xt7p8c9r5d46 https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7p8c9r5d46/data/mets.xml  France  1793-03-31 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 31 March 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 31 March 1793 1793 1793-03-31 2023 true xt7p8c9r5d46 section xt7p8c9r5d46 re

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écouvrirez J ce que vous apprendre'l, ,

 
 

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faite3~le moi {avoir , ie le publie fur lheure.

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NOUVELLES iTRANGfiREs.

Dc Perermnurg, [c 4 mars. Le bruir que l’on
a semé en France du pro-.lmin depart du baron
de Srael pour Paris , a vivemenr deplu 311:1 courde
Suede. Elle vient d’ordouncrfiM. le baron de
Srccding , sou ambassadeur 51 Srockolm , de le

- desavouer.

L’nnimosité de l’impérarrice contre les Fran—
gais, lepuis ll morr de Louis XVI, est porree :1 un
exces qu’il esr dilfi-ile :l’exPrimer. Je vous ai déja
parle d’un Ulirlse que le 19 du mois clernier, elle
a publie contre les Frangais qui resident ici', mais,
pour connoirre route la haine que 121 com porre nu
noiu llranguis , il fluirlire cerre piece enriere. La
vorcr :

cs Les désordres qui out eu lieu en France depuis
1789 , doivenr cerrniuemmr attlfCL' l’arrenrien de
tour éiar bieu ordonne. Tan: qu’il y a eu quelque
espemnce , que le rems et les circonsrances
pourroienr contribucr d mmener les esprirs ega-
rés,‘ ct que le bon oi‘dre er uu gouvernemenr
légirlme pourroicnr Erre rémblis , nous avons
roléré 1e séjour des Frangais clans nos etats , e:
avons perinis :1 nos ‘sujers de communique): avec
eux inais aymt observé que la révolre et la
desobeissance contre leur sozn'erain, fair de plus

en plus des progrés dams C» Pays ’ et que l’Obscina-

.l‘

o .

 

 

 

 

 

rion aveclaquelle les révolrés s’effor’cent de répzm-a
dre les principes de l'impiété , de lanarchie er de
l’iiuinomliré, non—seulemenr clans leurs propres
provinces , mais encore 5. les propager sur route 19.
terre , gagne de plus enplus ', nous avons rompu
routecorrespondaneepolxtxque avec la France, en
[appellant norre iniuisrre nvec routes; Silllf, eren
élmgnanr de norre cour 1e charge (1 affaires ee cerre
puissance. Nous lumes surf‘roureiwgages a prenme
cerre mesure , par In consideration_, 1L1? , comma
l’envoi des mmisrres respecrzls 1:01: ere conven‘u
curre le {cu roi e: nous , ll eur ere peu conuenaoo
é notrc digniré , aprés avoir vu ce prince depouzlle
de son auroriré , renu indignenzcut clans une
commune perpéruelle, 0C1 i1 avoit sans cesse tour
:31 szllllclfe , d’avoir de quelque mamere que ce
fur l’apparence d’enuetenirdes liaifoiis avec ccux
qui avoicnt fair des emreprises 51 Violentes sur scs
droirs , e: s’éroienc emparés de son gouvernemcrzr.
hlnis anjourcl’hui que la mesure des plus moms
forEuts eStcombiée', que certe unfilleui'eusc llfl‘tlpll
vicnr de se deslionorcr sque l’iurligiimlon puma-
qiic s’esr elevee conrr’clle; qu’ll s’y‘ rrou‘ve film
de sept cents monsrres , par/anus a la rcze u .1:]
gouwmemenr usurpé par l'cntassement de tous lcs
crimes , er don: ils on: faitl’usagc le plus cirianr ,
en porrcmr leurs 111_ains.meurrricres sur l’omr (‘le
seigueur , lcur legume souveram , C1L11 es: tonne

        
    
  
  
  
   
   
   
    
  
    
    
   
   
  
  
   
  
    
 
  

 viccime de leur cruauté et de leur humanité , le
zt janvier derniet ', nous croyons devnnt Dion,
et dans notre conscience , etre obliges , jiiSqLi’zl
Ce que lajusrice du trés-haut ait ecrasé tous les au-
teurs de ces epouvantables fot'fairs , et jusqu’d ce

que par 5:: sainte volonté, ilait tram/ed propos de -

mettre un terme aux désastres qui affiigent la
France; de no point permettre qniil y ait entre
notre empire et ce malheureux romume a Mame
des liaisons qui subsiscent entte des états legitimes
et bien ordonnés.

Ici la despote du Nord suspend tous les efl‘ets
dn traité de commerce conclu entre la France ct
la‘Russie le 30 décembre 3786 , jusqu’au reta-
blissement d’une uatoritélégitime dans ceroyaume,
defend l'enttée des navites fruneais dans les ports
de la Russie 3 enjoin: aux Ci-devant consuls tram-
gais , vice—consuls , agéns , er leur suite , d’etre
hors des frontieres de la Russie dans un [ems li-
mité. Il ess cle meme ordonné aux consuls , vice—
consuls , et en general 5 tous les Russes des deux
sexes de sortir du royaume de France, dés qu’ils
cn auront teen l’ord-re. Tous les Ptancais érablis

€11 Russie , sans distincrion d'état et de sexe , se—‘

ton: égalemenr forces de l’évacuer , avec defense
(l’y tentrer , fous les peines les plus séveres. Son:
néanmoins exceptés de cet ostracisme les Ftangais
de l’un et de l’autre sexe qui témoigneront un elelir

sincere d’abjurcr les principes impies et séditieux'

qui son: en vogue clans lent pays; et ceux-lé. se~
ront terms 5 faite 1e serment suivnnt :

F ormulc du sermczzt.

ft Je , soussigné , jute , pat Ie Dieu tout-
pnisant et pat! SOll'SQJXIt évanple ,. que , .cornme
'f: n m jamms oonne mon approbation , ni scxem—
ment ni de fair , aux principes impies et SéLlltlELlX
qii ont été introduits en France , et que je re-
cannois le gouvernement qui vient (1’)! Que établi,
comme illegitime et usurpé en violation de toutes
les loix, ainsi que Ie meuttre du roi ttés-chtétien
Louis XVI, comme le plus abominable de tous
les attentats , et la plus detestable trahison envci's
un fiavemirz le’gitime; que j’en mauclis avec exé-
crarion les autenrs, ainsi que rout lionime qui
pense bien doit le faire; que je suis bien con-
vaincu dans ma conscience cle l’cxcellence cle la
religion. . . . , telle que mes ancétres me l’ont
: ansmise, et cle l’obligation on je suis de de—

ineurer fidele et obéissant an 101 , 21 gm, sui-

 

 

 

vant l’ordte de la succession , échoit la couronne
de France; je promets et ni’engage en consé-
quence , rant que je jouimi de la pmtecnon as-
suree que 5. M. l’impétnttice de toutes les Russia;
a gracieusement daigné m’accorder, d'y vivre dans
l’obsetvation des preceptes de lo. religion. . . . ,
clans laquelle je suis né; d’etre toumis aux loix
et au gouverneniont de 5. M. 1.3 de rompre toute
cotrespondance dans ma patrie , avec les Frangais
qui recommissent la forme monsrrueuse du gou-

‘ vernement qui exisce aujourd’hui en France , 6:

Clone la reprendre qu'apres que l’ordre et la tran<
quillité d’un gouvernement légitime dans cc
to} amine, érant rémblis , j’en aurai regu la per—
mission de 8. M. l’impémttice. Et dans le cas
on je viendrois :l me rendte coupable d'avoit violé
€8_seri.nent , je me soumets z‘i toute la sévétité des
lonx dans cette vie, et pour celle qui eSt 2‘1 venit,
all l’épouventable jugement deEDieu. Et pout sce—
let ce serment, je baise le saint évangile et la
croix de mon sauvenr. Amen.

De Iiége, [s 12. mars. Les Autrichiens vain-
queurs occupent aussi notte ville; lils y on:
ttou‘vé un riche magasin. Tout l'évéché est ac—
guellement évacué par les Frangais; la ville de
Liege elle—naéme commence :‘1 étte plus tran—
quille; l’ancienne régence a été rétablie, .et
toutes les innovations, opérées par les Francois,
déclarées nulles et sans effer, an nom du prince~
évéque. Les grands et petits baillis, les magis—
trats, officiets,.etc. out tons repris leuts pla-
ces: quelques personnes, notoirement connues
pour professer clespprincipes contraites au gow-
vernement, ont été bannies. Les Frangais ont
:iussi abandcnné Tirlemont, et se sont retirés
tin—deli de Louvain; mais avant de partit, ils
ont mis le fen an magasin.

La gazette de notre ville paroit avec son titre
ancien et les atmées clu prince-évéque, et coma
mence sa date par le numéto premier de la.
nouvelle pétiode de notre régeiice.

Avant le depart (les Ftangais, quelques bri-
gands massacrerent, sans qu’on pfit les empéc
Chet, (les (Stages et auttes petsonnes sans dé-
fense, porterent leurs tétes sur des piques, in-
s’ultetent :i la religion, profanetcnt les églises, et
enlevetent les ornemens et les vases sacrés.

Le 9 de cemois, notre prince-évéque a fait
tout rétablir sur l’ancren pied, fourmssant du ma;

 

     
 
 
 
  
 
 
 
  
  
 
 
 
  
 
 
  
  
 
  
  
  
  
   
 
  
 
   
   
 
    
  
 
  
  
  
   
 
 
 
 
  
  
  
  
  
   
 
 
 
 
  
  
  
   
  
 
  
  
  
   

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gasin public de- la constitution rmpenale _tour ce
qui étoit nécessaire.

.Muyence, {a a: mars. Enfin let/(nu des pa~
triotes mayengois est exa'icé. Depuis 1e 17 cle ce
mois la convention nationale Rliténo—getmaniqu:
s’est constituée; elle esr'composee des cléputés
d’environ cent communes du pays, 51ml: enrre
Landau er Bingen , sur la rive clu Rhin , et bien-
tot elle sera plus nombreusc; car il nous arrive
encore des depures ale tous (Ores, qui adherent
aux décrets aiirerieiirs (l6 notre assemblee,et
qui nous porrent la reunion cle leurs communes 51
la nouvelle republique clue nous venous dc fot~
met. Le 8 nsz , nous avons prononte la mort
de tous nos tyrans, er hi:r, le 21 , nous avons
émis, a; l'unanimfre 6t pat acclanration , lc vcru
de la reunion avec la republique ltangaise. Nous
enverrons incessament des depuDéS a Paris pour
porter ce vocu , avec une adtcsse :1 la convention
mtionale. Je suis contentgje n’ai desire que de
voir ce moment; c’est 1e gage (lu bonheur des
bons habitans de ces conttees , et de l’affernzis—
sement de la république frangaise conrre toutes
les tentatives de Ses ennemis cl’outte-erin.Avec
ce Heuve pour batriere, et en possession de la
place de Mayence , elle esr inabordable a l’avenir.
Les rois de France et leurs minisrres out blen
senti ce vaste avantage 5 mais il falloir la force
irresistible d’uue tépublique pout l’acquérir et 16
conservet.

De’cret de [.1 convention R/zcfio-germanique , a5-
seméle'e ti [Hays/Ice, du 11 mum 1695.

La convention nationale Rliéno-germanique ,
considétant que ce n’esr qu’r‘t la république fran-
caise eta ses armes victoricuses que l’erat nais-
sanr du pays, sirue’ sur la rive gauche du lein,
entre Landau et Bingen, doit son indépendnnce
décrétée le 18 mars 1795; que les liens de
l’amirié , de la reconnoissance et des avantages
reciproques invitcnt les dour-L nations :‘1 une réu—
nion fraternelle et indissoluble , rlécrete a l’una—
nimlte:

‘ Que le peuple Rhe’no-germaniqne libre veut
l’lncorporation 2‘1 la répnblique frangaise, et la
lui demande; qu’il sera nomine une deputation,
prise clans le sein cle 1.1 convention Rhéno—gcr—

manique, :l l’effet cle Tuniil‘csmr ce vusu :‘1 la ‘

convention narionale de France.

, r
Au nom clu peupic souvc-tain, ordonnons aux

 

D...

2115 leuts regisupa le

 

municipalités {l‘nz r3" .. ‘
present décht‘, de le mite publier , {:th'lltL'; etc.
A May‘s—nee , 1e 1 mars 1793.
I‘L—J. Heliumn 3 president.
Fran; , Sclen‘tnier, secretaries,
1‘— IL A N c z,

Parix. Le clécret qui ordonue cl’inscrire en
gros caracceres a totli;;’- lts porres lts curs de
ceux qui habitenr la maison, pcurtoit bicn (:tre
l’occasion de beaucoup Lle descrdres 5 donncr
lieu aux brigands de se répanclrc clans ltS mai—
sons, etsetvir de liste de prescription. En al—
lant recueillir tous ccs ncms, s’il pla'it ii crux
qui agitent toutdans ce moment, de se detaite
tie ceux qui leut deplaisent, ils conroi‘tront sut
1e champ la maison , l’etagc, le nombre cles per-
sonnes qni pcuvant allcr au secouts; ils Pfen-
dront leurs mcsures, ils s’assureront cle letirs
succes. Que (le maisons occupécs pat cles Viill-
lards isole’s, des femmes seules, des clmmbrcs
par des jeum-sses sans force. Mectcz 31 la forte
leurs noms, leuts ages, et bientot ils seront
insultés, pillés ou tués. Gorsas dit: ces tableaux
isout de veritables enseignes de prescriptions;
elles évitetont cles recherches aux Sevtles. Les
assassins u’auront besoin que cle savoitilire.

§. Les belges qui avoien: voré leur reunion
pour la France , our fair cles téjouissances quand
ils. our vu nos troupes patties. 115 out remis 12
millions de florins Cl Une maisou cle banqne
dAnglettrre, pour les flute passer comme un
don volontaire :1 l’empcreur; ils en prometrent
irritant des que l’empereur seramaitte de Bruxelles.
I tors mille bclges se rout enroles dans les trou—
pes autrichiennes pout combutrre les francais
Les 12 mille llorins sont acquis :‘i l’emprrcizr .

\

ses troupes sont entrees a Bruxelles la nu};
du 25 an 24
r .. (s - ‘

§. l\os antic-cs our dfr leurs succés nu servrce
d». l3fl1l.el1L, DLPUIS que lcs emigres sont lll~
Cprpores (inns les troupes autriclnennes , lcur ar~
ullcrre est beniicoup mieux scrvie , er nous ne
, , ’ _ -
lavons que trop eprouve.

1 '4 '\ '

§ 1,"! SOCILCL. de Iaon Vient d’envover une
ndresse r1 la convention nationale , pour lui de~
mantlet une £01 qui autotise les municipaliiésft
ouvrir et ‘ l“) bl-

_ a no pu iquemen: toutes les lettres
1.. A * ' '
aurcssccs .1 des valets , parcus et arms dcs emi-

 —_.~...d__,--<-

       
    

Nap.

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H—Q—v—c b-p

-nn A

h.

“oa A—L-‘hgh—‘h—IAIAA

gtés , afin de découvtir la trame des differentes
conspirations qui s’ourdissent contre la tépubltque.
§ Le conseil general a defendu de metrre en
vents er d'exposet publiquement toutes les es—
tampes pottant les attriburs de la toy’auté et de
la féodalité, er notamment celles qui represen-
tent Louis Caper avec ses enfans , er au has 16
testament duclit Louis Cap-2t.

§ Le paqucbor de Calais, pour l’Angleterte,
ne passe plus ', ‘on a donné otdte cle rompte roure
communication avec cette Punsance.

LOTERIE DE FRANCE.

Numéros {ortis le 50 mars 1793,
6. 4o. 4. 42. 49.
Payemen; d5 [’Hétel—da—ville.
Lettrc H. I.

Six derniers mois 1792..
C ONVENTION NATIONALE.

I’réliclence du citoyen Jean de Bry.

Sa'iznce du samedi 50 mars. ,

Un decrer excepte du béne’fice de l’abolition
de la contrainte pat corps , pour dettes civilts ,
tons ceux qui auront en lo maniement des de—
niers de la. republique. _

Le general Labourdonnaye écrir de Rennesl
dn :3 , que Berruyer es: parvenuwzl suspendre
les progres des révolrés, et qn’il a pris des
pOStes avantageux a Redon. ‘

Les commissaites de la convention envoyés
dans la hante Loire annoncent qu’anx environs
de S. Julien, a cleux lieues de la ville tlu'l’uy,
il y a eu une insurteCtion de deux mille honi-
mes au moins. Ils ont incendié 1e village de
5. Fons. Grirnpés sur la montagne, ils ont (lé
fie nos bataillons qui les ont mis en finite. Quante
principaux chefs de tévoltés ont été vus en-
suite; un cinquieme, ci—devant noble, ne s’csr
sauve’ qn'en se jettant par la fenérte.

Les administrateuts du départemenr de la Gi~
.rondc demandent une somme de clenx millions
:l titre d’avance pour lcs subsistances. l‘v’lalgre
quelques oppositions, la sommc cst accorciee.

l4)

 

 

 

 

 

 

 

Camus fair re'ndre lei déc-ret suivanr aux ac- '

clamatlons de l’assemblée, malgré les OPPOS‘."
tions de Marat. '

Art. I. La convention nationale mande :lla.
barre le géne’ral Dumoutier.

II. Le minisu‘e de la guerre Partira a l’instant

our l’armée clu Nord, 5. l’efi‘ec d’en connoitrc
l’étar, et d’en rendre comPte 31 la convention
nationals.

III. Quarte commissaires, pris dans le sein
de la convention , se rendtonta l’instantdans l’ar-
mée , avec pouvoir de faire atréter tons géné~
taux , officiers on fonctionnaires publics qu’ils
cronont suspecrs , et de les traduite :i la barre.

1V. Les connnissaites qui sonr acruellemenr au-
ptés (le l’atmée de la Belgique se rendtont pour
lui donner cle vive voix les tenseignemens qu’ils
on: acquis sur l’étar des frontieres.

Le ministre des aflaires é'trangetes aura le
porte—feuille du ministre de la guerre Pendant
son absence. Les quatre commissaires sont Camus,
Bancal , Lamarque a, Quinette. Ou y adjoin:
Carnot l’ainé.

On dénonce Sales pour avoit écrit une lertre
confidentielle a un de 5:5 amis. En épanchant son
ame , ll parloit sur un complor. On de’ctéte qu’a-
vant de statue: SLLE cette lettre , l’original en seta
represente.

Un commissaire arrive du dépattement du
Rhin , rend compte de la. situation de l’armée
de Cusrmes : 53 position esr inattaquable , 165
places qui l’environnent er le soutiennenr son!
bien fortifiées , l’armée est bicn vétue , bien dis-
ciplinée , elle ne manque de rien , er Custines ,
son chef, est animé du zele le plus pur.

Ce tableau a bien contrasré avec la concluite des
géne’taux de la Belgique. Danton a promis que
domain il donneroit le tableau (lCS moyens qui
nous l’ont fair perdre.

On annonce que les Mayengois onr émis leur
van: pout leur reunion a la tépublique fran-
caisc. Des deputes de cette ville son: introduits.

Diverses lettres annoncent que par-tout les
rebellcs son: barrus, emprisonnés, exécurés.

On (ouster, .‘1 Paris au bureau (le la Vederte , boulevard de la porre Saint—Martin , 5, celle Saint—Deng N° ,
Le Elm" del abormement all 'thi‘ 27 l.vr:s pour i’aime’e, i; liv. pain- fix mois, 7 liv. IO Ibls oour trois mois Oil
nut s abonner pot-i; deux mm: en envoyant un aiiignar de cent l'ols. ' '

   
 

 
  
     
    
    
 
  
 
 
  
  
 
  
  
 
  
   
 
  
   
  
  
  
  
    
       
    
    
   

 

 

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