziCzres rlégarnies de munitions, quoiqzie
l'cnnemi m: 51 letus panes; er 331135 s’errc plain:
anteremznt cle Ce qu’on laissoit un tci l’wmmc e11
place , il .1 dir {rancnement one u L1 Lunvcnllxu
vln’a rendu r111 décrct contrc les provocateurs
w "an n eurttc , qne pour cinpechcr l’1nsurrccti011
a: 'clcs' pntriotes ., cr amzzmr grmniuclienwenr l3
,:_c011rte~1evola1tiom n Ccttu intuipauon Pain: :11;
Corps législntif a (21:5 Vchl'nulE a,;Fla.1uit-. U11
memore tlu club .1 dcmantlé que L1 denoncilrion
fur perréa la convention elle—111e1ne 5 etil 21 ajouté
ch, si clle n’y avoir aucun sot-1:1, il sem alors
prouve qu’ellc est C/Z 51.11 a’c ccnnc-révo/‘uréun.3
et qu‘il 11: new: an pcuple d’mrre ressource que
de so lever pour fin-cystic: its trait/"5.1,

 

 fl-ows'enfren erxex‘ntzi

l’téfidence du citoyen Jean de Bry.
Sé‘ance clu laudz' premier arril.

Une lettte du génétal Custines infotme l'as—
semblée qu’un adjudantgénéml, qui donnoic i
jouet}, a été traduit devant le rtibuml de dis-
'cipline. Maia que me s’étant pas ttouvé cle pteuves
sttfiisantes , tous les joueuts ayant nié , il l’a fai’t
mettte en prison pout trois moistil en ptévient
l’assemblée. Sa. concluite est applaudie.

Les commissaites de la convention Li l’atmée
de la belgique font part d’un artété pat leguel
ils out crdcnné an chef de l’atmee de site
number sut Btuges _unc force capable ‘de te-
ptendre nos magasins , cette ville s’étant mise
& les piller 5 d’y lever une contribution de deux
millions , et de ptendte les magisttats de cette
ville en Grage.

Marat 5e plaint des menabres du Comité de
defense ge’ne’mle , qu’il ttaite de gito‘ndisteS. Ce
comité vtent de .fnire attéter ttois commissaires
du ponvoit exécutif, qui ont entte leuts mains
les 'preuves de la_ ttabison de Dumoutiet. Je
(ictfiantle qu’ils soieut eutendus. Lasoutce d”:
que ces fl’éputés ont demandé enx memes 3: étre‘
nus en sutete. ' , "

Le Comité de defense génc’tale fait leJ’appott
dcs grief; qu’on reproche :‘z Dumouriet. Ils‘font
etablis dans- trois pieces. °. Dans une Item:
(in t2. mitts , écrite pat ouriec an ptési-
(lent de la convention. (new t'avons dounée.)
1.“. Dans une autte lettre du 18 , au- ministre
ale la guette , on il dit qu’il n’a pas de vivres
‘ptmr 10 ,OLIES , et que si on ne rccrute pas en
troupes de ligne , et 51 cinquante autotités

“.:«,h1‘w“‘-.n.: «.5

‘Mu

 

 

pigs absutdes les unes que les antres , conti- ..

mun: dc contratier son autotité , il sauta mou- ‘

tit , mais qu’il ne poutm pas empécher les Au.-
tricliiens dc venit‘ :‘1 Paris. L'ennemi a 20,000
hommes de cavalerie ,qui peuvent mettte tout
:3 {cu et Lsang , et qu‘il n’a :‘1 leut Opposer
q. c. dcs fuyatds sans ; sans vivres et sans
ninnitions. '

r . ; ~ ' a ‘ ‘ ' 4 ‘ - ’
On .mn’lrt :1 Pms an bunau de In Vedetre , boulevard de la porte Saznt-Elaxtin, 2i celle Saint-Denis N“ ~
_ v . , .

{Luz vz’abonner

11"er 4° l’almnnemnnt‘efl d“ 2* HIV-5 "" ’ ' ' ' i '
, - . e . _ e / . t pontutnnee, 151w. our fix mots 7 lav. 1,9105- oar ' '
pour deux mots tn envoyantun afligna’: zlc cent 11; ' i i p ”to” mots. a“

~Mais '13 piece l‘a'vpl'us rematquable et la plus‘
étonnante , est le ptocés-vetbal d’une converse:
Ition que Dumouriet a cue avec les connnissaites
.du ponyoir executif. D’abotd il s’esc empoxtté
avec violence contte les jacobins , le tribunal
révolutionnaite ., et la convention composé‘e
ode .745 tyrans, tons tégicides , qu'il se mo-
quoit d’elle e't deses de’ctets , et qu'il avoit ptédii'c
:‘1 Damon , qu’elle ‘n’autoit de pou'voits que dam
,lfl banlieue de Paris 3 que la nouvelle constitu»
tton écoit‘ twp bate, que Condorce‘t n’y avoit
.rten entendu. . . .Mais que Illettl'lez-YOUS 5 In
place ? Moi , l’ancienne consutution , toute vi-
:Cleuse qu’elle est. —-- Sans dome , sans roynuté.
'Non, zwec un toi , car il en fan: tm absolumenr.
Les commissaites ont eu peine cl contenirleur
indignation; mais la'concentrant en eux : au
.moins les {rangaisne voudtoient pas d’un Louis...
Louis on Jacobus , reptend Dumoutier , peu im-
porte. . .Sans doute, vous préfetetiez un Plnlippus.
A ce mot , Dumoutier s’em’porte. --- Si dans ttois
semaines , continue le généml , je ne fais la paix ,
lcs’ auttichiens sent 5 Paris. Votte république est
une folie', et depuis la bataille de Gémap‘pe ,
’j’ai pleuré mes succes. Ii fiat un toi et la pant.
mais qui pour r‘oi ? Le prince ptisonnier du tern-
ple.~- On pourta le massacrer. Si cette horreur
se commet ,. je maxche avec mon atmée sur Paris.
AMats ne cratgnenivous, pnsle son de la~Fayeu¢3
La Fayette e’est fzut Inepnse: des puissances e’tran.
géres j.mot, j’en SL115 esumé. Dans 'le cas de
tevets, dans un temps de galop , je sais la ma-
niéte de me faite tecevoir des ennemis.
Le rapporteur ajoute qu’il est évident qu’il
y a un grand complot, que Dumoutier y trempe -
lc comité de sfiteté a fair arréter tous ceux qui
ont des relations avec d’Otléans , ct Egalité
lui-niéme , et Sillety l’eusscnt été , s’ils n’eussen;
pas eu l’honneut d’étre dépuce’s; mais Fun at
mum: on: propme de se spumettre n‘. toutes les
precautions quenge .la sureté publique. On
voulonc discutCt , mats on obsexve qu-‘il {gm
attendre .l’attivée de Dumoutitt Danton theme
:‘I la tribune: nous parl’etons. demain de son

plan de pdéfense.

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