xt7djh3d2g3k https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7djh3d2g3k/data/mets.xml  France  1793-08-03 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 3 August 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 3 August 1793 1793 1793-08-03 2023 true xt7djh3d2g3k section xt7djh3d2g3k    

més

 

 

 

FRANQAIS, 1e grands

ue ie mis , rout ce Que i’enrends ,
écouvrirez , ce que vous appr

événemeris (e préparenr; )e iuis

endre'l , hires—1e moi

er. Vzdcm ; mut ca
16 vous an inilriiis -, ce qua vors

fur le cham ,
p {avoir , ie le pubfie fur l'heure.

Du Samecli 3 Aofrr 179;.

I

Nouvrrrzs Era-AN’GERES.

De Tripoli de Barbarie, [e 4 Iain. -— Discours
d'z cimyen Guys , consul-gene'ral, er chargé

d. . V I I . . .\
dcs (wares dc [a repuulzque francazse auples

‘du Par/m.

La nation francaise , consriruée en république
m’envoie vers vous pour vous porter l’expression
de sa bienveillance er de son amirié. Son in—
tention es: de maintenir scrupuleuscmenr les au-
ciens traite’s qui existent entre la. France et votre
régence. Elle me charge cl’assurer vorre excel-
lence que son desir sincere est de voir perpe—
tuer certe boune harmonie. Elle y concourera
de rout sou pouvoir, dans la persuasion ou elle
est que les Francais que leurs inréréts appellent
daiis vos érctrs, éptouveronr de votre part route
prorection, er qu’ils seront traités comme des
ancieiis et fidéles amis, membres d'un état dour
1e courroux fut roujouts fatal zl ses ennemis.

Re’ponse du Pacha.

_]e vois avec plaisir dans mon pays les Fran-
gms3 mes plus ancxens er plus fideles amis. 3e
recors avec sensibiliré les témoignziges cle bien-

veillatnce de la republique, et je ne rnamlfuemi
iamais d y correspoudte, en procuraut aux ran-

 

_. ..-._._

 

 

 

 

 

 

 

s secours dour ils pourront avoir beu'
les facilirés qui pouttonr rendre
xi faire prospétcr leur commerce. Le consul qu’elle
envoie reside: aupres de mOi veut lur prometrrei
de ma part une bienveillarice consraure , ii 12-.
quelle je suis dispose d’avance, per la reputation
er les e'gards enfin dfis £1 une nation liee dep‘UIS
si long-reins d'affecrion avec moi, et pour l’ac-
tiviré d’un commerce de la prosperiré duquel
dependent le bien—etre er le bonlieut lde mes su-
jets. Je ne veux iii ne dois point laisser igno—
rer aux Fraiicais tassemblés ici daus ce moment
l’exrréme satisfaction que j’ai roujouts eu des
services do consul Pellcgrin, er je bllSlS :rvec
laisir l'occasion de tendre haurement er publi-
quement jusrice 2i son zele pour i'honneur et
les intéréts de sa nation. L’esrime qu de ya—
reils sentimens m’onr inspire'e, m’a délcl‘liliné
dans plusieurs circonstances uoroires, 2‘: ne pas
me rcnfermet dans les bornes drs traités. A
I'époque de l’inaagurarion du payillon de In re—
publique, j’ai cédé 2‘1 ses Vives instances er aux
desirs ardens qu’il m’a témoignés tle lui faire
rendre les honneurs extraordinaires, er je l’ai
fair saluer de 2.! coups de canon , honiieiir que

gais tous le
suin, er routes

a j’ai refu'sé :‘i tOuS auttes, er notammenr A celu'

[ ‘d’Es‘pag‘ne ,‘etc; etc.

V

 
 
 
   
  
 
 
 
 
  
 
 
  
  
  
 
 
    
   
 
  
   
  
  
 
  
  
 
   
  
  
 
 
  
 
  
  
     
    

"15.15

‘ ....‘ls~,.<_._ v. A . V
-—W».M

  

FKANCI:

D1 Mans, 1c 17 Juillet —— Sut la requisi—
tion du general Duhoux, le départément s’est
prepare it faire une levée de 4 mille hommes.
En conséquence on a convoqne jeucli detnier,
l’assemblee des jeunes gens; mais nous ne sa— .
vons pat quelle Fatalii'é les agitateurs sout par-
Venus :l égarcr l’assemblée, et l’on s’est septu‘é
sans tien hire. L’adminisuation du déparrement
fl pris 31 cc sujet un nouvel atréte qui doit we
lncessammei‘it mis ti execution, et qui sera sans~
doute plus cflicace. La raison, l’interét particu—
lier meme nous engagent i voler dans la Ven—
dée , car Li eat la racme du mal; et rant que
les tebelles ne sei‘ont pas cxterminés, nous ne
pouvons espe’rer ni répL-blique ni tranquillité :
si nous ne nmtclions pas :1 In defense de nos
fréresmousne pouvons pas espérer qu’ils vienu'ent
:‘1 metre secours, si nous en 'avons besoin.

L’exemple de la ville du Mans a influé clans .
plusieurs districts qui, jusqu’d present, n'out
pas fourni leut contingent. Honneut aux dis-
IrlCIS dc Chateau - du ~ Loit , de la Fléche et
de Sillé :
qui les habitent , sont tonjours pretsr‘i se SEEN-Z
fiet pour la libetté. Déji uue pattie (le leut

contingent doic Ette patti, d’apres les nouvelles _'

données par les commissaires envoyés dans lent
sein.

Pan's. —— Le conseil exécntifptovisoire vient
de Faire publier la proclamation qui suit.

FRANqArs,

‘ Il apptoche lc jout marque par vos repré-
sentnns pour cette fete auguste er solemnelle
qui don consacrer (l’une iiiaiiiere sensible l’unité
Ct l’intiivisibilité de la tépuliliquel ce jour, on
tons setmens qui ont accepté la constitution,
dowent venit se tépétcr et texen'tit, pout ainsi
dire, clans un seul scrment prononcé p.15 les
dépositaites de tous les souvetains‘. Ces: le 10
(tout, c’est an milieu cle Paris que fut tenversé
le trone qui dominoir la France monarchique.
Il étoit juste que le meme iour et le meme lieu
fussent glotifie's par la consecration de la Ré-
publique. Secrions de la Republique francaise!
c’est 13 IO aofit, c’est fi Paris que vos commis-
saires doivenr. se trouver téunis. Hatez-vous de‘
les clioisit! qu’ils pattent, 11 en es: tems: un

    

l?

 

 

 

les nombreux 'et courageux patriotesi ‘

 

 

 

 

 

plus long délai pourroir privet quelqu’unes
d’cntte vous du bonlieut de concourir d (ette
solemnité rmgnifique, image de la. grancle e:
unique association qui vous tient toutes liées
les unes aux auttes par les mémes loix; 31 cctre
solemnité toucliante, ou le genie des arts , en
montrant le corps social dans tous ses rupports,
clans route son étendue, rendra le pacte qui
en unit tous les membtes, plus Chet ct plus in-
violable. Francais , il vous en souvient', la li—
berté venoit de mitte; ses premiers mouve-
mens, ses premiers pus avrnent ete pat—tout
(les triomplies; et elle s’ignoi‘oit encore! .
elle vous appela : vous accoutfites rle vos déparv
temens', un an apréslachfire de la Bastille,
vous vintes clans Paris {nite connoittC 2‘1 la li—
bei'té les forces qui avoient pat—tout termssé le
despotisme; elle les vit clans la reunion des vrrnx
et (les sermens que vous prouongfites sui' son
autel. Mais alors. . . . .. 'o' l1()n[€l 6 conliance
aveugle d'une servitude mal ellacée! . . . . .. .
Ces vmux, ces sermens si saints, pat qni fu-
tent—ils rtcus‘. par qui l‘utent-ils paringés?
par un' roi‘. .. Francais, l1 libetté ‘liere
(le's’éti'e créée tin 215er plus invioluble dans une
république, vous ap-pelle 21 de nouveaux ser~
mens, lorsqu’elle est dcvenue bien plus digne
de vorte culte. Vos sermens e: vos vceux ne
seront plus‘souillés ~pat l’aspecr d’nn none 3 ils
serous ptononcés sous la voute clu Ciel, en pre-
sence de la nature I . .’ ils setont gnrantis par
la conscience cle tout un peuplc. l‘rmgais la
République mquit an milieu (les dissciitions
intestines, et au moment or; les ai'mées o'es des—
pores de l’Europe s’avaiicoient sur votre terri»
toite: elle vient cl’etre congtituée an milieu des
dangers , ptut—étre plus grands encore : lorsque
tout la menace , venez lui jurcr l'onbli (l6 toutes
les passions pers‘oimelles; veucz lui juter ces
vettus généreuses clont elle a besoin pour assure:
‘2‘1 jamms v0tte gloite er vos prospétités. Vos di—
visions ont ptis l€lir source dans le clerniei' ser-
'ment des vices de la monarchie; qn’ell'cs dispa—
toissent routes clans la ptoclnmarion cl’une cons-
titution i'épublicaine: Liue le saint amour dés

OI.

a...

 

 

 

loix épute clans toutes les ames l’ardente passion
de la liberté. Bic—mot tous les soupcons, toutes
les inquiétudes vont s’évanouit clans une existence
sociale qui seta la meme pour tous,.et dans un
empire gouverné par des autOtités éminemment

A

 

 

D’ai

  

pass
son
papi
de

talis
huel
(lam
teau
Cali
autr
du i
rent

§
du i

8011!

§

tion
miss

‘Cei

don
Réu
moi!
le c
socit
C0fl\

dit

‘ nois

patt
ncul

  

 

IEUX
$011

in-
iérc
rnic
ser~
Igne
; ne
5 iis
pre-
spat
5 la
ions
dcs-
ern~

des
sqne
)HICS

ccs
snret
s di—
‘ set«
ispa—
:ons-
T dés
ssion
antes
rence
as nn
111C115

 

 

popnhires. Frangais ,‘iISEEZ-VOLIS 2 q‘uc Les satel-
htcs dcs tymns qui {rnppcnt £1 v05 fronrlcrcs ’. y
entcndcnr vos sci-msns ct vos CI‘IS d: jmc‘, qu 115
frcmisscnt er oltx’ils LiiSCntl [a marrizitioxz d: [.1
{71mm vim: d: truism; mu‘lcs rots C! was [at

sic/u; nc ANCIJI'I’JI'ZZ [.1 dis/mire.
.Signe‘: , Go'ncr, Bouchotte , Dcforgucs ,

Dirlbm‘adc , Destonrnéllcs , Carat.

§ On a donné hier aux Jacobins comme me;—
problénmtigue la nonvclie dc la reddition de
Mayence; d’nntres, d’nprés lcnr corresponfiance,
l’onr assurée fiirisse : lzn'nbonSaint—Antité n3-
surc qu’ii 11st atrivé an coznité dc saint pn—
blic ancnnc nonvcllc qni cotitredise c.11e de In
{addition dc Mnycnce, annoncéc p.115 Batréted
1.1 convention.

. § Mantis! a été atréré i Fontiineblenn; i1
y dé1113tll‘0it dcpnis 15 jonrs. Un jacobin qni
passoit par ccrte ville , 1c reconnnt, demanda
son arresmriun er l’apposirion dcs scelies snr ses
papiers. On y a trmvé entr’rrntres um: lettre
de Beaunmrchais qni donnoit rm plan de fédé~
ralisme, :‘r la téte dnqnel on vouloit merrre Ma-
nuel. On prétend anssi qne Potion a été amber"
dans la Calvados 5 ii s’étoit rcriré dTLI‘IS nn chi:
team. croyanr formément aux resolutions do"
Calvados, de sontenir les dépntc’s frigitifs; lrs
autrcs sc sont retirés :i Rennes, er out profité
do départ d’nn batnillon du Finistéte pour s’y
rendre.

§ Antoinette a été transférée bier :‘1 3 henres
du nnrin :1 la concretgetre. Tontes es bnttiércs
sont fermées.

§ Une députation ties répubiicaincs révoln—
rionnnires, an nom de la société er dcs com—
missaires des 48 sections, vicnr se piaindre de
ce que le conseil a rapporté l’arrété qni or-
donnoit qn’il seroit élevé snr in place dc la
Réunion un obélisque en l’honneur de 13 me.
moire du répnblicain Marat. Le renvoi fair par
le conseil de la premiere ndressc do cert:
sociéré an comité d’insrruction publiqne de la
convention, a d'nntant plus étorné la sociEré,
dit L1 citoyenne Lacombe, qn’ontre la recon—
noissance que la tépnblique cntrére doit an
parriore Marat, il est une reconnoissnnce par—
ticuliére qne les parisicns doivent 3‘. 5a mémoire.
D’ailleurs’ ajoute—t-elle; personne ne peut nous

—<‘—— ——7 —~..—.,....... .._.__._«—..,__._.V~‘._._.q v -—:....,..

1. 2.3%

(3'!

r

”44,-. M-.._ .. _,

 

 

 

empécher d’éicvet l’obélisqnc one nous avons
propose. Nous ne demandons ric'n pour cela; Le
sont les sans-culottes sur—tout qne Marat a son-
Lenus; cc son: les sans~culortes qui vetrlenr céie-
brer so. gioire. Nous venons donc 1nvitcr _le
conseil :1 rnpportcr son dermcr :n'roté, cu mani-
tenit le premier qui nous autonsort dans norte
demande.

Unc autrc réHc-xion non moins impottantc,‘
semb‘c ranimcr notre zéie pour l’Ami a’u pant/e.
Dans in nmrrhe décrétéc par la convention , porn:
in fete cin :0 point , on a omis , nous n2 savons
pas pourqnoi , Lt piace de la gRéunion , qui in:
1:3 pmnier rhéérrc de la révoiurion du IO acii;
dcrnicr. L11 pzésencc de l’Ami du Penple dédom-
ingcrn certe place (i6 i’oubli qn’on a manifesté
Pour e'ie.

inc consdl maintic—nc son précédcnt atrété, er
né.1n"noins nntorisc provisoircment er jusqu’d ce
quc 1.1 conwnzion en air prononcé , les commiss-
suites des 48 sections it clever, sur 121 place de
11 Reunion , un obélisqne en bois , en l'honneut
(:16 1.1 mémoirc du pamote Marat.

y.

Chaumc—r observe que chnque jour i1 arrive

‘bcauconp d’éttangers 51 Paris, que parmi eux i1

y a de bons citoyens, mats qn’en méme-remps
il s’y en tronve dc trés-snspecrs. Ce martin , dit-il ,
i! 5215: passé un fair qn’Hebert m’a rapporté. On
a :nréré devant chcz lni deux hommes qui se
disoicnt dc’putés des sssemblées primaircs. Ces
denx homnies se sont trouvés chargés de pis-z
tolets 0: dc poignards.

Chaumet propose Ct 16 conseil arréte, qne
deux ' scntznclies scront npostées pour requérir
lcs passeports dc tous 125 arrivans par les coches
d’can.

§ VALBEL er D’A R I U s o N , 1315 do ei—
devant hrnrier ~ général de cc nom, se son:
rendns vc—mircdi dernier an bois de Boulogne
pour s’y burrs nu pistoler. Voici )c sujet de ce
duel :VVale s’éroit cngagé d’épouser la smut
dc d’Ar/fins'n; soit dégofit: soit captice, on.
our anrte morif, Vaibei a refitsé de remplir sa.
promesze. l’arvenn snr Ie champ de bataillc , 16
sort firvorise Valbcl‘, c’CSt & luiz‘i titer le pref
mier, mais son pistoict rate : Alors d’Arjuson
fond snr son adversaire , lfiche :‘1 bout tonchan}:
son pistoiet J or Iui fair dans le bas ventre une
Luge blessure. On dic qn’elle est moxtelle, e:

  
 
  
 
  
 
  
     
  
   
 
   
     
   
   
  
  
    
  
  
  
 
  
 
  
   
   
   
   
  
  
  
    

 

 que Valbel , qu’on n’a pu transporter chez .lui»
est 5. route exarémicé.

§ Un cicoycn qui voulolt compte: le nom—
brc ch grinémux qui ont setvi’ la. republiqac
(ll/HHS la gucrte, s’cst arrété glacé d’cflrol pm:
l’ecenclue dc- son calcul', voici les nmns dc can:
qul son: malntenant en étac d‘arrcsmion. Dillon
Blron, Cuscmes, Lamatliécc , Sandoz , Clmzot ,
‘fVescemnnn , Lescuycr , Miranda , Ligucvllle ,
Sringel.

§ Gensonnet en”. ardien , Valacé c: Vetgniaud
q'n étolen: en : 'd’an‘estation nu Luxem—
bourg, ont été co' its , les cleux prcmlelsi l’Ab-
baye, ‘lcs deux auttcs :‘1 la Force.

§ On écrit dc'Marscille que dans la nuic du
2.1 au‘ 2.2. , ‘ goo hommas se son: PDIEéS an co—
anté central pour 16': dissondre, mus les garcles
xmiionales ayanr. lfiché pied, on a salsl les as-
saillans e: traduits au tribunal populaire qui ne

suspend pas so. tenible activnté.
§ Paris es: assez tranquille, les députés an
nvent de routes parts.
§ On a enveloppé hie: tous les spectacles
Pout connoizre ceux qui y ecment.
CONVENTION NATIONALE.
[PnésmEch DE DANTON.]
Addition 21 [a se’ance d’lu'er.

Dans lcs trois clécrets rendus bier, nous
avons omls de‘ rapporter les circumstances prin—
cipales. Billaud dc Vatcnnes ec Niou son: cn-
voyés avec dcs pouvoirs indéfinis dans les dépar—

tcmens du Pas—'ac-Calais et du Nord; Prieur, ‘ ’

St. André et Lebas 5e rendront aux armé'es clu
NOrd , dcs Arclennes, de la Mosclle et du
Rhin , pour 5e concerts: avec les géncmux suf
les mesures '31 prcndte clans les circonsmnces ac-
tuelles. Colombel , de la Meurthe, Bentabolle,

Deville er Clmlces 5. l’atmee du Nord, pour

remplacer. les commissmites mppellés.
La convemion denunce 2‘1 tous les peuples ,
méme an peuple anglzus, la Condulte lfic'nc ,

perfidc e: attoce du gouvemement britannlque ,

('4),

qui soudoye l’assasslnar, le poison, l’incendie,‘
pour le triomphe de la tymnnle. Les pléces
justifiantcs seront imprimées.
- Les blsns de tous ceux déclarés llors la loi,
appmrienncnt 5. la tépublique. -
hlxsabclh Cape: nc pourm étrc cléportée
fiti‘uprés le jugcrnant de NL'Lrle—Autolnette.
Danton proposal: cle meme le comlté‘ de salut
publlc en gouvememen: don: les mmlstrcssc-
roienc les age-.15 passifs. La mOtlon est njouniég

( La suite & demaz'n.)
55111256 du Vuzdrea’i 2. Aazir.

Une députation de Nantes, don: le maire ,
Baco , se permet des sortles asscz vlves
contre la convention, sur-tout en .dcmandant le
renouwllcment cle la convention qui a tan: fair
pour la bonlxcn: du peuple, a f.1it_demander_
"par TllUl‘lOE que Baco et ses collégucs lfissent mis
en 53:21: d'atresrauon. Clubo: 21 d1: qu’il falloit
respeCEer le droic sacré dcs pétltlonnaircs J re-
gcvoir les Collégues aux honncuts de la séance
er clmsser Baco en vérifianr leurs pduvolcs.'0n
'a vu qne Baco étoit sorcl des bornes de sa mis—
sion. Fayaud s’éleye comre Baco qui lui crie:
représentan: du pcuple, Lu en as mentl. Certe
aposu'ophe 1e {aft renvoyet an comicé dc sfireté
générale. On invite sex collégues aux honneurs
de la séance , mnis ils déclarent qu’ils 11’aban~
d'onneronr pas lent maike. ' .

Collor d’Hex‘bois‘demand’e un décret d’accu-
sation contte Gamt. Hier il ne l’a pas trouvé
Chez lui, e: il a appergu chez le ministre un
imprimé contenant (les’sérlcs de quescions qui
peuvent érrre dangereuses, pour érre adre‘sséesfi
tomes les communes du roynume. ll 21 gardé un
nommé Champagncux , collaboratcur de Rolland.
On a decrété que le ministrc semi: mis sur le
champ en émt d’arrestatlon et mandé a labarre ,
lc miniscrc paroic, se jusnfie. CCEte série de ques—‘
tlons sou: tirées d’un llvre anglals par Arthur
Yqung, on l’admec aux honneurs de la séance ,
on me: Clmmpagneux en état d’arresration, 16$
scellés mls sur sespapiers.

Carts. est mis en état d’accusation.

On fouscrit i Paris au bureau de! ceiournal benlevard de la porte Saint-Martin, i celle Saint-Denis N". ;.‘
Le pnx del’abonnamen’ de ce papler nouvetle, 1e moms Cher de tous efl de 28 livres m (015 pour l’année;

1w. out fixmois 7 lines no {0
.15 P

s pour Unis mois. etweux deux meis en envoyantm aflignax de cent fels.

mo
Ch I
ct' l
em
fen
van
dOl
trm
dés
t6:
ils
un
rel)
de
Pl'él
baa
de
ces
prEr
qui
rep
pan
nun
con
mat