xt7msb3wx80v https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7msb3wx80v/data/mets.xml  France  1800-10-27 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French Paris : De l'imprimerie de Meymat, rue des Moineaux, n°. 423  This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1800 Le Publiciste, Quintidi 5 Brumaire, an IX, [27 October 1800] text Le Publiciste, Quintidi 5 Brumaire, an IX, [27 October 1800] 1800 1800-10-27 2023 true xt7msb3wx80v section xt7msb3wx80v   
    
  
   
  
  
  
 
 
 
  
 
 
  
  
  
 
 
 
  
  
  
   
  
 
 
  
  
 
 
  
  
   
 
 
  
  
 
 
 
 
  
  
 
 
 
 
  
  
 
  
 
  
  
  
  
  

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LE PUBLICISTE.

QUINTIDI 5 Brumaire, an IX._

ETATS—UNIS D’AMERIQUE.
De Philadelphia, 13 8 (tom (20 thermistor).

Notre situation est toujours la méme. La translation du
siege du gouvernemt‘nt dams la ville fédérale Fern tort 51
la notrc; znais l’activilé que prend ici l’industrie & le com—
merce réparera cette perte. On vient d’annoncer la vente
‘a l'enchere dcs bililncns divers qui e'toient occupés par 10
gouvcrnement & les différentes parties de l’administrtion.

Tout est en mnuvement im , commc dans tous les antres
fédérés , ponr l’éleclion générale dn president & des membres
du congres. Il paroit que le parti qui s’appelle re'publicain ,
on. ne sait pourquoi , puisque toute la nation est répulili-

, came, a repris quclque avantage survcelui qu'on nomme
, fidr'ralisle. Celui-ci travaille é faire réélire John Adams is

I la Pl‘ésidence; l’antre y porte Jéflérson , qui l’a déji: man-

rqnée deux fois. Il paroit avoirplus de chances pour l’obtcnir
cette fois—ci. Il ya un troisieme parti en faveur de Ch.
Pinckney; mais il n’y a pas d’apparence qu’il puisse lutter
avec succés contre les deux autrcs. Au milieu de cette divi—
sion de partis, plus e'chaulfés qu’on ne l'a encore _vu dans
lesprécédentes élections , les patiotes sages 8c mode’rés
éprouvenl une grande consolation , c’est (la voir qua quelque
choix qu’on fasse entre los concurrens actuels , 0" aura Pm”
Chefs du gmvernement des hmumfls prelim, éClfiiTéS , “‘55 ‘l‘
la cause de la liberté par 1:! part' active-z 8c gloriéu‘se qu’ils
ant prise £1 l’affranchissement de leur ,patric;
ESPAGNE.
De Se'ville, le 7 octobre (I5 vende'miaire).

La flotte de l’amiral Keith 11- mouillé quelqucsjours entre
le Teluau 8c Centa. Le H , elle a levé l’ancre 8r s'ost porte'c
en ordre de bataille entre Cadix 8c Saint-Pietri. Le 12,
elle est entrée daus la baie de Cadix jusqu’é la pointe de
Rotta. '

Cette flotte est compose'e de 14 vai’sseaux, 18 fre'gates 8c
50 transports. On jnge qu’elle peut porter 18,000 bommes.

Le [5& le :4, la Home 1': tenu la meme position 8c pa-
I‘Oissoit sc prépareré un débarquemcut entre Bella 8: le port
Saint-Marc. ’

Les Espagnols sont préts , leurs troupes sont en mouve—
ment, & tout est clans la plus grande activité. Le gouver-
acur ne dort pas & fait toutrs ses dispositions. Le fort Saint-
Sébastien est confié 3: un homme expérimenté.

Les Anglais out envoyé deux parlementaires pour de—
mander de l’argent 8c les vaisseaux mouillés daus la baie; ils
n'auront point d’argent, point de vaisseaux , & ils ne dé-
barqueront pasplus qn’ils ne l’ont fait é Livourne , 51 Belle-
Isle, 8a: ,‘ 8t s’ils débarquent , on It‘s reccvra commc Bern.)—

’ (latte lcs a regus cette anuée 5 Quiberon , ou comme Bruno

le‘i a regus l’aunée derniere cn Batavie.

‘ Le ministre anglais paroita'voir adopté une nouv’clle»

 

    

1’3

 
    

tactiquederguerre continentale. Scs arme’es emirarquéés sent:
par—tout, hormis on ellm pourroient étre Miles 5.1 son allié.
Il menace é-la—fois de faire diversion en de'barquant en Ba—
tavie, en Bretagne , en Provence , en Espagne , 8r par—15: i1
ne donne aurune inquiétude.

Du reste, s’il a voulu accoutumer son armée de terre 7:
la mer, il a bien réussi; car depuis un an ces malheureux
fanlassins , entassés sur des bétimens , convoient 8c courreul:
des bordées dans l’Océan & dans la Méditerranée; cela pent
s’appeler l'a-rt de jetter son urgent in la mer 8: de mango!
quatorze cents millions noblement.

R U S S I E.
De Peterslzourg, le 50 septenzbre (8 vendémiaire).

L'empcreur a ordonne’ qu’il 'seroit rassemblé une arme’e’
pres VVitebcak (su‘r l’ancienne frontiere de la Lillluanie) ,.
sous les ordrns du comte Soltikofl'. Elle sera composée de
lxuit regimens de cavalerie _. cle dix—huit regimens d’inf'an-
terie‘, de huit bataillons de grenadiers, 8c dc 1&8 bouchos 7
it feu. La garde de l’empercur, ainsi que celle dos grands
dues Alexandre & Constantin , seront au nombrc de ces
régimens. Dans le cas on cette nrmée marclieroit , lcs
regimens tle gnu-nison qui doivent venir h Péterslmurg sont
déi'a de'signés. D‘autres bataillous ont raga ordre de se rendre ’
in l'armée de Lithuania. '

[XI-411E M .tG‘N‘ E.‘ r ' ._
De‘ Stulgard , [erg octobre (27 vendémz'az're)’.

Voici :lc texte de l’arrété du ge’néral Moreau , dont nous-
avons pirlé liier : -

D u R u I 1".

Au‘ quartier—général d'Augsboui-g,

1e 21 vendémiaire all g.‘

Le géne’ral Yen chef, vu que la demolition des fortifiead
tions des places d’Ulm , d'Ingolstadt 8! de Pliilipsbourg im—
porte é l'armée , tant‘ sous l-es rapports de leur désarmement‘
8c non—approvisionnement actucl , que sous cel‘ui des avail-
tages que l’ennemi pourroit en retirer en ens de snccés;

Considérant qt‘le la conservation de ces places ue paroit
pas pou‘voir entrer dans un plan d’ope’ratious quelconqueS'
de l'armc’e, considérérs comme défensivcs nu autrement .-
& que le délai indiqué pour un terme de suspension d’armcs
pourroit amener une reprise des hostilités trop prochaine
pour que la prudence permette d’attendre une décision du
gouvernement sur la desteuction dos places dont il s’agit.;
arréte :

Art. I". ll sern immédiatement & simultanément procédé
Ella destruction Cles fortifications de Philipsbourg , lngolttddt
8c Ulln , avec les forts qui e‘n dependent.

II. Les ouvrages en lerre sernnt eil‘a'es, 8c lcs parties"
revétues de fortifications , particul érmnent lcs saillans dd
bastious, rem'crsés par lo fcu dos mines 8c ouverts.

’ Anufix

  

l lrent. ”t '_"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

,. efl'ct.

lipsliourg, sprout miscs, autmit qua possible, hors (l’état
d’etre reeonstruizes conime places do gamrre, si ca n’cst £1
grands frais, suit par l‘eii‘ct (les mines o’u celnl dos cums, en
ayant égard néanmoius :‘1 (e (lue les liubitzitious partieulieres
no soient pas endommagécs. ~

IV. Dans les places d’Ulm 8c d’Iugolslaclt, on se bornera
jusqu’b. nouvel ordre é: preparer les mines lirétes ii l'aire lcur

V. Le general commandant l‘arlillerie fora fournir la
quantitévcle poudre néeessaire pour les operations Ci-dcssus.

VI. Le lieutenant—general Saint-Suzanne est charge dc
fairs dccélércr l‘errété ci—(lessus pour l’hilipslmurg; le lieu—
tenant~général Grenier Pour Ingolstadt; & lo lieutenant.—
général Ricliepause, ou celui qui le reinlilaco momentaué—
ment, pour Ulin. -

Vll. Le counns’mlant (lu genie ii l’arméo prendra , en ce
qui lo concerns, toutes les niosures pour l’exeeution du pro—
smt :irrC‘Lé. Sigma , wMonEAU.

En consequence (le l’arrété ci-dessus, 4000 paysaus out
été mis en requisition pour Llémolir les fortifications d’Uliu.
ills out du coniinenccr liier. , '

Or—i mantle de Prague cine M. le conite dc Colloreclo arriva
1e 10 dans celte ville 8c en partit le 15 pour retourncr 2‘;
Nieune.

A N G L E T E R R E.

De Londrcs, le 17 octabre (25 vcncle'hu'az're).

Liclresse 6’ péliliou présenle’es an l'Oi]MlI' [e lord-maize, 6’0. '

at; 110m ([3 la‘cile’ dc Loni/”es.

uTries—gracious;,souverain ,‘nous , les trbs-soumis & fi‘dcles
sujets de votrc majesté, les lord—mairc , alderman, &
membres de la commune do Loudres, assembles eu conseil
général , approclions de votre tizéne llLlllllJlenle{IL-80.13.016-
ternés, pour representer que cheque classe des sujels de
Votrc majeslé , 8: plus spécialeiueiit cello du pauvre laborieux
& industrieux, éprouvent dans ce moment uric extreme Llé-
tresse, occasionnée par le prix excessif du pain & des autrns

‘ articles uécessaires in la vie.

» Dans ees circumstances Si {alarmantes} votrc miajesté
pent demeurer assure'e que vos fideles citoyens de Londres,
constans daus .leur atlachement 51 la personue & au gouver-
nement de votre majesté, 8c clans leur confiance en cette
lieureuse coustitution sous laquelle nous vivous, ontfldéjoué
3< coutiuueront 21 cléjouer toute entreprisc tendante (hexeiter
des troubles que rien , non—soulement ne sauroit justifier,
znais (iui ne feroient qu’accroltre 3c prolonger la calamité
présento; qu’ils encourageront de tous les efforts de leur
2916, 8: par leur exemple, l’obeissa‘nce générale & passive

aux loix, s’en remettant uniquement ‘a-la legislature , assistée a

de la divine Providence, du soin de soula-ger leurs maux ,

BC espérant en méme tcms des:sentimens paternels de votre4

majeste' pour votre pauple, qu'elle concourra‘ de tout son
pouvoir it opérer cette fin”
-» Nous supplions done trés—hublement votre- majeste' de

vouloir bien convoqner , le plutét possible , votre Parlement ,“

:‘1- l’effet par lui de prendre les incsures- que sa sagesse lui
suggérera, comma les plus propresii terminerles souffrances,
8c 51 pourvoir aux besoius de votre peuple , 8c par-lei, é lui
opuserve-r-la possession des hiens dont il a-joui long—terns
sous la gouvernemont gracieux 6c (loux dc votre inajesté n.

I 1

Le lord-mane a exposé ou-comite v.85 subsistanc‘es, qu’aprés

(2“)

”Ills. Les plraceslei—«1:53.9153 ‘Eéi'iiiiiiciiialeiiioiit celle (3:: Phi-’

Ies troubles quiavéient eu lieu mi mois a‘upmiavant , il e'tolt
assez natural d‘étre alarmé an plus léger symptoms} ele closur-
dres; que dopuis le moment oil il avoit preside la derniere
assemblée, il n'avoit rien appris (111i put lui calmer (lo l’in-
(luiétun'e, qu’il se seroit abstenu Ll'cntrelenir l’assemlilée d’uu
sujet aussi triste , si une agitation considerable ne s’éloit
nialiifostee la veitlc (lens la cilé. Plusieurs oilieicrs do police
(le son voisiuage m‘oieut alonne' oralre aux corporations mili-
taires d’assislerl’autorité civile. Ils avoient oté determines 5i
cettc inesure par un avis quc lcur zivoit hit liarvenir lo secre—
taire-tl’état7 qui les pro-venoit qua ales troubles éloient sur le
poiiitd‘éelutor. Le lOl‘tl-ulalt‘C litobservero l’;iss:inl:.léeque cet
avis adressé aux oilicicrs de police ue lui m'oit pas o'té euvoyé.

Do nouvedux troubles out (iclate', il y a quelqucs iours,
51 Oxford. Les sdditieux parcouroieut les principales rues en

8c. les fenétros (les maisons do dilléi'eiis particuliers. Uri (legs
membres les plus respectables do l'uuircrsité, 1e reverend

accompagué de i‘w’leVVchton & Parsons, niagistrats de cette
Ville, & suivi d'un membre' considérable de citoyens, se
‘transporta , ’4 la premiere nom'elle du tumultc, sur la lieu
de la scene; on Parvinl, ii force d’cxliortations, ii appaiser
lcs esprits. Deux 'd’es plus mutins out élé ‘arréte’s & conduits
cu prison, Le lendcmain ,' la communauté a offert uue ré-
compense de Vingt guiuées éi quiconque arrC-teroit queltlues
Clt"f$ de la séclition. ‘

L’mi‘ipercur de Russie a renclu un ultase, qui ordonne
l’établissemvnt d’une colonie do dix mille honimes clans la
Silnlrie, vers les frontiercs de la (Iliine. Elle doit élre coul—
:pose’e cle' soldats licenciés 8c Je personnes conclamuéos an
lmnnissement. Le gouvernoment s’engage i1 hfitir diabortl
deux mille niziisous , 8c 2'1 fournir tous les grains nécessaires
«pour 18 mois. Cheque colon sera exen-ipt do taxe pendant dix
ans: Un dos objnts avoués ale cet établisseinentest d’augmenter
‘les communications commerciales entre la Russie 3c la Chine.

REPUBLIQUE BATAVE.
De la Huge, le 20 oclobre (28 vemlémiai're).

L’ex—général Miranda est arrivé aujourd’hui dams cette
‘ville : il Va se‘rendre 51 Paris.

Des chaloupes canonnieres so sont emparées , dams l’em—
bouchure (le l’Enis, d’un cutter anglais do 18 pieces : le
icomliat a été tr‘cs—vif; les équipages bataves sont Inonte's l1
l’abordage.

Un armatcrur franga-isr a pris 51 la iiiéme hauteur un biti-
ment ('lc guerre angleis. de 10 pieces. Les prisonuiers de
ces dcux vaisseaux se’montent 21 55 1103111105, qu’on a con-
duits ii.- Hariingen.’

HEPUBLIQUE FRANC_;AISE.~
De Brzm‘elles , [e 2 érzinmire.

Avant—liier, il est passé par cotte ville un courier prus-
sien venaut (1e Berlin 8c'se rendant en toute diligence it
Paris. Ce courier est, (lit—0n , cliargé de dépeclies extréme-
ment importanles; au moins C’cst ce qu’il a Llll. lui-iuéine it
la poste , en changeaut de‘clicvaux.

L’arrété de‘s consuls/uni ordonne

 

d’éinigrés de tous ceux raye's 'provisoireineut ‘par les admi-
nistrations centralcs 'de département , est, stir—tout extrémf“
meut avantageux pour cclui do la Dylo. Pendant les 5:):
mois qui out préeédé’ la memorable & tunestc journéo (.lu
18 fruetid'or, l’admiuistrutiou, (ini-étoit en fonctiou 2: cctte

so lixrant 21 tous les excbs de la révoltc, brisant les lanternes‘

docteur Cooke t'u't atteint d’uuc Jicrre ii la tétc. Le moire ‘
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apoqne , avoit pris 86 arrélés de radiation , dont la plnpart
comprenoient plnsieurs personncs do In iriéine fariiillc: de
ce nonibre SC lrouVoient le ci—(levant (lnc d’Arexnbcrg, le
'ci—devant prince de Ligne, ainsi (lue benuconp d’autres.
Ce fut Inéme une dos raisons allégees par le directoire
)onr destituer cette atlministrution. Cette heurense nouvelle
arrivée bier en ectte ville, y a produit la plus agrc'able
sensation.
De PM“: , lo 4 bl‘nmaire.

Le general Clarke nnnonce que M. de Cobentzel est arrive
in Lunéville, le 9., ii quatre lleures & deinie apr‘es—midi. ll
a été rcgu an bruit do. 21 coups dc canon.

— lie general lialiorie conversant aveo M. do Lelirbach
& M. le fold-niareclinl Lnuer, aux avant~postrs (le ‘l’arniee
frangnise, pendant q_ue l'on rédigeoit la convention (10 Ho-

llicnlinden , parloit (lu pen de dignité qu’il y avoit pour une

giandc nation dc se mettre, pour faire la guerre, 51' la solde
Ll’une puissance élrangere. Comment, rcprit un atitiicbien,

_ S. M, I. n’csf, 21 la soldc dc personne. —— Non , reprit Vive—

nient 7M. de Le‘n-bacli, c’est un emprunL—Oui , répliqna
froidenieut le general Laliorie, don't vous lunycz l‘iute'rét
avec des jambcs Sr dcs bras.

(Earlmit du janrnal qf/icz'el).

-—- Le tribunal correctionnel s’est occupé tonic lei journée
(in 2, (lans ses audiences du InaEin & du soir, de la singg-
lie-re alraire tle jeu dont nous avons (léjit parlé plusieurs fois.
Le citoyen Boutroue, l’un dos dél‘enseurs de la dupe, a
prétendu que cclui qui lui a vendu si clu'renient le secret
(le gngner nu jeu , ne croymt point lui-znézne £1 son infuilli-
lililé, 8c par consequent. étoit un fripon. Le cit. CllallVQUU‘
Lagarde, defenscur (in pre’venu, a (lefenclu so lionne-foi .,
& en -a concln que son client étoit um entliousisste, 84 lo
pl‘aignnnt nn imbecille, avouant d’ailleurs que les actes,
oleets du procbs, éteient mils d’eux-mémes.

Le citoyen Roullois, ‘commissaire du‘gouvernemcnt , a
été plus severe, 8: apres avoir débattu avec lieaucoup de
clarté les inoyeus respectil‘s, il a couclu 51 la condamnation
de Barbaut, le vendeur (la secret, ii un emprisonnement

‘ de deux ans, en une ainendc de 2,000 fit, re'servant aux

parties plnignantes la repetition civile de lenrs droits. Le
tribunal a renvoyé le de'libére' 8: le prononce' du jngeinent
au4 brumaire , c’est-‘ii—dire i1 auiourd’hui.

-—-L’exposition publique des travaux des avengles, sus-

.Pendue pendant lesvvacances, reprendra son conrs sex‘iidi

procliain, a midi précis, en la salle d’excrcicesde l’e'ta-
blissement national, rue Saint—Denis, n0. 5 2.

i—Les deux corvetles [c Géograp/xe 8a [(3 l‘faluralisle out
rencontré, presque 31 la sortie du Havre, une frégate anglaiso
3g un cutter. Le capitaine Baudin niit son canot en mar 8c
so rendit in bard de lzi fre'gnte anglaise , qui envoya egale—
ment un canot vers le Geograpiie. Les- pourvparlers' finis ,
les‘ eanots [‘urent respectivement rcmbzirqne's, & 'les deux
corvettes frangaises lirent route au uord—ouest.

,y— Les honnétes citoyens de l‘inncy socondent de tous
lf‘urs .ell‘orts ceux du prel'ct ,pour l'cmbellissement du pzilais
des négocialions. A Lune’ville le citlayen Glennml-‘il‘onnerre
diliamonvrlle la prie d'aeccpter, git cette intention , on ma-
gnifique lit do parade ; & 1e citoyen Mayer-Maire, le plus
bean lustre dn pays.

—— Les mane 5c adjoints d’Auxonnc out pris In: ":29 ven— ,

 

démiaire, un arréte’, ii I'efl'et d’e'crire an premier consul.

8c do lui expiiinnr quelle indignation les liabiians de-cetle

ville, qui se glorifient‘ dc l’nvoir vu plnsieurs anuées parini

cux , ont ressentie , en apprennnt l’liorrible altenlat dont il

a l'ailli elre la \‘iciirne , its out do plus ordonné , pour la

lendeinain 5o, nne léte en réjouissance de ce qu’il a écliappé.
an poignard dos assassins. 7

--i-)'ans la derniere déennle de vendémiuire 8c pendant le
teins des vendanges, un Violent omge a (lévasté les emi—
rons de Sens. Ln gréle éloit si grosse, (11:0 pour se garanlir
clc ses ineurtrissures, les vendangenrs ne trouverent l‘as
d’autre nioyen que de se jeter lc visage conlre terre.

-——- Le 17 ventléiniairc, un cliasse-mm‘ée de Bayonne se
rendant 31. liocliel'ort, touciia sur la cote d’Onest (le l‘isle
d‘Oleron 8< fut bientot pleiu d’ean. Les gens do l’éqnipage
sc sauverent tons, hors un mousse, qui se blessa an nio—
inent oii le navire touclia. Plus de douze heurcs api'es , on
entendit ses cris: la mer étoit affreuse; quatre pe‘clieurs se
jetterent dams un canot , 8c furent assez heurenx pour arri-
ver jusqu’au clinsse—nmrée, pour en tirer le mousse 15,1 demi
mort, 8: pour l’aniener ii storre au milieu dos applandisse—
Inens des témoins d’une si belle action. Ce mousse a (lit
depuis , qu’il Iz’avoit jamnis cté aussi rib/Le que clopuis 50m
nan/rage.

———Ln inalle de Rouen 3; Paris fut attaqnée 8: volee par six
hommcs armés, 21 Line lieue We Vernon, le 50 vendéxniaire
dernicr. ll u’y avoit dans la voilure que trois sacs (le gros
sous, don't lcs brigands se sent emparés.

——Le norniné Jean Tardy, de la commune de Saint—
I’Iilaire-laul’alu , condamné ii mort comme inceudinire , mr
le tribunal criininel du departemeut des Deux—Sc-vres, 8c
dont celui do cessation] a confirmé le jugcment , l’a subi £1
Niort le 25 vende’miaircs

—— Le 2.6 du méme mois, it linit heures dn soir, sept 12
huit brigands se présenterent ii In perte du ciloyen Prodon,
recevcur (1e l’enregistrement de Mont—Luger] (l’Allier), &
pour se la faire ouvrirprirent nn nom connu. Trompée par
(:6 nom, une servante ouvrit : on lui présente un pistolct h
In figure, qu’elle écarte vivement avec la main. Elle crie
an secours, 8c les scélémts s’éloignent. ll étoit trop tart].
pour les poursuivre. ‘ . ‘

—— Le préfet de la Gironde a supprirue', par nn arréte',
la partie du convent, dit dcs Orphelz‘nes, qui servoit de
niaison de réclusion. On pent se rappeller que la France
eloit couverte de Bastilles, alors que ncc tous cams on pro-
clamoit, Lous les jours, les Droits de l’llomme 8: 165 privi—
logos de la liberté.

— Une lettre, date’e de la Haye, le 9.7 vendémiaire, 8c
insérée auiourd’liui'dans plusieurs journaux, nous apprend -
la nouvelle extraordinaire, mais peu croyable, do mena-
cantes declarations faites par l’empereur de Rnssie 51 celni
d'Allemagne , si ce dern’ier n3 renongoil pas cutie/“amen! a
555 cues améitieuses. L’inconvenance du style Clans leiluel
on l’ait parler l’un dos deux enipereurs , est' une garantio
que la nouvelle est fuusse. -

—-_- Les leltres dc Stockholm nous apprennent une nou—
velle qui doit paroitre élronge clans nos cliuiats niericlimianx;
c'est que la banque d’etnt de ce pays recoit nne si grands:
quantité d’argent , que l’liétel dc la monuoie ne peut plus
sullire it so falximtion.

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

(‘4)

V A x r 2' 'r x’ s.
~——r'-_v—

On a beanceup Halté dans qunlqucs journaux les’pvofits que retire
X’Angleterre (les (lit/arses brunt hes de commerce qu ellc est pirvenue
is s’dpproprier exclusivcment.pendant Lette guerro, dorlu a pro-
lmrgatiun est avec rumn nttrlbue faux oalvuls ambitieutx .t e ses ”(111-
nistres; Bl quelqucs pnllflllqucs qux crorcnt ensure a la )llSlLSse. u
Vieux adage : Qui est marrre de la mer' , rs! mazlrc (in la firm? aunsr
qua do vet autre adage : mire deux’ puzsxnncss ‘pn guerre |, a wclmre
rule 1}. cell: qui (mm It: dcrmcr ecu ,. txront no (:63, tab cnnx meg:
banlllcii les conséqucnccs les plus bnllaute‘s pour lAngllc'tcerre l
les plus (lél‘avorables our la Ifran‘ce. Aussi lfn‘r I'lxrmt, elu Liszt; 1:1}:
105 jJurnaux les artrc cs relaufs a ”(les negotiation; fan rt; :13 .v . '
(tats, que c'est l’Angleterre qui dmt (hater les con, Ilmns‘ e a pulh ,
que la France dnit s'e trouver trop hcurense dc lobtann.

Le nontraire est plus enact & plus \frai, &'le guuveruemen; an—
glais parolt étrc do cet avrs. [l sulfit, pour son cthamcrc, Its so
rappeller qucls efforts & quels sacrifices :1 flat pour entglzflelll‘r'ra
guerre continentale; avec quel empressement rl consent ‘ so urnc

. - . A
~ ' t s j , ' r _: . 5r
encore (l'etrc (ompns d’ll’]: 18> n gJCIHUOH‘ (l6 PfllK , HUSSI 0t que 35‘

alliés , smut contrzlints de' les entamoré nnfin , avec qlrolls' rosygua—
lion le ministere britanmque 5c soun'nt , avecA les prelunmaues e
Léoben & le lrailé (le Campol- Form” , an rule li'ulnullant (le sle-
mander la paix aux rogues dirsutgurs , (lent les (Hi-(lall'lfi‘ aurora-Int
em rebuter un gouveruement aussl eu'orguullx de ses VlCtOlles new es
& de ses rivhes conquércs. . ,

Aux yeux méme dc ceux qui font consister dsns les rl‘LlleSSVeS per‘u-
mini-es la fort-c d’lxn ,état, l’Angleterx-e ne d‘ort point clre duus un‘e
situation fort brillnntc acct égard‘ Ce pays onnls’ supp-went glue 5 cat
onglouti tout le numémn‘e dc l’Eurupe , est obligu' d euwoyer a ' aha}:-
gér , cbnlre une de ses long formelles, (les’summes cnm mes pourdcqui -
m les subsides de ses nlllés. P‘ersonne' n ignore que le gonrelrneme‘nt
avglais rend sur la continent] a des‘pnx trés—lms’, des olnuilltes prur r-
gieuses Be marchandiies qu’ll moon pnmptant (.‘une pdrhe do 5c; em:
prunts pnblirs, & qu‘il a dans plusneurs uclcasrons [filament Oreo
in vente de ces marclmmlics, en tentant les negocxans ctrangers par la
baisse sur‘cE-ssive (les prix, que c’esl. a1 cela qu’un atlrrbue le grand
x omhre (1e banqueroutes qui ont en Iran A Harnbourg & axlleurs; .

Hé biran , malgré'ces venles l‘oi‘cées, malgre ce monopole qu exerce
11A iglelcrre pour les merchandise-s (les deux Ingles, 11 5: trougolque,
meme 51 present , dans les circumstances les plus ravo‘rables , ls ~a ance
du commerce n’est pas on faveur de l’An Tlelerro; 811a preuwe envest,
1". dans l’imrnense quantité d’importauons qul out an lieu dinner-c—
ment dens l'espac‘e do quatre mois, & quq l’nn a evaluees a .21)” nul~
“rank de francs 5 dun: l’env-oi fait en dermer lien de deux millions do
lines sterling é llambourg, en especes effectives, pour les subsides
de l’Autriclxe. 7°. Tout le monde salt qn’oulre les r8 millrJns ale livres

» sterling que la banque d2 Lonvires a mis dans la Circulation en billets
(le banque ; . . . / \ .1
banques de divers cnmtcs , ll uxrste en Angletterrc plus.d.e £00 rm <
lions dc livres sterling d’autres papigrs de dwarses orzgmes 8L tlfle
valeuys drtl'trentes, qui se négocient Journellement sur' la plan: ;_ LX

ue cette immense quantité de papiers , équivnlente :1 Plus ue mains
%_e la valeur inlrinseque de toutes les propriétés foncxercs, mobi—

liaires 81 81 commerciales de la Granlere-tagne , perd en ce mum-anti
:15 a 30 pour cunt. On sait que la banque dc Londres , dont la solvaba- ,.

iité a été rléumntrée an public par des pieces inécusablcs, est nc'au-

mains en état dc t‘ailiiln ouverte sous 11 protection du gouvernement ,

5.0:! rl‘bircur, & des (leux «:lrambres du parlement. Eutin, on sait que.

l’état, uhligé dc payer ses dépenses en papier, au lien de puméréure ,
Volt , depuis trois ans, la quutité de ses (lépenses s’aporonre dans la
progression 1:: plus efl'rayante; 81 que le peuple anglaxs (lépensc rem:
auntie envir in 60 millions dc livrea sterling , (lont un tiers est em—
ployé en intéréts (le sa dette , 8: lo reste en entretien dc ses arméus,
do 'scs flottes , an subsides , 810. Creira~tvon , d’uprés cola, que l’An-
gletarre rcgorge de numéraire, comma on affects de le publier?
Les Wastes uonquétes des Anglais (12an (les pays luinmins , dans
glen climats on ,ils sont obliges de renouvellur sans Icessev leurs gar-
msnus, sont anzsi onéreuses aux financos rile l’état'qu’é sa popu—
latiom (On n’a qu’u lire la budjet de- l'lnde.) On ne sauroit cal-
mvler, pron: pxé ' ‘
(Mus les cu; laieres continualles de ses estadres, & sur—tout dams
les nombreux transports (le troupes qu'rlle envuievdans toutes les
pin-ties dn globe; inuis é soup sur elle paic‘bien clier la gloire (le
prumencr llérameut, dens toutes les. mcrs, Ses bullantes escadrcs

  

  

 

”LA
(1

De l’lmprimt‘ri: ; MKYHJ

outre une Somme équivalente de billets émis par les .

hiunl les pertes qu’éprouve l'a nation brilanniquu

&' ses troupes de de’bnrquement. La voilz‘r malntenant obligée de ton.
Lloyer un Hombre infini dc mili-e's sur ses rives, lors infzme que
notrc gnuvbrnement ne songe point & ne peut songer Er les me.
tracer] Que sers-ce, lorsqu’aprés avoir conquis la paix corni.
tale , il pourra lransportrr sur nos nines cle l'Océan 15o mille de
nos bran-s guerricrs l Alors l’Angletcrre , menacée (lans ses propres
l'nyers , sent duus (les alarms: cuntinuelles: alors ('rrt amus immeme
de papiers dunt le crédit reprise moius ezrvore sur l’heureux & savent
artrlice qui a su ruler (‘4: conscrw-r taut do richesses natives , qua
sur l’opiuion forcéc querluit cunuevoir tn leur faveur tuut Anglais
dévoué 2‘1 l’lionneur national, par la urginte (le voir crouler les for.
tunes particulieres sous les débris de la fortune publiqlle; cette
massc énorme rle liiens qui n’existent que par l'opiniou , Iera ébranlée
slans'tous ses fondexzicus & s’zrfl'sissera subiteinent sous la poisls d'ex
terreurs générales, alm‘s les (lix milliardi d’assignats angluis épmu-
veront le méme sort que les quaranlewinq millizxrds d’assiguals dn
comitu de salut public. Dienlbt l’état nflhra plus aucun moyen (ll!
soudnyer son arméc nnvale , ses troupes d9 ligne , ses miliccs; &
(lans le boulcversemeut généml file la fortune publiquc & particu-
liore, les Auglais ser-mt trop licureux de prévenir l’iuvasiou dc
leur terriluire par le sacrifice (les richesses cummerciales que nous
gonvernr—ment mettrd en réquisition dans scs ports. ,.

Dcux ans tout an plus rle Llémuustrations hosti'c-s ole la part de 11
France , znncuerent inéi’itablement ce résultat. C'cst alors que l’on
verra quel immense lutcl'valle sépare la- fortune territoriale de la
qure & l3 fortune commercials dc l’Auglcterre : l’une atlaquée
réellencent & é l'impmviste par les forces réunies d’une grando
pnrtie de I’Eurupe . aura repou:sé ses cnnemis & reculé ses frontiercs:
l’autre succcombera'sous ses préparatifs dc'défense a la vue seulc
des préparulii's menz‘gam de la France. ‘

Un état si voisin d'une situation nussi désastreuse, est—i1 clans le ca:
de prendre aver. nous le ton impérieux qu’on. lui prétc (lans les
gazettes? El 3| qua] H-l-ll term quc lo désaslre de l'Anglen-rre se soit
déjé réalisé par l’invasiun (is ses nossesutms Klaus l'lnde ? Persunno
ne doute aujunrd’liui que si la ilectoire avoit en la precaution de
faire arriver une escadrc frail Ellie an tlétroit (1e Babelmaudel, en
méme tcms qua l’armée d’Orient déb'irqua en Egypte, Bunapurtv
n'efit pu tenter avsc succés la conqnéte (les Iudes orientalcs , avant
la chute de Tipou—. .‘ib; 81 l’ou sail quelle ten-cur a pruduit en
Anglelerre la seulc vériu’: présumée dc cet événement. ' '

On ne suuruit nivr que la Grandc—Bretagne ne suit qn ce moment
dam un état rle ChtlLCS tellementforné , tellernpnt disproportio‘nné
awe sea muyens , qn'il l'ui seroit impossible dc s’y main‘tenir plus
de troisou quatre ans, sans épmnver quelquc' terrible catastrophe;
& la Pall continenttzlc abrégera cc terme de moitié.

 

 

Bourse du 4 brumaim.

Rents provisoire , 23 fr. 20 c. —Tiérs consul. , 56 fr. 5:) c.
—-Bons§, x 13269 c. —- Boris d’arrérage , 87 fr. 25 c. -— Boris
pour l’an 8 , 92 fr. 25 cent. ’—-Syndicat, 00 fr. oo ceul..—-
Coupures, 80 fr. 00 cent. ' '

Mm

Nella, on la Carin/hir'nne, par madame 5. Mr L.; 5 vol. Prix,
5 Ir. A Paris , rliez l'autenr , rue (lu ’I‘hréfitre-Franqais, n". 6.‘
Ce mm 11 a de l'intérét; le principal caractere est traoé avoc II—

lent. les événemens n’y sont pas entassés avec profusion; mais lls

soutiennent awe art la ruriosiné jusqu’au dénonement. Cet ouvrage
est le coup d’essni d’nne étraugere ;' on s’en appercevra‘a quelqueo

Anégligences dc style , qu’une plus grande habitudc d'écrire lui fen

aisémunt corriger.

Voyage en Suisse e! an Italic, fait avec l’armée dc réserve, par
V‘ D. M. , auteur de l’A/zg'lazs Cosmopolilc. A Paris , chcz Motl-
tardier, quai des Augustins.

On rocnnnoit dam cet ouvrage l’auteur dcs nombreuses allusiom
qu’on trouve Clans Z’Angluis Cosmopolile, é: en parliculicr de la

Dissertation sur les c/zeminées gui/umunt. '

Discours sur cette question : « Quels sent lss moyens vle préveuir
les délits dans la société»? par la citoyen Mei-met, professeur do
belles - lettres a} l'écolc centrale ale l’Ain. A Paris, ch35 Charla!
l’uugens, quai Voltaire, u". re.

 

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T. me Be; Mgineaug, n°. 425.

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