xt7v154drv4p https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7v154drv4p/data/mets.xml  France  1793-09-11 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 11 September 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 11 September 1793 1793 1793-09-11 2023 true xt7v154drv4p section xt7v154drv4p  

FRAN: AIS, 5e grands évenemem {e prepare-m; )8 mi; e2: Vaduz:
que W vois, rout ce one i’enrends , fur le champ J

LléCO“.V'Ilf€7. , ce que vous apprendrez , rites—la moi {avoir , je

55cm dczzxiénze ([6 [a

Du Nlcrcmdi II Septe‘nore

* ”nu/71114215

I

toui ce
we won: en initruis ; ce que vous
16 public fur l'heure.

’i/

FI'a/zgazsc.

Kg]. 7

I — 7
I/971

W

NoUerLEs érnANcERES.

D: (Tr'c'mtlzzc, [a 3 noun—Hie: vets les 8
licurcs du sou, son: passes sous nos nmrs plu-
SIEUL‘S vultures soggneusement escoraées , on
’ ‘1 Q5 , illfl \I 2-- 1w: ~ r, -
EtOantvcmomu e,l ar.., one-guerrouxctleuis
secruzaires arrerés [1 Gravedona. On les conduit
an chateau dc Mauroue.

Des bards du Danube, [e 2.6 aofir. —— C’esr
avec la rage an ccmir, e: la larme aux yeux,
que je Vuus écris pour vous {aire par: de la ma—
niCre barbare avcc laquelle nos trop mallieureux
concimyens, fairs prisonniers de guerre 1i Condé,
son: [mites par les féroces Autricliiens. 113 out
passé hier pres d’ici. 011 he peur rendre l’état
clans lequel ils sont : exténués de faim, de fa-
tigues , l’air de spectre; , la plnpar: sans chemise-s,
sans bus, sans souliers. Quelques 11119 611 avoient
un qu‘ils changeoient de temps en temps
d’un pied :l l’autre. S’ils tombent dc lassirude,
on les reléve :1 grands coups de baton, en les
appellant vezfixc/zze faule Hunde(maudits chic/25
de paresssux) si par foiblesse ils trainenr leurs
pieds , on lcur dit e11 165 ibatonnant :z'lzr vz‘r—
fluc/zzc [fonigsmordch 11/1 will each [e/zrcn die
Fri‘rs fly/285812 J imd/ceinen Stfaula maclzen .' (mau—
dm ragmdcs , on you: apprcndra ‘2 (ever [es pica’s

 

 

 

at cl n5 pain: flzire a'c pox/$526M.) Non , les sau—
vages antropophages sonr moins crucls : ils tnenr,
mangenr leurs prisonniers; c'est biemé: lair,
ils ue les conclamnenr pas '31 une mom; lente par
tons les dégrés de la misére. Le passage dc ce;
infortunés est marque sur la route par les morrs
clonr elle es: semée. Plusieurs son: morrs dans
nos environs. Plus des trois quarts on: dejzl péri
au plus 121 cenrieme parcie arrivera sur les fron-
tiéres de la Turquie, lieu principal de leur
destination

Les malades som entassés comme des veaux sur
des chariots. Personne ne s’cn inquiéte, per-
sonne n’a l’humaniié de leur donner une goute
d’eau. Lorsqu’on remarque que l’un es: morr,
0n jette durement le moumnt de cété, et on
le laisse reromber plus durement encore 51 12.
place du cadavre qu’on a retire cle (lessons lui.
Tous les habimns de ccs envxrons de plus de
12. lieues cl la ronde ont été pour jouir du trisre
spectacle de leur misere . er aucun de ces cu—
riieilx n’a eu assez d’nme, assez ll’liumanité pour
la soulager; er, soir fierté répub‘zicaine, soit

‘connoissance de la dureté du catur des Alle—

mands, aucune de ces infortunécs victimes de

‘13 plus raflinée , de la plus exécrable cruautég
nia'tendu la main pour demandgr. Men disegg

 

 Eoir est de ne pas pouvoit leur faire aumnt da
ien que je le voudrois.

\

J’ai mis a contribution toutes les personnes
bien pensantes que je connois ici; j’ai amassé
quelqu; atgent que je leur ai envoyé. 11 me
{Si/:he de ne pouvoir vous conter un trait de
bienfaisance d’un homi‘ne qui est lui meme
clans le malheur; mais il seroit perdu si on
l’apprenoit, parce qu’il a refuse de contibuer
a l'aumfine qu’on a donné 2i l’empeteut- Je
vous prie d’inséret dnns vos fenilles ce que je
viens de vous dire de la situarion malheureuse
de nos chers concitoyens; cela. pourra setvir
d’exemple aux autres. ]e 165 exliorte zl s’ense—
velit plutot sons les mines des places qu’ils
de’fendent, que de se tendte 2‘1 ces butbares.
Ils n’en pe’ritoient pas moins, er plus doulou-
reusement.

Au moment on je vous écris, je vois passer
sous mes fenétrcs une troupe. (le Pandoutes
d’environ 400 hommes pour les rives du Rhin.
C’esc probablement pour remplacer une partie
de ceux qui ont ttouvé la mort dans les gorges
des Vosges.

Ils y our fair quelques prisonniers, tué e:
blessé environ une vingtaine d’hommes, ils om
trouvé le tambont de la garde nationale qui
battoit la générale , ils l’ont haché en morceaux,
ils avoient avec eux deux chariots pout amencr
les cfl‘ers qir’ils ont pillés; ils out également
pillé Opach village, :1 une demie lieue de Slerck,
la garnison de Sierck, qui n’étoit composée
'q'le cl’environ zo'o liommes, :1 fair une résis-
tancc Vigouteuse. Nous avons appris cette nou—
velle vets les sept lieutes du matin. J’ai ll. l’ins—
tant averti mon butaillon de se tenit prét fi
marclier au premier signal; et ai fair écrire a‘.
Tllionville; pour obtenit la permission de faire
une invasion clu cote de Remic/z) persuade que
'la de’marche faite par les ennemis , n’etoit qu’une
husse nrtaque, alin cle pouvoit librement fiiite
condutte lcurs éqnipngc—s d Luxunbourg'> c’esc
pontquoi ils avoient reuni tous leurs cantonne-
mens sur la rive drolte de la Mosclle. La-gar—
nison de Thionville est venue nu secours de Celle
(le Sierrk, cle maniére que l’ennemi n’ya pas
fait un long séjout. Nos troupes sont restées
clans les environs, probablement-pour les atta—
qutt. J’attends avec Plaisir 'ce moment pour me

 

 

 

 

”amilx‘a‘ A .. . V

 

 

mettre 5 la téte de mon baraillon. 1e vousfc;
i'ai part de la ténssite.

De Porenzmi, [c 27 Aor‘u. —- Voilz‘l done
Cher ami, le moment que je t’avois pteditJ
arrivé; voili notre dépattement cn Combustion.
C’est une suite du Flan general de ttaliison. 11
falloit laisset dans norre voisinage cles ptétres
qui précliassentla centre—revolution, et il falloit
ttouver uu azile pour les contre—revolutionnaires3
[out a réussi au—déld des~ criminelles espétances
(les ennemis de la pattie. Les émigt‘és cles bail-
linges sont rentrés en armies; d’aCCOrd avec les
Contre-tévolutiommires do l’intérieur ils soule—
vent ies villages, et sans un prompt secours
vous verrez ici se renouveller les liorreurs de
la Vendée. Si j’en ai le moment , je t’ecrirai tous

'les details l’ordinaire proc‘nain, et suis i la

hate etc. etc.
F a A N c a.

De Ribsauvil/e’, du Hunt-[312221. —— Un juif de
cette ville, qui étoit dans le cas de mnrcher ,
convint pour le prix de 200 1*. avec un invalide
clu meme lieu pout Llu'il marclifit .51 52. place.
L’a‘tgent fut deposé 51 la IllL'llllClPfllllé,ijllsq-lllrl
ce que le remplagaut ait été agree. L’lni'alie’e
se présenta' 5. Colmar , devant le commissmre
clu département. Celui—ci reconnut aisément la
superclierie, il'fit matcher le juif, ordonna que
100 fi fussent remises £1 l’invalide, e: 100 'fi
clistrlbuées aux pauvres.

De Mzicon, ce 2. Scptrmh‘c. —— Lyon ell;
vivement canonné & bombaro'é tou'es les nuits:
on compte déjfi pres (le 12.00 maisons incen-
die'es, et Clans pcu , si tien ne nous manque,
cette Ville rebelle aura totalement subi la peine
de sa scélérntesse. Quelques égo'isres pourront
pleurer la pette des ricliesses qu’elle renfennmt,
mais la veangeance nationale sem satisfaite',
ct c’est ‘ce (jui’iil faut.

ll se fair uneguerre de posresJ meurtriete,
Qt. n’abontit fi aucun résultat: il 11’)! a que la

)2
"J
I

ceviré qui puisse opérer un succES

1

Il s’eSt Exit une canonnade pendant deux
jours , ensuitte elle s’est ralentie, pendant ce
tems—li , lcs Lyonnais éteignent le fen de leur
maisons. On éxagete beaucoup le n: mbre des
érlilices brfilés; il y en a eu tout an plus sob
xante, selon lemppott d’une Personne sortie

 

 de Lyon: encore parmi ces maisons , compre-
t—on l’hopiml oft son: les sans-culottes.

D’A’ngcrrJ cc 4 Jypzcmlrc.—Lcs t‘cpréscnmns
(lLl people, comtnissaires (le la convcntion mv
tiotmlc , pour couduit‘e l‘armée vcnnnr (16 Ma—
yence contre lcs tcbellcs cle la Vcndée, ct
établit‘ Lin tribunal i la suite de cccte at'naée;

Héqvtierent tous les corps aclminisrrazifs ct
juclictaires, comités cle salut publicJ Ct tonslcs
bons citoyens, do t'eclierclier er tlénoncer tous
les tmi'tres qui ont dopné volontaitcment Scc‘outs
et assisrance aux brigztnds, qni lcnr ont livrés
leut‘s rtt'mcs, afiets militaires, on qui on: in—
cliqué lent citoyens posscsacurs d’atmes, CI: 165
depots dcsclits cfi'ets milimitcs.

Les rctn‘eacntztns rentlcnt lcsclits adminis-~
trateurs , lLIfO’L‘S, accusatcnrs pnblics er atitrcs
officicrs proposes :1 la sfn‘eté générale, respon-
sables de la négligcncc qn’ils apportcroient dnns
les recherche de cus unifies; orlonnent que
la ptésente requisition sera imprimée, enra—
gisttee, lue , alficlrée er norifiee :‘t routes lts
pezfsonnes clmrge’es de son cxécnrion , i in div
lzgctice clti procut‘cur—génét‘al syndic du déPar-r
rement cle Maine at Loire.

Paris. —— On continued exécuter le clécret
contre les gens suspecrs. Plnsieurs citoyens ont
été at‘t‘etés. Quelqnes commissaires (le la settion
cles nmis do la patrie , ayant fair difficulte de
contribuer d l’exe’cnrion de cetrc mesure gene-
mle, ont été en VL‘I‘IU dbrdres snpérients, con-
signés dnns lc lien cies seames do la section.

S5 Le goneral Brunet , I\'i;clionir, oflicicr mt —
nic‘ipal, Benjamin Pitt ct EllSEIbLEll Pitt sont
entres pt‘isonnic—rs {1 l’Abbaye. De Crosne l’an—
cien lieutenant do police a été were, son beau—-
pets la lVlic‘nodiéte es: venu Pour lc reclamer ,
il a éré ltti-métne nrt‘été.

§ Hier er avant-liier on a transféré les prison-
nicrs dc la Force :1 Bicétre. On parle cle (lis-
poscr cctte clerniere maison pour y détenir les
personnes snspectcs.

§ Robespierte a (lénoncé :‘i la clerniere Seance
des JaCUblllS, {elletmnnm il lUl attribue la l=.n—
tetir du siege cle Lyon. Il pence qtie sorts tin
pateil Cikf les opérations les plus pmriotiques
ne peuvent obtenir aucnn succés. On t‘epand qne
Kelletmann a été obligé dc divisor son atmée
pour aller au devant des Piétnontais qtti en:

‘I.’
l
l

 

 

 

trent on granden grand nombte sur le [Cffit
[one (13 la republiqtte.

§ Gensonnet , Pétion, Brissot, Vexgninud,‘
sont trm‘nits clans lcs prisons de la conciergeric.
Le tr:bnnel revolutionnaire s’occuppc aujourd’liui
de l’affiiire de Brissor.

§ Prnclliomme a. écrit i la société (lee jacobins
pour sc plaino‘re cle ce qti’il a été calomnié , ct
pour pronvcr son répnblicanisme, il a ‘envoyé
son notn'cl onvrnge : re’meil (165 crimes ([65 em-
;urmrr. La societc .1 Eli: répondre nu republi-
cain qu’il manqnoic un ouvrzgezl sa'collccrion
des crimes, or qn’on le prioit de flire on do
fairc faire lc recueil des crimes des jourtmlisres
et écrivains pnye’s par les cmpereurs pour trou-
‘bler les républiques.

§ Les citoyens de la plains des sablons qni
no son: sépares de Paris (1116 par un mur de
4. pieds cl'épaisseur , attendu one leur bou—‘
langcr a cesss' son commerce , sont venns prie:
la commune tie icnr pctmctzro d’emportcr du
pain; on les renvoie an miniStte dc l’intérieut :
qnoiqn’on nit nasaz Facilemcnt du pain , cepen—
dgnt les defenses exisrent toujouts ti la. barriéte
d'sn lnisscr passer.

§ 11y a Lin pattioze 51 Paris qni éléve 565
enrhns clans ccs ptincipes: lorsqu'un de ses enn
fans fair nnc fante‘ il lui Fair mettre tin cordon
blen, on two coutonne Sclon l3 .gravité do so
figure. On pourroit employer ces sortcs de pu-
nitions dans les ecoles publiqucs. Elles inspi~
rcroicnt l.’hotrcur pour toutes ccs marques
honrettscs.

CONVENTION NATIONALE
[ftfltfon & {a Sen/Ice d’/zier.

Danton qni la veille avoit ‘déClflfé par écri:
qn’il no VOL1l0lt pas faire partie cln comité. dc
salnt paiblic pour ne pas clonner prise a‘ le ca-
lomnier , reiterc sa declaration er exr'rime le sc—r-
ment qtt’il {nit de ti’etre d’ancttn comite. On
acccprc 59. :lémission.

On cloctl-te qne l’on ne pourm ad’mettre clans
l’ntmée revolutionnaire dc Pm, qtie dc ci—
toycns (lepxis _5 jnsqn’i 40 ans. Tomes lts
compngnics do; cat‘onict‘s dc ParisJ seront :‘1 l9.
solcie de la répnblique; il y aura ti la téte (l'e
l’arméc révolutionnaire , un gen/ital de division
deux génémux, ct ttoi§ adjudqns génetaux. A

 

  
  
  
 
 

.‘wc

 

.34 .

 
  
   
 
 
   
  
 
  
  
  
 
 
  
  
 
 
 
 
 
  
  
  
  
 
 
  
 
 
  

  

 

 

*Q‘m‘. w-” \ K v _

C)

[21‘

AA.‘.4

7”- lerrre des représenmns dn peuple 3i
veliues , annonce la prurl nine levée'clu sié
:lJ’rlllliEl‘GUC. Houclini‘d a pris l’irnnezni cn llar c
cr 1:: sabbule cl’imporrance. Ce sour les term-s
(le lo. le‘rrre.

On (lecrere one le comiré dc sfireré-ge’ué-

l""

0Q

itle sera reorganise er ses ineinbres reduirs
{I Q.

Barrera fair decrérer que les secrionsne s’as-
scmblcronr plus que la jeurli erle diinanrlie uepuis
slicurc's jusqufi dix, que les ouvriers ftmnr
consrarer leur presence er reccvronr 4o sols.

Dumonr écrir que le nombre des einigrés qu’il
a fair arrerer dans le déparrcmcnr do. la Som—
me esr c-n si grancle quanriré, qu’on 'diroir qu’on
lcs Cliasse de leur rum-ire 3. il a fair incarcerer
64 prerres réfracraires. .

On envoye 91 la convention tin-:1 vouures
Vcl’or er d’argcnr vennnr de Lille, rrovcnanr
rant dos égliscs de la Belgique que des _dé—
Pnrremenrs du Nord. On a arréré 51x millions

destinés pour Toulon.

Jourdan esr nonimé commandant en clicfcle
l’armee (les Ardennes. Dumas rempluce Del‘bec
morn 2i l’arniée des l’yi‘ennées.

On rend deux décrers [clarifs 31 l’arme’e révo-
lurionnaire de Paris, er :1 l’npprovisiounemenr
de Paris qui sera. repute comme une place
,de guerre.
Sc’cmre du Mardi IO Septemlvre.

La municipaliré de Ioigny a fair arrérer les
gens susPccrs , le déparremenr de l’Yonne lui
a demanclé compre de ses motifs , la municipa-
liré a repondu que la loi la dispensoir dc cerre for~
maliré.

Dijon fair des prépurerifs miliraires pour se
porter sur Lyon.

Une letrre clu chef de l’érar—major de l’nr—
mée du Nord, fair parr que les Anglais onr
éré forcés de lever le siege de Bergues , at par-
raur , d’abandonner l’nrraque de Dunkerque.
L’ennenii a ére barru rrois jours de suite. Le
Pays, dir la lertre, esr abominable .pour 12
metre, on me s’y bat pas, on s'y puignardc;
{so succes est pour celui qui attend. Nous avons

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pris i l’ennc—ini quarto clrzpeaux, cinq pieces cle
canon, des caissons, des bagngeS', nous leurs
avons fair plusicurs prisonniers, enrr’nurres un
général Hmiovrien; norre perte esrncie pen (ie
chose) nmlheureusemenr 1e siege de Dunkerque
esr levé, je dis nullieureusemenr, reprend la
lcrrre , car il eur coure clter aux Anglais, si on
Mon '1‘“ leur coupcr 1:1 termite,

Line azure lerrre fair parr de succes encore
plus grands. Nos arniées our pénerre clans [:1
Fiandre maritime Avnnr de poursuivre, ira-r-
0:1, comme dans la clerniere campagne, faire
une gueire clievalei‘esque, ofli‘ir la liberre :‘r
dos penples qui :1 la premiere occasion nous
abanuonneronr, ou s’emgarem-r-on (les depouilles
des palsis er des monasteres pour nous inclem.
niser cle la guerre P ces deux questions sonr ren~
voyées nu comiré.

r1 bureau, rcprésenmnr du couple pres l’ar—
mée tics cores de Brest, inforine par une lerrre
(in 5 que les rebelles, maltres (lu pour cle (Lé,
inrerrompoienr les communicnrions de nos ar—
mées, mais ils onr éré arraqués er debusqués,
envain ils on: renré de rebrcnrlre leurs posres,
ils n’onr pu en venir :‘i bout.

Les représenrans du peuple i Arras écrivenr
que le general de la division de Cassel, leur
mende que l’ennemi esr débusqué de rous ses
posres , que le mouvemenr combine de routes
les armées du Nord, Commence avec succes ,
er que les nouvelles levees servironr d’arriere-
garde-

Le maire de Carcassonne informe la conven-
tion que route la jeunesse cle cerre ville s’esr
levée en masse pour aller exrerminer les Espagnols

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