xt7mpg1hn016 https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7mpg1hn016/data/mets.xml Poujade-Ladevèze, J. H. Alexandre Dupré France Poujade-Ladevèze, J. H. Alexandre Dupré 1796-10-16 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French De l'imprimerie de LE NORMONT, rue Des Prêtres S. Germain- l'Auxerrois  This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Le Véridique ou Courrier Universel, 16 October 1796 text Le Véridique ou Courrier Universel, 16 October 1796 1796 1796-10-16 2023 true xt7mpg1hn016 section xt7mpg1hn016  

 

 

 

 

 

 

 

      

 

 

 

 

 

 

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. ( Dananclw 16 Ou’romu; 1795, vmux style, ) Q )
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ier. : Craintes (Ies liabilans (le Nuremberg , (Z'une nozwelle irruption. (1P3 fmnmis. — Rafrp/a :lzemenl (In génz‘ral Morena
Jnlm ‘ dgs bards {u R/Lin. —- D‘mscin, dz; général de se maz’ntanir du/Is In 1741ch Suabe. —- A’Ircsse d’mage de la
qu’ilz c/zambre des communes d’A/zglcterre au roi. —- Les républibains empe‘c/mnt 1m, (lane/lament emwmi (l’c "lever 2 er-r
guilt/Ir. dz grains (2 LuWrarbnm'g. -— Le général Morena [mt Ze gén/t‘ral Lalour,fa2t 5000 prison/LL73 etc. -— Ré-
:nt tle clamutiou des pro/"esseurs cle ("université star 1810‘ pension, (L’s retraile. /’
1011.”: 5:1: ‘

Mandat....... . 4- 7

A V I S.
0n s’almnne pour cc journal, ch97, 1e cit. Lnnovx ,
rue des Prétres Slint-Gernlain—I’Auxerrois , n. 42.

_ Le prix est de 9 liv. en numérairepour 3mois, 18 pour
6, et 56 pour un an.

  

 

NOUVELLES D-IVERSES.
“1.: ALLEMAGNE.
n lrii 7 Nuremberg , 50 septumbi‘é;
1': l’d‘l Une proclamation de noh‘e magistrat porte cc qui suit:-
‘3 LlH > N Comme ies pmgrés dos troupes aulricliiennes out
”0“? JentiCrement fail cesser lcs ('raintes que l’on av01t d’une
CHM ‘nonvelle irruption dcs frangais , et qu’en conséquencc le.
—mililaire prussien qui éloit provisuiremcnt dams cctte
91‘0” -villc at sea districts pour lifS prolégcr , doll so rulircr in—
ndﬂll cessalnznml , l7on emit. Llcvuir en infomn‘r la louable
)3?“ ‘bourgeoisie , et lui dormer on mom‘s—461115 It connoitre
7 '33” la. protection-ties troupes prussitrnncs will Hé desplus
qu m imp n'tantes pour cetto ville , dams le cas oil les franqais
” ‘3’ lussent revcnus; qu’ainsi , d’aprés les vues qui l’ont
'ICI‘") ‘molivée . ellc doii exciter la reconnaissance de tous les
ticlca habitms qui se pénétrcront de ce sentiment , . et auront

‘ .soin rlc resperlcr uliérieuremcnt cc milimire , comma ils
nznrc ,l’unt fail jusqu’é présent. n
on: M. ale Hurdcnberg a remis le 29 une déclurnlion , tou—

r1t1€r ‘ "chant la pmposition faito dc le mettre sous la domination
; m prussmnuc.

Lau‘CS ' Dusseldo7ﬂ',2 00106172.

rxr‘ll': ‘ - - '

[1 'xi’ U‘purs la reconnoxssuncc entreprise le 29 par 165 an-
1 N" , _ , V. i . . . r A ‘ V

l c l" 'luclncns , (11.11 étmt conlbmcc avec l’ullaquc (le Neuwmd ,
r « '

: Ell ne s’osl rien passé ici. La chains des nvnnt—postes im-

.{. .- -.périaux s’étcnd de la Sicg sur Eschman j usqu’aux envi-
ﬂu H1 3 "mm «lc Langen, el lo. gros clelcur corps Ll’armée , qui
t (1“6 ' Il'cslguércs que de 16 in 18 mille homincs, est {1 Uche—

“Cl“ - wrath.

‘ ‘C‘ll‘

‘51“ 1 S U I S S E.

113 :3 . y

[,9 C1; - Constance , 1”. ocfobre.

ﬁllus ‘j 0n no sauroil plus (louter que l’arméc du généml Mo-

rezm ne se rnpprochc do plus en plus (lcs bowls (lu Rlxin.
.La division aux; ordres du géuéml Ferino s’esl enl‘oncée
"(ans In HauLe—Suabe , et don avoir eu, le :17 stylembre,

sun quartier—général pros (lc Salmanswéil ; ellc est Vive-
ment poursuivie par cello du général Frcelich. Celle dc
Tareuu , depuis qu’ellc a évacuée Landau ct Bregentz,
(\ccupc lr‘s bords (le la Schusscn , et a son quartier-géc
7'éral é. Hofen. La colonne autrichienne (lu général Gru-
vr‘n , destinéc 21 lni tenir téte, apris une position 5111:
l‘irgnn , ets’étend jusques devant Ravensbourv.

Dan 3. Les aﬂhircs viennent encore Lle changer dc face.
"A division (le Fcrino a pu se réunir it cellos (lea géné-
itux Tarcau er Buillard; et tout annonce qua les flan —
gzis ont dcssein (1e semainlenir (lnns nos environs. [e
:1 Larli-“r-gém’wal rln ll'lorezm est 2; Stockac-‘i : over. 13000
llommes des 17000 qui composem sa Llivmion. Cepenrlant
l'es aulx‘ichiens s’avanccnt du cétédu Hagan ; et , jeudi
(lernier,nne (lc lcurs colonnes a pénélré jusques clans
Engen , on .0115 a pris plusieurs ofﬁcicrz frangais ave; uu.

 

_ Hombre asscz considémble de chariots.

HOLLANDEI
_ In Haye , 5 05-1051 u;

L'e‘ch‘evaliér cl’Araujo , ministrc plénipolcntiaire de la
cour (1e Lisbonne , est part1 d’ici hier mutin pour Paris ,
clmrgé de travaillcr in l’arrangement dcs dill'ércns quL
subsistent entre la r(:publique frunguise el 16 l’nrtugal.

AN GLETERRE,

Aprés le discoms (lu roi , lea commune": 56 '50M I64
tirées , ct la cox-me dc Bathurst s’est lcvé pour proposr‘r
l’mlrrsse (l’usage , qui n’cst autre chose quetla :‘é‘pélil‘o 1
J11 (liscoux's de sa majesté j, il vent qne pour oblenir £8
paix , la chambre s’en reposo enlibremrnl sur la dr'a. lu-
ratiun do an majesté (lans son gravieux dial ours in sen
parlcmem, sur la sngesse ct ls patriotisme (lea I‘lillltlrr's ,
en prenant toutcs lcs mesures qui penvenl, proru u a)
bicnfail; mills en méme {ems il mmlmite qn’il soil him
rcconnuqne. la paix , qu’il regarde rlrésiruble , rs: ung
pnix qui s’u<:corde avec l’lionneur , J’indépenclan‘e , M
par conséquent avec les véritablc‘s inléréls (lr: ce pays ;
et dans: cette vuc , le parti recommanlé par 5:: rim/rush: ;
d6 nous mettre cn élat tle poursuivre vignm en semen! la
gucrrc , dams le eas m: l’ennemi se refuscmit 5! dis con-
ditions honorables et justes , lui a porn lrésrsage at trus—
convcnablc.

Lord Ossory appuie l’aelresse ; i1 partagc lcs senL3~--_

 

  
  
   
  
    
  
 
 
  
   
  
  
   
   
   
 
   
  
    
   
   
  
   
  
  
   
  
   
   
  
   
    
   
 
    
    
    

_ . “unwaﬁw v. i.

1:;

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_,. id“: __M i.

  

 

nién‘s m'iintt'eatés par Te noble ccmte‘ ear 12.: Squares a
premlre your parvenir a la paix , et sur l’uyantage (Inc
‘les :16: niers succés degl’Allem'agne doivent procur‘é‘r pour
l’obtenir a dos conditions justcs , sures cl honorablos; [1
no punt lrop applaudir a la gﬁnérosi'té, a la pcrsévérancc
ct aux grands ell'orts que l’einpcreur a déployés pour lc
sauticn deila cause commune ; cc potentat s’est acquis ,
par sa conduits, (les titres a votrc rcconnoissance eta
notrc appui. Silos propositions justes‘ et raisonnables de
la Girandc-Bretagne sont r'ejcttées par la France , il n’en
devicnt quc plus indispensable pour ce pays , do l'airo do
vigoureux préparatifs pour ‘continuer la guerrc jusqu’a
Ce que l’L-nneniicntrmle la voix (la la justice at do la rai-
'S’011. L’ascendant que la France Vient d’aceiuérir dans les
conseils (l’Esp‘agne, ajoutent encore a la nécessiaé de ces
'Préparatil‘s. . "

Le con-ite Fitz-W'illiams exprims , quoiqu’a regret,
combien il est éloigné d’approuvcr lcs mesures cum-
muniqu‘ées par 33. majesté. Nos ell'orts n’ont été d’abord
dirigés gut: contre le systéme l'nneste et destructif dos
principcs frangais, et' ils n'c diiivrnt se ralentir qlu'e
orsqu’ils seront enliércment détru‘iis , et que cc pays
n’anra plus ricn s craindre de leur inﬂuenée; ct cepcn-
aantle .principe (l’aprés lequcl le gouvernement de
France paroitagir aujourcl’hui, est encore clcstruclaf Lie
l’ordre et des loix , et méine dc l’instcn=re dc tome
société civilisée ; et ccpendsnt cc systi‘me est avoué par
lc discours émané du trone; at on vcut que la chambze
l’appuie .par la démarche qu’o'n lui propose! Il congoit
gu’On ai’t cntrepris 1a guerre uniQucment pour le garan-
tir‘des‘eifets cruels qui doivent résulter dc l‘existence
H’un gouvcrnement parcil iicelui que la France, posséde.
Il convi‘ent cepcndant quc si has tﬁ'ets d’un tel systems
étoient nécessairement circonscrits (lans lcs limitcs cc
la France ,‘ce no soroit pas un motifavoué par la justice
et la politiquc de faire la guerrc‘ a la France. Mans tors—-
qu’il est évident que toutc l’Europe, et particuliorc—
ment la Grande-Brctagne', en scra tot on tard la vic-
time , il soutient que , d’aprcs e principe de. sa pl'upi'e
conservation , cc systéme est un motif de guerre‘ que is
justice et la politique avouent.

, En jettant un coup—el’mil rapide sur la conduits q e
la France n’a cessé dc tcnir Kenvers ‘lcs puissances re
l’Europe~ depuis le commenument dc la guerrv- , i
reconnoit qu’clle n’a ccssé do suivre son systémr minis
riable de propager scs principes funestes et destruunl's
dans tous les pays on scs conquétes et ses négocianons
lui ont acquis quelque ascenilant , ct qu’ellc lc suIVia
encore vis—a-vis rte cc pays aussi-tét qu’ellc en pourra
trouver l’occasion. tr Tout pays qui est tombé sous la
n pouvoir dc la France, a été victi e de ses prim—i
n Icipcs ‘» Voycz la conduitc'de la France a l’ogard (le
la Sax-Llaigne. La paix n’étoit pas fails quc déja elle s’iéts t
immiscé dansusa police intérieurc , qu’elle introduisr t
pinsieurs innovations dans son gouﬁvernement, et qu’e! e
asloit jusqn’a délerf‘f li‘s accusés omprisonnés dans l: s
principalcs villcs pour (lillérr'ns de‘hzs. Quelle conduits
lcs frnnoais ont-ils tenno in Turin ? L’étendard francais
a éié ai-bm'é clans cette capitale , quoiqu’ils prol'cssassent
a s n éggaril drs scntimcns ile. paix rtr d’amitié. .Srrjez-
vma; (lispou‘s 2: siiuﬂ'rir unc pareillc liumiliat o 1 do in
gar: tic la Frame , dam une position semblabic? on

pawn—vans assnror qu‘cn‘ paréil cas il seroit en votre
. pouvoir dc vous en garantir?: _‘ '
L’inﬂunnce dos principes frangais 'a’cst fait sentir
(lans co pays, méznc durant la gncrre , lorsquc toutc
conniwnicmion (:st interceptéc ; a quoi faut—il («lone
s‘aitcndre, pour li-s terns (ll’ paix , oil lres passa‘gcset
les communications seront cntiérement libres entre les
den}: unions '2’ Le-urs cll'orls ont eu (les ‘c-Hets bit-n seal
sibles clans nos colonies, a one certaine époqnc de la
guerre ; c’ent a ileurs machinations qu’il {at t’altxibuer
les désastrcs dos isles do la Grenade et (le Saint Vincent.

‘ On pent (lire qu’cn Angleterre la grands masse dn'peuple

cst allaClléC :1 son cxccllente constitut'on , e1. qu’ainsi
les efforts de la France, pour plésorganisur cc Pays,
serontvains; mais étes-vons cartains quenos ~colonies
. pourront égulemcnt s‘cn garantir? po'uvcz— vous' égale-
ment coniptcr sur la conduite de ses habitans? On a
désigné unc pi rsonne pour @ntamcr les négocia‘tiona
aim-c lc clirrctoiro’de France; “mais ;. sans parlor de la
lionte et th‘ l’opprobre d’unc pareille démarchc , i1 falloit
"cxaminrr sérirusemcnt de quels pouvoirs un tel envoyé
pouvoit élrr invcsti avant que vous eussiez donné votre
approbation a cone me‘sure ; i1 falloit considorer on-
core si elle (lwoit réussir; roar il est évidcnt que si
elle n’cst pas suivic (l’un heureux succes ,'notre si-
tuation so trouvqra birn plus péniblo qu’avant cctte
dunarciic; cnlin , on (l‘vroit aussi savoir sil’on fern
la paix avec la France dan's la position on se trouve
aujmrd’liui son gouvernement , ou si l’on soult‘rira
qu’elle cons-"rve scs immenses acquisitions. Dans ce
cas , c’en est Tait pour jamais dc l’indéprndance ct du
bunl'ieur do l’Europo. ' . .
Considércz lvs suites funestcsdc lavdépcndance dam
laqrielle la France reliendra toujours la Hollande en
comervant lcs Pays-Baa. Oscz contempbr lvs eﬁets dc
l’~-iabli.~si'ment d’unc i‘ﬁ-publique tlans le nord vie l’ltalie
sous l’infl..ence ile la France. L’indépendancc du restc
dc crttv'presqu’islc est détruite, e} la domination de la
M'éditerranéc reste pour jamais entre les mains de la
Fiillin‘. Calculez combien unc-telle inﬂuence nous sera
l'unestc , je nc dis pas soulcment par rapport {1 nos opé-
rations militairps , mais par rapport a nos'relations
commermales. Quelle garantie au‘rons-nou's dc la bonnc
foi de 1;: France , une fois qnc nos troupes seront licen-
ciées et nos vaisseaux el«'-sarmés' ? En un moment. ce pays
se trenveia expose. sans défcnse aux forms coinbinéCS
de 14 F1 arms at de scs tributairca, la Hollandc ct l’Espagne-
Je suis assuré qu’il ne peut exister dc paix solide et du-
rable tant quesubsistcra lesystémeadopté parlaFrancP.
L’orateur conclud op proposant , par amandcm‘nt J de
supprimer une partie do l’ad‘resse preposée a la chambre,
Ctll’y insérer nn paragraphe qui annouce la determina-
tion de la clilambre pour quc Fla guc‘rre soit conunuée
jusqu’a ce qu’on ait pris dos mostires cflicacé’s pour g'a‘
ranur CE pays des funcstes cll'ets dos principcs francvls-
Le comtc tie Guilford applauilit scle‘toutson cmur ‘a
cette partie de l’aclresse et (la discours qui dcmande ft
assure les moyens do parvenir a one paix dosirée ; mm
11 no VCUt pas qu.’on aille conclure dc cctte approbation
qu’il adhere implicitement aux autres parties rlu dis-
cours et de l’adresse , ou qu‘il s‘engage i‘t HPPTGUV” 13
conduit? anlérieure cics Ininistres ou aucunc de leurs

 

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.-‘ propwitions Lion: ii a dcssein Ll’cntrqfcnir incusqam—
’mni Ia nIinInbro centre In mauvuise cornu'uiic (IL'S mi—
man‘s. II est, chnrmé do at que Ie dismurs émmr" (in
qu‘H : nil. arrété IL' IUI‘I'GTIt d’iniurcs ui (Ir: (zalomni‘s (cht
_c Ilf‘llpIC (“t In gnuvcrnE-mcnt I‘i'nrigais sp‘nt converts par
15,. inniistrcs liCi)‘JI3 truis unnéus; iI eat. Iimmé dos tI'TF—
piers succés (Ii‘n arniéus aulrichia nncs‘; iI espr‘JrC qu’eiics
:oyﬁ won} I." ssilut de I’cmpire germaniquo ; il rIéaigc
SKIJW‘EIICS IOlII‘nn-nt éi I’zivantugc de la Grands; 3rclngne;
liais £1 moins «Von n»: Ils muttc sagcnieut 51 prniil., nu

v3p¥111 gut-re 3")" ntlendrc ; s’iIs nous inspircnt um: con—

r

.9. Iégilxmu «Isms nus larres 0t nous amount it (furor

, shun! nos pn‘ltnlinns (Ians ICS condiiium dc palx,
.jf" sunrés , nu Iii-u (I‘étrc avaiitugiux dcrienJroitnt fu-
nodes 51 nos aIIiés
.4.

II s’arréle un mnmr‘nt sur Ia pailie (Ie I’adrcsse, ou iI
est (Ii: que la \"IUIL'IICU di-s :4ch populairus qui 53 sent
manif‘cstés , nnt été réprirnés par In vigurur 911a sagesse
110 395 Ioix. In cause in pHnl. élre :i'lx‘ibii/ac u‘I’attache—
mom (”I 511"! -.-oumis1‘0;z0:itirnsqli’il Inf pInizadn *mnniire hi

IIhainbre‘, iI pvnao qua i’udri ssr Czill‘ 5 LI“ nmniére
“iipiévenir fouti- ul;j99.iiun (1 Lamb: \I'IE-HJ‘II'E, II I‘aIIQit
ﬁ’zalwrtii‘aire d s orivnrulns pwur arrlt'wr an Imt (Iési—
ﬁble d9 Ia paix ; e! si on no pr—ui i’uim-nir ii dos cc-ndi—
-‘ﬁons justrs, gloriwusr‘ 9t raisonna‘nlos, Ia mwsuré: +1: 'mus

»m()I'\I]‘(‘I‘ préis (Inns I"aI:ernaIivc :ix-oniinuer vigoureusc-
ll - . u “ i
lent Iagumrn, (-1, [mp JHT‘IISI)PDE¥LII>IC pour on demontrer

['3 I“ ‘ ‘ v . \ ‘ ‘ ’ ‘
Ianu, c:slt9.Q1(mf u C!) (lu’a (I11. nn noble coane (FUZ-

giililn) l'K‘IuIiVCII'IL‘EI an changr‘ment qn’iI prqlend
I

~: 4" . . , ' ' ‘ ‘
:1 Optic (Inna Ir Iungnf'c ct Ics (Iisposilmns dcs m1-
:irns unvcrs In France. , depuis Ie commrnw mmt (Ie Ia

‘Fg‘WE‘I‘O iI 3“ burn» :, b: -m a] I. 7"
, ~ i. 0 UCHJ (111-. C (mgnge quns

3m: In nu oi Ics (I'spositions qu’iIs om prises éiuicnt ap-

iIxabIcs aux ‘diﬁ‘érentes positions dang Ic—spudles ce
{EUPIQIS’C Il‘UU-Vm‘t dams Ics tems de leur maniﬂ-station ,
'. I(1116l'i‘XPC‘W‘ICHI‘Ca prouvé (11.16 195 ministrcs av'oitnt
film's rmsun qulic que soit I’opinion que Ics iziinistrcs
.6 samny-slé :1innt émise sur In rémblisscmcnt (-16 la.
Illiomrchiu en France , iI‘s n’ont jmnais décluré (1: :c Liana
‘I‘Cun rzis , iIs nenonscntiroientpoint£1traitor on méme
mm: ’a paix (lVCC OIIe , tunt que Ia i‘urrne de son gou—
Ill/‘JII Sf'ruit re'puincainc. II He balance. pas i1

,“‘ (l'nr‘ (Inns con opinian Ie :‘iabiisurinanl In Ia mo-
'\1.1(‘InI“r;ulcc seroit non—smicrrmnt trtsrav "‘13,??le

is:

’171‘35 ; mans minus a la Gx'audc-Bz. v'gnc an farLir

UL’

(.5

.\
lsuI'ier , 01.2: (cute I’Eurepe 9n grinérai; capendani i1 116
fuu’. p‘as'cnni‘ondr‘g Ie:si:‘"gs. ‘ ,‘

Cate opinion He pnui former d’obslacIe £1 traitsr (i618.
paix, quan-i In 5 circonctanccs chmnanri-ﬁ‘ \t on
ti=san In m‘ii'vzé avec Ia France, uuuiqu’Q-IIC soi; :uus 1:116
autre fornw cauvcrnnmcnl. M :55 iI n’v’n i‘aut pas 9,11
cunciurc, cummb n. naru IL‘ dire Ir nub'm L'(.I)!)IP(GUIII‘UI LI:-
qnc nous rmyonnoingr‘s (I9 COIICILITU Iapuixnux pin.» hu—
miliantes cowlduns , iii 31-: nuns :.<)m;1cm-e é: nucunc Lies
Iuix que la France voudioi‘i IIOUS‘I‘NI‘Jszl‘; quan; a ':;
Iinscsdrscondilions pariicuiiérz-s avcc I“::(1IICII(‘S iI pent
éire convcnibIc LIP. neégocier on do uuncIurc In Iiziix , cc
n’csi, ni Ie mmuont ni Ie Iieu dc Ins discutcr; ii :16 a’nr-
ré‘ez'n done point ii Ia: partie du discours du {“1qu come
( FIIz»\ViIIEun1), quiest relative £19.91 o‘hjci , iI us PII‘ISL“
point ma n pIus avcc Iui que (Ic h‘IIes nEtgcn intimis [Huge
sent mer In moindreattrintc i‘i I’Iizmnrur Oi I’inzIéPL 11~
dance: dc I’AngIotwrre ou dc scs ailiés; inrxis il 5c fcf~
sumle que gee moyenIE-t I515 mourn-s 'cnbséquun. s qui
‘pnurront étre prise par les IHI’H‘HI‘CS nous con~
duirontz‘i‘ unc mix justu, p9rmzineulu Ct (IuraIiIe.

Lp'nomlc d’AIiingdon {IPPUII‘ I‘mnon IPmPnI du CO ntc
FitzWViIIinm, (L rcnouchIu son phiIippiq :es cnntrv ‘3.
France. Um.- Iégére disrussiun b’UcIéve (more (‘nirc Iord
Grenville ii I: comfe Fiiz VVaIIiam; C‘Iui-ci sou'iicnt
quc Ia gucrrc n’a été SO'JI nue qu‘ dams I: dimmiu (Ye
ci‘iemgvsr In formc «Iu gowvern-‘rur‘nt qui cxiste animu-
d’hui cn I’rzincn. Loni G mini 19. In :é-I‘ute virtoriruuzw
ment; Ins étrangers sorlcn: , I’anzciuicini-nt. du comte
Ij‘itz-\Villiam cat rcjett'é ninai iiue 1a division qu’il avail
pmpmée, (it l’admss? 951 alopiée.
BEPUBLIQUE FRANQAISE.

Anmﬁs DE SAMBR! ET Mzusz.
Slrnsbow‘g, 18 iruzi’lﬂ/nim‘rc.

Les lllII‘ICIlItins continuent ii faire dcs incursions SH:
151 rive gauche du Rhin. Le corps enncmi qui 5‘15th
porlé sur Gorinrrsiieim , a ruguia IFS pa ans (I’Hcrx—
hcim‘ct (Ics communes des environs , dc (Iciruire 165 1‘0»
trunchemc'ns I‘rnugais.

U11 (‘lélnchcxncnt de.150 hummes lie cavu‘icric s‘93.
transpurlé ensu‘itc 2i Lauicrbourg , 3::an Ir) ucssc-in «In
s’empurcr (In «Icux nmgasins (In grail; n1, Um ruin. Lib-[in
iIs forgoicnt Ics Imbitnns (Ie Ieur I‘nuz-n7r ( " (:iicvau.\ rr‘i
dcs roiturcs pour Ir-s trzinsporlvr, 1:3”an 1:5 truupcs
pal‘iics (I’ici your aIIcrulcur rmcuntre, arrivi‘ivnt A.
Lauterbourg, 9t leg on chassércnt. Le mag-15in (I: bin 93!.
resté intact . mais 500 quintaux dc gram uni été pris par
16 (Iétnchenu-nt ennemi.

IIs n‘ont, point i‘uif contribuer Ia viIIe ; Us 59 sont mn—
IonIés d’exigrr do Penn—dawn: pour uIiavun (I‘CUX. C3
danchemenl étoitcommandé par un Ilonllﬂ'.‘ parlant pur-
i‘uitvnwnl frangnis, et qu’ou dit avoir (:té recounu pour
un éinigré de Meiz.

flier soir , iI vint encore une forle‘ pairouiIIe CHIN“.—
mie (Ians Ies environs d6 \Vanzenau; mais eIIe priI 31
f‘uite i1 I’arrivéc de nos répubiirains. .

Li’s administrations municipaqu de Luutcrbourg (:1 (In.
VJissr—mhourg ont pris. Ia fuitc :1 I’appronhe dc I’cnnmni ,
{it sent Iicureusunent arrivées duns ccUe ville : Innis Ix

-\"niturc qui Imnsportoit Ies papiers du juge dc puix dc
\Vivsa-nibourg , ILS sonnnes e11 mamlats at asklgzms , a

- J3» _ Mug...”

ME“

~, 1 -

 

 , _ i , s
élé pilléc par den payaan’s sur Wissembourg et Sultz,
quniqu’elle t'ﬁt escortée par la gendarmerie.

1’. S. On recoit‘ les nouvelles les plus satisfaisantes
d: l’urznée de Moreau. L’ennemi‘a été complettoment
bntm 1e 10 et ie 11 ; on lui a fail: environ cinq mille pri~

(4)

par Tc gouvernement Britannigne. Cutte'niission fut pr

‘posée au 'duc 'de Litch , (1:11 11 refusn. Enﬁn ellv I1-
d‘onnée a M.’ Harris, aujonrd’hu‘i lord 1tIisaburg.(’
négociunt jouit d’une répntation distinguée; il est at
tendn tous les jours a Paris.

   

“f"—

M...

sonniers , lué Et biessé un grand Hombre ; 22 pieces do
canon , 12 chariots (1e poudre et deux drapeaux sont
tombés entre nos mains. ‘

Soroit—il vrai qiie 1e directoire a pris un~ arrété'poy C
tant qu’on fera , a cet envoyé , 18. question guivante
L’Angleterre vent-e116: traitor avec’nous isolement ct an
le—chump , de sa‘paix particuhere '." Et que s’il répop Du 23 Y
non ', on lui signiﬁera qu’on n’a'plus rien a entrnd; (
de sa‘ part? ' ‘ *

Le bruit se répand que cet arrété exist’e, et no-
croyons devoir avertir nos lecteurs do no pas y croir
En eﬂ‘et , cet arrété n’équivandroit-il pas une senor!
déciaration do guerrc? Est-ii raisonnablc do pcnst‘r (It .
I’Angletorre , qui a dans scs mains plusieurs do nos put 8’35”“
sessions , piusieurs do cellos E10 nos aliiés , ct 21'qu no: 1% P‘é‘r‘"
n’avons rien,‘ puisse traitor avec nousisolcman? g}, P!” “J j

V g I 55 pour
"~‘-i 0 U I"

  
  
  
 
 
  
 
 
 
 
  
 
  
 
  
 
 
  
   
 
  
  
  
  
 
   
  
 
 
  
  
  
   
  
   

Cast sur 16 general Latour que nous avo'ns remporté
1e principal avantage. Le premier courier qui apportoit
cette heureuse nonvelie a été assassiné en chemin. C’est *‘
Ia cause du retard qu’elle a éprouvé poor nous parvenir.

Le general Saint-Cyr marche par Tubingen su'r
Stutgard; it reneontrrera vraisembiablement 1e prince
Charles. '

Maigré cetavantnge nous continuons toujours notrc
reunite.

. ,,_..~—-'——-'

1138'. - -

 

Haute-cour nationale.
' , ‘1, . l . ‘
Vendéme , 16 vendemiaire. ,
' ‘1' i s ‘ r i riso 1i r tra i . , . ‘ .
1 Le tdiecimato re PrOngélfg, :ingtm m e .5 ‘1‘ ts Unﬁecretarre donne lecture de la redactionzde la ré
‘ ' ‘ ' 1a - 0 ‘ e . , , . . . . . ,
‘ “if” ‘1, u e C ,“U at” e as“? B" ‘1 one étition te lutiou prise'hler sur le palementdes rentiers et (165 pen
or 3 n - X ‘ ‘ . _ ‘ " ' ' ’ ’
ii “i" EMMA,” 4v?” 1 . P16 1; (Ed 5 1p \1- r1: stonnalres (1e l’etat; elle est adoptee.
«;~ ~ mar-w .0 Fun amsm e ~ - - , - ~ -
I“ It 4 e f: PE“°‘,°""“L (‘bt )tlpemegél, .‘L our 1: . ‘ e a Lecommisszure dupouvou- executifpres 1c tribunal
. . . m - A 1 3 a} > - . . . . .
‘ .u ““01 m use” ’ a 0” “mr un 21; P re “my“ cassation , fa—it passer trors 1ugemens par lesquels cet

de?zieft*nsetlit'sl Oih'iltellx, ﬁfausété f 't’ 311,0 1 t d’ burial dénonce trois juges de paix comme coupablcsd
h h ‘ ~ - r ' - A:

1 1'” ”ppm if cote P8 1 gnfﬁa h 1' :11: (1 save: ure 6 forfeiture , pour av01r lance des mandate i1 nrt‘cts sans

‘1 ”an“ KP.“ C Cl 03 err 0 1n ‘4 " f”: e ,J‘uDeS' , , avorr énoncé'le's‘motifs devl’arrestation. Renvové 51 u:
Deux detenseurs ofﬁceux se sont presentes, mats 115 . ~ v - 3,; i -’

. . ‘ . . , . - commisswn Spbela. e...

11 out dit que {res—pen dc mots pour obtenir an delal.

Séance du 24 vendé/nimire.~

 

C n A r;
min" i
., [e din;
pour [”101

mud any?

, i mules so
_ Dochatel' or. motion d’br'lre doinandc I d' ' ' ' ~
> ‘ - . I . - :P ‘ i , i que 051 n’cliLC
’3 eitoyen Vle}u‘“‘1 I l “n des “T“??? nationaux ” versesicommissions chargéesd’exa minor les loix remix: . mm" qu’cil
‘1 cmpk’ﬁt“: 1.65 “”51"“ ’09Qt911uflstcf1ta Petfhor,‘ ’ ’1 a sur— snr lesseco‘urspublics , se réunissent en unc seule no" I {'1 5.,“
; ‘ . . t 810" a. ‘ . A . ,. - ‘ “ K
tout, ".t V229”, ‘1‘.” a petltlon n b. an pas . 2.3”” partous, presenter au plutot 1e rapport deJa depuis long—terns , m? out w.
ye tie-lat , 5 ll etoit accorde, serort prejudxclable a ceux tendu A‘dopté' ' t? 1,. ‘ 1
.V 7 . , . ,. ’ . .. ‘ - : -5 >1 noun!
T“ 1121.0": pas SERGE; Pufﬂuél Ttarduégllt 16 )agement Sur le rapport d'e Dub‘ois des Vosges , ie conseii pro. . I
‘52 I T'C'n e3 r . I: '7 ' ' r 1 K 1- ,
’L 111:3 (Hlil'atglriir “sin: :50” é mile; [alreé'it' ‘ une resolution portant que to propose au (lepot licsaz 5 1a mm”
d ' ,‘4 ’91 e’o‘it assé dc Evita au . _P L 1°23“ chives )lelClalI‘eS de Paris, est autorisé areniettreau imaging-r;
111:“:22‘zoi‘flel‘l s r P )ugemen u cttoyens les titres non femiaux etautres pieces (IRIS: i v 9:10:15“!

trouvent , it [a charge pareuxde payer trois francs P0“
droit's derecherches. '

Pémartin au nom d’une commissionspéciaie, ran
compte des réclamations adressées par les professeu
émérites de I’nniversité de Paris.

Par suite d’un traité passe entre la ci-devant univer
sité (IeI’Arisﬁt l’ancien gonvernement , les professeu;
éméritcs jouissoient d’une retraité dont le moyen ter‘
étoit de Moo livres ; les fonds en e’toient puisés dans.’ '
prod‘uit dos postes , dOnt l’invention est duo it l’univa
:sité. Cettc retraite étoit aipsi 1e fruit des avant‘agcsq:
produisoit une invention utile , et Ie prix des soinsqu
les prol'esscurs avoient pris-de ’éducation de la jcunes:

Ce double titre n’a pas paru a la commission pouvo‘
étre méconnu , et le rapporteur présento en conséquen’
un projet (1e résolution, portant que les professcur
érnéritcs jpuiront , comme par le passé , de la reﬁt-l“
qul leur étoit assurén. Impression ist ajournement.

Le président annonce un rapport qui ne peul 5i?
fait ’qu’en comilé générai.

Le consril 50 form en consequence en comifé- 0‘
assure qu‘il s’agit du rapporteur 1e traité do paix con
i

“P u aveo 1e roi de Naples.

tie citoycn Cofﬁnal a fait le rapport sur la déclinatoire :
i? n présenté avec beaucoup de elarté , toils les moyens
que cherchoient afaire valoir les aceusés.

Les défenseurs ofﬁcieux ont dit n’avoir point.- de poul-
voir pour (\léfemlre sur Ic déclinatoire.

Le citoyen Vieillard a également perté Ia: parole;

il a demontré , avec autant do justesSe que de_saga-
eité , que les moyens présentés par les accusés an Sou—
tien (le leur déclinatoire, portoient a faux; il a reievé
avec beaueoop do conileur et av'ec force nombre ([e con—
tradictions , ct quciques sortie’s que los re'clar'nans
nvoient Rotor, , ct dam lesqua-lles its étoient tomb-es,
dans tours écrits , sur la question.

La hnute —cour s’est déterminée , d‘apré-z les moyens
présentés par t’accusateur national, et sans avoir égard
an Liéciinatnirt‘ , a ordonné ‘qu’il scroit procédé , suns
df-lai , £1 l’instruction de la procedure,

L’cx-général Fion est arrivé ici : ii a subi son. interro-
gatoire , ct it «:oummnique gwec les co—dccusés.

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De 'l’impi‘imcrie de LENORMANT, rue—dc: Pi‘étres- Sai

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