xt7v6w96bc1x https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7v6w96bc1x/data/mets.xml  France  1800-01-17 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French Paris : De l'imprimerie de Meymat, rue des Moineaux, n°. 423  This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 L'Ange Gabriel, Journal Politique, Historique, Littéraire, etc. (Numero LXI.), Septidi 27 Nivôse, an VIII, [17 January 1800] text L'Ange Gabriel, Journal Politique, Historique, Littéraire, etc. (Numero LXI.), Septidi 27 Nivôse, an VIII, [17 January 1800] 1800 1800-01-17 2023 true xt7v6w96bc1x section xt7v6w96bc1x )ré,
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EJANero

JOURNAL POLITIQUE,HISTORIQUE,LITTERAIRE

 

EREEL,

3

 

T win, szmt onmz'a , ct z'lnsum [er

(lg/innit];

in omnem pnrtem so
ARISTOT. l. 1. dc C0310.

 

 

 

(II-InI'r/gILc. ——~ [Vomilmlion (Zu

iVom'el/es Q/flciellcs d’Egu-ptc.
vi” a - [h' . . ,

—— .le/ramons sur la "Fit/‘6 du muzzstre do [(1. pol/(re,

dc l'l‘ntél'fezu‘.

”é/zc'rnl €012,301'ilur'zi’état Bl'mze (m comumnrh’mflnt d9 l’ar/née d
b . . , , . . , . . A ‘ .
—— firm; general (16 la nomination (In cnrr/nml Balsa/72,1, (L la c/mn‘e pong/£501”,

—— fllouvc/nens dos armées. —— lVozuvel/es diva/‘50s. -—— Variélés.

 

Slc'q’es (‘1, Paris , ct son nowrzau (Iii/var; pour [a
/ I'Ouesr. -...

relnzfqmment (m. dl'lzcr des jacobins de Lyon. —— Situation.

 

 

 

Ce four/ml qui pm'oit tous les jot/rs, est: dz; prim
,moclzque. do 1 1 jimzcs pour trolls mois ; do 21'[i‘(LILCS [70m-
sw mum; et (le 40‘l/I'flr/ICS pour an an franc do) port. 012
sem [III/'9 (It? 116 sunscr/rc qua flour un ”Lois , en, [HUI/.1145
(fl/1.017, e/ww'e [as [extras et Tang‘s/Lt, ”mono/H's, (2

v i , ‘ ~ . t’ .
lad/€538 (In directezn‘ rle [Ange-(Jubriol , rue du Cune—
nere—AAAILJI'e—des—Arcs, n”. 9 , (‘1 Paris.

 

 

 

_BEPUBLIQUE FRANQAISE.
filozwemens (les armées.

Un corps de huit 31 dix mille hommes de I’armée de Tar—
nrles descend de la Souabe sur les bords du

”‘ Meiu; déjh lo 10 deux régimens d’infan terie ct 600 bussards

'avoiunt pris poste enlre Francfort ct Cassel. Trois humil—

lonsde troupes (le ligne mayeuguiscs et un escadron dehus-
sards so rendoient i1 la méme destination. Les chasseurs (le
Spessert , qui sont les meilleurs miliciens do In Ievée en
masse , devoient se réunir nu corps oulrichlen qui se ras—
semble entre le Mein et la Nidda. D’un autrc coté, l’on ap-
prend que les troupes détachées do l’armée du prince Chain

es y out élé remplacées par deux régimons d’infanterie ve—-'

nantde la Bohéme, ainsi que par 4 bataillons de croates.
Plusieurs aulrcs corps qui sont en marche de la Hongrie
étoient attendus dans la Souube. Les feuilles prussiennes
elles—mémcs assurent que les espe’rances do paix s’évanouis—
sent , et qu’on ne parvwndra pas h s’entendre.

La Bussie augmente décidément ses efforts pour soutenir
1a coalition. L’arme’e russe qui est clans L1 Bohéme a com—
mencé (1635 lo 3 nivose, 51 se concentrer pour se porter en—
suilo sur le Ruin; _et on In passoit eu revue uprés avoir
distribué des piéces d’équipeiuent , dos habits ct capottes
fouruis par l’Autriche. Aprés 1a revue , qui devoit durer
qualre jours, i'i devoit y avoir quatre jours do repos; et
C’est 1e 1er. janvier, 11 nivose , que cette armée a'dfi s’é—
branler par divisions, en parlie (I’Egra, en pzu‘tie do VVa‘ld-
meuchen , pour ~so porter par le haul; Palatinat vers 1a
Frunconie. Chaquc jour une division do 3 21 4,000 hommes
a dL‘i so mcLLre en marche 5 ct c'est in travers 1e village de
chnitz, sur le torritoire de Barcuth , qua toute l’armée

doit passer pour so rendre clans 1c bailiiage Bamborgeozs I

de Bottcnstein : c’est enlre VVurtyrhourg ct Aschal‘fcmboul'g
que l’arme’e doit se rassembler de nouveau pour marcher

au Bhin. La nonvelle arme’e russe qu’envoie Paul 191'. 'en~
trera, dit-ou , on 1301161118 16 17nivosc, pour suivru la méiuc
route que la premiére.

L’ou apprend qu’eu Italie, le géne’rai autricilien Klen'au
fail venir ii lui dos reufo: ts , avaut quo dc fairs do nouveiles
teizlalives sur Génes. Son quartier—général n’en étoit pas
éloigué 1e 4 nivose; ii e'toit 31 Rocco, Ct 6000 h‘ommcs
uvoieut passé ce jour—‘ih méme ii Pluisance pour alier le 1”—
joiudre. Les frauguis sont inexpugnables au passage de la
Bocchetta: c’est ce qui paroit ([écidcr 1e géuéral autri—
chieu 21 péuétrer en force jusqu’il Goues par 1.1 riviérc du.
Levant, afin de forcer Jesfraugais d’aluu‘idomier la Boc-
chetta et toutes les positions de l’Appunin liguricn. On
avoit commencé les travaux pour le siége du fort ([e Gavi,
mans la riguour tic ia suison :1 tbrcé do iossuspeudre. Les
franguis on). regu dos bfitimeus cliai'gés (10 grains ; mais les
auglais qu-i croisent sur les cutes do‘iu Ligurie [our on out
enlevé plusieurs. La disette qui continue dans la riViére du.
Ponent fail; nugmouter la déserlion.

Dans le Pie’nlont, plusiours mille hommes de troupes au—
trichienncs et piémoutaises se sont nvancés (1e Suze vers
chaux ct Exilles. Les frunguis out uu peLit corps daus les
environs do (jusana et Féui]. Lcur garnisou do l“c11cstrolles
a élé renforcée (lo 700 ‘houunes. Uu‘d‘élachement franguis do
400 hoxumes gurde lo passage du col de Fencerellus ct do;
Piccarello.

Situation de Z’I'ntérieur.

En ouvrant it l'inslant notre correspondance des départe—é
meus dé I’Ouest, la morne lristcsse qui tout—il—coup a cou—
vert ccs contrées so répandjusqu’ii nous , ct s’éteudra sur
tous les fruugais que l’humauité n’u pas totalement alum-
donnés. Encore une fois cllcs vonl.‘ étre l‘ransformécs en.
champ de butaille ou des fraugais conibattront coulre des
fmnguis; eL champfle batmlle unjourtl huij ulles no serouL'
plus domain qu’uu immense amas (legumes Ct 1111 vaste Cl—
iiietioi'e- Depuis l’ouvorture (les conferences de l’ouaucé ,
nous mande—Lrou du Morbihan on date du 16, nous nous
livrions £13351)in qu’clics seroient slug/les ld’u'ne pamlicntion‘.
solide. Toutcs lees nouvclles qui nous veuowut d’Ann‘ers ,
d2: Rennus et dc Nantes, s’accordoieut it dire (pro les c loses
pronoicnt 1:1 incillcure tournurc. Enfiu , lo 12' on nous
man uoit (lue 1e traité étmt cough). :1 in satisfaction ,(_1u gé...
nérai He'douvillc 5 clue cc tram: venom: d’che euvoyé Ra:

 

 
  

 

  

 

 

 

1m courier extraordinaire an gouvwncmont pour étre ap—
prouvé par lui; ct lo 13 , tout le monde regardoit la paix
commo assurce. Ceprndant on no concovoit pas pourquoi
in division anglaise de six voiles do guerre, qui est dopuis
plusicurs jours daus la baye do Quiberon, mouillde dans
Toxcollente rude qu’on 1101111110 [0 Pure, entro l’i-sle do
1101101: et cello do [It‘d/c , continuoit, lorsque le toms lo
pei‘mettoit, de faire des debarquemcns do munitions , do
chm/aux ct 1néme d’lioinmes , pour ics royalistes. On su—
voit qu’un pcu plus an large il y avoit (i0 21 7o bi‘itiincns an—
glais qui y étoient encore le 14, ct qui portcnt cortuine—
ment des troupes qu’on croit (titre dcs russcs. EuIin , le 14’.
an inatin, on apprend quc tout étoit rompu , que les hosti—
lités reconmiengeroicnt lo, 15.19011 apres, lo Incinejour, un
courier apporte la nouvelle (pie l’armistice cst prolongée
jusqu’uu 25. Le soir du meme jour , Ie general royaliste
Georges , arrive do Pouancé i1 son quartier—généml de Pon—
1lciit , pros le Lourg do Grandcluunp , a trois lieues d’Auray,
(ct aussitot il donne l’ordre it la division (pl’il commando e11
pcrsonne , et que l’on dit forte de 5 a 6:000l10n111105 , do so
ionir préte :1 partir pour une route un peu longue. Effec—
‘tiveinent, clans la nuit du 15 au 16, cet~tc division est partie
avec armes, bagagcs et canons, sans que lcs habitans du
Pays aient pu deviner qucl Cl‘lemin cllo avoit pris. 011 savoit
sculeincnt qu’elle ne s’e’toit point portée sur les Cotes du
Morbilian , ct qii’il n’en rcstoit pas un seul homme dans ics
environs. Le courier de Nantes, en passant dans le pays

1e matin meme du 16 , assura qu’il on avoit été do meme do ,

la division do Desol qui occupoit lo territoire de la Roche—
Sauveur; i1 1’avoit subitenicnt abandonné dans la méme
nuit. Cos de’placemens lnystérieux et subits out donné libre
cours aux conjectures: a cellos que la craiute faisoitmalgré
elle , l’espoir venoit aussi mélerles sicnnes. Quelques per——
sonnes pensoient que, par une suite du traité qu’onsup—
Posoit eonclu ‘a Pouancé , Georges conduisoit ses troupes
aux frontieres ; d’autres croyoient qu’on n’avdit voulu que
(leipayser ces divisions en les menant en Normandie , d’ou
l’on feroit venir cellos uiysont, dans le Morbihan at 1:1
Loire in tifrieurc que col es-ci ont abandonné. Il est d’autant
plus impossible do savoir rien des secrets de Georges, (Iu’il
11’a point do secrétaire, qu’il donne ses ordres ot [hit ses
(lépeclies lui—m'éme. Ce jeune homine est i111pénetrablc. Scs
troupes ont pour lui 1m tel devouement , qu’elles le rc~—
gardent comme le plus brave , le plus loyal et le plus geno—
reux des chefs do cliouans; les re’publicains meme qui 1e
connoissent, lui rendent cette justice. ‘

L’on apprcnd d’uilleurs que le -1< , les cliouans qui occu—
poient la rive gauche do la Loire ont passe cette riviere

‘ . , l
sur des bacs 1e 19 , pres de la Roche—Bernard, et sont ve—

nus du cote de la rive gauche, pour suivre vraiseinblable—
mcnt la meme destination que ceux dont nous venons de
Parlor. Une dorm—brigade re'publicaine de' 3,000 honnnes ,
partic do Nantes pour Vannes, a été obligée do s’arre‘tor
par cette raison t1 la Roche—Bernard; ct 1e commandant
Grosbonetoit parti do Guerande avec de l’artillerie pour
'proteger le passage des répulilicains. , .

Des nonvelles venues d’Ille—et—Vilaine scrvent it expli—
quer tous ces mouvemcns sur lesquels les conjectures
s’exercoicnt avec une si Juste inquiétude. Nous apprenons
par des correspondances en cette partie, que le 18 11 s’ef~
fectuoit trés—certaineinent it l’emboucliure de la Vilaine , 31
8 lioucs de Redon, 1111 dobarqueinent d'anglais et de russes;
quc les chouans avoient coulé bas plusiours bateaux pour
couper toute communication avee lo Morbihan; et que 5,000
répnblicains étoient l‘etenus par des chouans it la Roche—

Sauveur comme a la Roche-Bernard; pendant cc de’bar—
/

 

‘ nisés, armés, en état de rassembler pr.

(2)

quemont. Voila done l'es conjectures fixées. Pres do 50-
voiles , écrit-on , operent ce debnrqueinent ; de tout’es
parts on reclaiue dcs secours : on a écrit i1 Nantes pour en
avoir. Les republicains qui sont envoyos centre 005 nou—
veaux ennemis, sont invites de se souvenir a la fois do Qui:
boron ot de la I'Iolland'e. ‘

Marts n’est—il pas 21 craindre qu’cn meme terns il ne s’opére
dcs délmrquemens semblables clans la baye de SL—Brieux.
On écrit que los mega/nous sont mnitrcs des communes
maritiines , d’ou ils ont cliassé les douaniers; qu’ils com-v
muniquent avec les unglais, et leur payout en grains, les
munitions qu’ils on regoivent; qu’ils sont ortiliés, orga—a
‘ ‘ 'em‘eut 10 it
12,9‘00 li_ox11‘111es, efid’attaqucr av‘ec‘succés .——Brieux, et
de faVfir’isor 1111 second débarq‘uement sur los Cotes duNord.

Dans le cléparteinent de Loir—ot—Cher, ils font tous leurs
efforts pour anéantir l’effct qu’a produit la proclamation
des consuls. Ils réunissentleurs forces , entassent‘ leurs 11111—-
nitions et font collecte d’argeut, d’hommes et de cllevaux.
Ils y ont quatre caisses pour y recevoir les sommes ([ue
leur apportent ceux auxquels ils out promis toute sureté
lors‘de to reprise dos liostilite’s; et ils distribuent de cet ar~
gent aux prétres, qu’ils empéclient par—lit do fairc la pro~
messe do lidélité it la constitution. L’esprit public est telle—
ment détériore’ dans ce de'partement, qu’enplusieurs en-
droits , on y tient 21 honneur (l’étre appele' c/Louan.

Nonobstant ce que nous venons do (lire, d’aprés nos emu
respondances pre’cises , unjournal ([u’on soupcoune un pcu
ministe’riel, les Ifomlnes Libres , affirme que des nouvclles
certaines , arrivées hier au soir, s’accordent a promettre
1a pacificalion des departeinens insurge’s; qu’il est vrai ce<
pendant que le Morbihan oil Georges commando , rc’sisto
toujours ; el; que cette pacification n’inspire pas asscz do
confiance pour négliger les mesures dont la perfidio unglnise
fait un devoir an gouvernement. Les nouvelles de ce jour-
naliste sont beaucoup trop vagues p'our nous rassurer contre
les fuits positifs dont nous venous de rendre compte.

P A R I s , 26 nl'rdse.

—-—Le journal officicl donne auj'ourd’huila correspondance
du premier consul avec l’Angleterre , et il dit r/u’fl It'cn, ga—
ra/m't pas l’auli/Lenticité. Qui done pourroit 1a conlirmer 011
la déinontir? Mais i1 ne sauroit la nier.

—— Sicycs a porn tout—a—coup 21 Paris pour déconcerter les
oonjeetures'; il a meme preside lo sénat conscrvatcurle 2 ;
et pour les faire renaitre, il est encore reparti subitement
1e 25 pour la cainpagne.

-— Les consuls ayant arréte’ le 24, 1°. que le nom do l’ar—
méc d’Angletcrro seroit change on colui do l’armée do
I’Oucst, at 2". ([110 lo general Bruno. conseillcr—d’etat,e'toit
nommé general on chef de cetle arme’e; ,‘qu’il partiroit sur—
Ie—cl‘iamp pour se rendre au quartier—géneral do cettc ar—
mée et en prendre 1e c0111n1andement,le premier consul en
donnnnt connoissance de cette nomination au eonseil d’état,
dams l’assemblée du 25, s’est exprilné li—peu—pres dans ces
tormes: (< Vous venezde fixer lo regime dos paysou la cons-
titution est suspen'due, Les pouvoirs étcndus que- lo regle—
ment institue , 111’ont 'paru no devoir étro déposés que dons
la main d’ung‘énéluf-mngist/wt.J’ai nonnné Ie general Bruno;
dans un moment, i1 va so rendre a so destination; hientot
il reviendra se placer parmi vous. Jo donne avec pluisir' cot'te
marque de coniianee et an conseil — d’etat et au gc'néral,
Bruno , qui sans parlor de ses services antérieurs, en a déjb.
rendu d’importans clans le eonseil’. )3 '

Le general Bruno a repondu : (( Comma conseiller d’ét’at’,
comma général , je suiis flatté du choix du premier Consul.

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La tiche qu’il m’impose CSt1)énil)le;lD{1lS clle est ntile , is
any soumcts. Réunir les l'rangais, (piclipi’ait dte’ lenr ope
nion passee ; combattre ccux (pie la raison n’a pu éclaircr;
pardonnor a l’egaremeut; tcls seront les principes _do ma
conduite. Mais .ie no perdrai jamais do vue (pie la foiblcsse
cst emu-mic de la moderation commode la stabilite ._ et que
c’est par elle que lcs répul)li