xt7vx05x9v9c https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7vx05x9v9c/data/mets.xml Noël C. H. Poujade-Ladevèze, J.-H.-Alexandre France Noël C. H. Poujade-Ladevèze, J.-H.-Alexandre 1797-11-21 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French [Paris.] De l'Imprimerie du journal, rue des Pretrès S. G. l'Auxerrois, n° 42  This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Courier du Jour, 21 November 1797 text Courier du Jour, 21 November 1797 1797 1797-11-21 2023 true xt7vx05x9v9c section xt7vx05x9v9c 5 re-’
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V I Q1} '1',

Du premier FRIMAIRE an 6'3. de la Républiqun franeuise. —- Mardi 21 Novembre 1797 ( v. at. )

 

 

:S’L‘ance (la la c/zcmzbre des communes. - Discom‘s (In M: Pill —- Arrélé (la (Iii-401mm rclulr'f aux étrangers non
"Mu'iéS ([ui [oi/'étemlcrzl‘ (‘L dos places. —— I’éulzon J14 L-iloyye/z Grim-aria , (la/is lagudle i1 denmmle (z fairs
son, scptzvéliw voyage ail/rim lors dc [a célébrizlion (la [a Jew de la paix.

 

Mi

 

NOUVELLES ETRANGERES.
ANGLETERRE.
Land/'33, 1/} novembre (2’; brumaire. )

Dans 1a Seance de la. chambre (les communes , du 10,
‘ l’adressc £1 presenter au roi , envoyée par la. chambrc (168
pairs, ayunt été lue, Slr John Sinclair Proposa do me
l‘adopter qu’avec un umcmlement.
_ Cetle adrcsse , selon lLu, contenoit des expressions
«You You pouvoit inl'éror qu’il ne devoit pas y avolr de
l fin a la guerre. ll prélendit que son s'lyle 'menagunt et
hautaiu ne convenoit nullementa la Sltuahon des dcux
PayS, at us pouvoient-produire aucun bon ell‘et. ll cen-
f aura la conduite du nmnslére clans les négocrallons dc
' Lille. Il soulint que les documens gu’on avoit mis sous
les yeux de la chambre , ne prouvorent Pas , comme on
l’avangoil dams la declaration et l’adresse , que le direc—
toire no hit pas clans l’intenlion dc fairc la paix; que s’il
Profes‘soil 1e dessein de renverser notre gouvernement,
c’éioit puree que nous avions fait 10115 nos efforts pour
renvcrser te sien; mais qu’en meme tems i1 ne témoi—
gnoit aucun éloignemcut pour le rétablissement de la
aix cl do l’mnilié, pourvu quc nous renoncassions a nos
Projets subversifs (le 51 constitution. L’orateur ‘désuoit
I done qu’on supprmu‘xt dc l’adresse les expresswns qui
annoneoient une animosité (éternellc; ct qu’on y éclarz‘rt
que (lbs quela France s'eroit disposée a trailer 2‘1 des
conditions raisonnables, nous ne nous refuserion‘s pas a
négocier , et que nous espérions que cc pourroit encore
étre avec succes.

Le lord Temple déclama avec beaucoup de virulence
contre le gouvernement actuel dc France; i] dit qu’il
avoitconeu quelque espoir (le pacification , tant qu’il
avoitvn lesprogres que la moderation faisoient en France;
mais que cet espoir s’étoit évanoui aussi—tot quc 1e Parti
modéré y avoit e'té renvorsé; qu’il voyoit infiniment

lus de danger 51 conclure la paixav'ec lcs présens regu—
laleurs de la France, qu’a continuer la guerre. Il decla-
roit done que iant que son gouvernement seroit sans

si,al)iliié,sans principes, sans lmxnanité , tel qu’il I’d-toil ,
ill s’opposeroit it tunic espccc do négoclalion ; qu’en
consequence il voloil, sans restriction, pour l’adresso
proposée. '

’Le cliancelier dc l'éclliquier se‘ lcva alors, et apres
avoir’, dans (163 tonnes lrés-mesurés, désaprouvé Ics
avis égalmnent exagérés , en sens coalraire , (les deux
préopinans , il prétcndit qu’un exaznen altenlif de (out
ce qui s’étoit passé dans les négoeialions de Lille, sulfi-
roil pour prouver que leui‘ ruPture devoil étre impulée,»
non an ministere britanniquc , mais £1 l’ennemi-y que ce
ministers: avoit porsisln’: dens ses ell‘orts pour oblenir la;
paix,tanl qu’il uvoit conserve le plus léger cspoir d’y réus-
sir d’une maniére compatible avec l’llonneur, la diguiié et
la prospérité de la patrie; qu’il déploroit plus que pet—
sonne les calamités do la guerre , mais que sa continua~
tion tenoit uniquemenl a l’unimosité implacable , l’insa~
liable ambition , aux pretentious insoulenables du gen--
Vernement frénétique de France.

ll chercha ensuite a combattre les craintesqu’avoit ex-
priméesle noble baronnet . sir John Sinclair, ctlui prou~
ver que le parti auqucl on éloilobligé de recourir , con—
formément a l’adresse proposée, loin d’étre le gage d’une'
animosité éternelle , dcvbit produire un efi'et tout opposé.
« C’est en considérant , dit-il , que c‘cst 1e gouvernement
et non le peuple dc, France qui est 51 bli‘lmer , que nous
concevonsl’esp‘oir d’un changement dc circumstances plus
furorables 21 nos vmux. 0651 en eITet un tableau désolant
de voir s’élever sur lcs ruincs dc certain's principes , '
(tout élranges , toulcllimériques, toul illusoirés qu’ils
aient pu étre ) , le systéme (1e l’usurpution la plus
criante , do l’injustioc la plus révoltante ct de la plus
atroce tyrannie qui aitjamais souillé les pages (1e l’llis-
toire ‘et déshonoré les unnales du momle‘ Ccpendant,
quand nous observons que c’cst a la fatale influence de
ce sysléme que l’on. (loll atlribuer les miséres qu1 appri-
ment In France, et les calamilés qui mcnaccntl’Europe;
quand cette hideuse ct (léleslable lyrmlnin est rcgardée

' comme la cause dos malhcurs que nous déplorous , il 11’}!

a 31115 a redouter cclte animus-ltd éte‘ruelle, Onpeut sc Li:

 

 

 

 (2)

vrer deuo‘lveaui: l’cspuir d:- in pub: 5 ct Ics bm‘nes (lcsnos-
'tilités soul ressmw'wm an 110:: tliéll‘c ctcnducs. Aocusons—
nous la France cniicrc \le l’injnsticc one 395 tyranniqucs
régulaleurs out commise ? Détruisons-uous toute possi~
bilité (1e réconeilizition ? Non, assurément. It n’ya pas
un mot dans t’adrcsse qui rcspire un esprit d’animosité
petpétuelle.

.APEéégfflfiéidle-ille sortie , M. Pitt convint qu’il n:
formdit pas (le voeu plus‘arclent que celui do voir I‘CXIVCI“
sex‘ 10 gouvernement actuel de France, avec lequel il
croyoit impossible dc conclure une paix honorable pour
l’Anglelerre ; mais protcsta quesou renversemeut n’éloit
pointl’objet dc la gnome, (tout. la continuation pm‘oissoit
inévitablell entra cnsuile dams dc [res—longs details Sltl‘

.Ies négociations de Lille , s’cfl'orea (1e prouver que les
plénipotentiaires l'rnncais n’y avoient apportt': quo dela
duplicité, ales lenteuxs :xil‘eetées‘ ,nn mépris insultant (les
formes rogues , n’y avoient énoncé que files pretentious
derisoires , tainlis quc le lord T‘y’tulmosbury, (toutilfit en
passant uu pompeux éloge, y uvoit donne des pveuves
J'eitérees de la sineérité et drs intentions paeifiques dc son

gouverneuient. > U (-tala toute l’importance cles sacrifices
qtie laGrande-Bt tague at'oit oti‘crts llC-s le commencement
rtes em. l"-rcnrcs , en préscntant nu projet dc traite (lont

il out :3 facile all: rcmplir les laeuncs , si les plénipoten-
tin ircs fruitcais avoien t voulu remett-zrc lcur auntie—pro} ct,
si long? toms ct si vainemcnt attendu. A eux souls (loit
(sire isnplutée la rupture des négocialions , malgré lcnr
alfl-eMtiun (L‘n'isoire 51 roster it Lille , cu feignant

ct’y attitiulx'e le retour du pléuipotcnliaire anglais, qu’ils
anoicnt renvnyée en Angletcrrc. L’e‘nnemi , selon lui ,
éto:t.(l;\;"c olénias‘qué. Scs pretentious étoient incompa»
’liblr'j avec la [dignité (1e la Grunde—Brctagne.Lespapicrs

qui vnoizrnt d’oh‘e rendus publics , mettoient an jour
u l’ax-rnpyince , 1a Violence , lu duplicité , non du pen—
» ple l'mncais, non de tout le .. )uverncment de France,
n imajs dc quelques uns qni font partie de ce gouvcruo-
)) merit, qui en posseclent présez'itemcnt toute l’autorité.
Observes, poursuivit cnsuite ilI.1’itt, quel est to but
do v05 emunnis. ils n‘cn veulent pus EL votre prospéritt': ,
a vos colonies occidentalcsfii Volre territoire clans l’Inde,
3 YOU"? gran leur nuiritiine, a la vaste étenllue do vott'e
eznpirc. Non ; lcur objct (‘SL do (létruire l’e‘sscnee do votre
liberté , lcs fonflemens (le votre indépendance , 1a citau
delle de votre prospérité, votre constitution. . . .. . .
Ils l’ont eon—memes Llécla é. [ls ontdit que votyc gou-
veruement C! L: tour no pouvoient co—exister. S’ils ye—
lloicnt parini vous‘ , its 3' apportm‘oient , avec leurs
armées euva‘hissaniesmettc grands. pcste dc l’liumanité,
1o génic de la liberté t'yancaisc , ectlesource féconde de
tous les mulheurs (la la société . caphble (l’entmincr la
suhvcrsion totale rlo votre constitution , qui fail: avec
., 1a lvur , un si l'atnl contraste .Bientot , 31 la place do to
magnilique edifice , vous vcrricz un monstrc hiclenx (pie
iiun ne poun'oxt satislnirc que l’anénntissemeut‘ do la
libcrté britanniquc, de ces principcs glorieux qui ont
fail. dc yous lanation la plus brillant’e ct la plus heureuse
del’fliitqpe. Nous expliqucrons—uous avec dopureils en:

nemis , (tans un style uni sen’tblcroit Conjurer lcurs fu— ..

reurs 'z’ Dans do tcllcs circonstances, craiiulitousmnous
on run drums—nous (le di’sclurer, d’un ton mule , fenne
ct (11w ;, (pic nous voulons nous d-Lt‘endre?. . . .. Ilene
his pas scrupulc do déclaxer que si je croyois quc ecito

qucrclle ne (tittpas avnir pour nous une issue favorafite ,
je dimis qu’cllc vaudroit encore mieux , avec ses plus
funestcs résultats , quc notro acquiesccmcnt aux .de-
mamles 6c l’ennemi , puisqu’enfln une chance quelcon-
que doit-étre proférée it une ruine certainc. Si done nous
prismls nos propriétes, notre liberté , nosloix , notre
pouvoir national 3 si ‘ nous faisons quelque cas de tout ce
qui a contribué ou pent. contribner a notre bonlteur , et
meme 2L notrc sureté , nous devons repousser ees deman—
des avce indignation. Runs 3' sommes tous intéressc’s ,
dcpuis la plus élcvg’: jusqu‘au plus obsoux‘. Il n’est .aucun
dc nous , quelque multipliées que soient ses jouissauces ,
quelque étendues que soient ses propriétes , qui n’en
(loive sacrifierla totalité pour s’opposer ala violence do
l’enncmi; aueun , quclque modique que soit son revenu ,
qui ne doive étre plot a saex'ificr sa vie pour la méme
cause. C'est une (lotto qu’il nous faint payer a la poste—
rit‘f: , aussi hien qu’a nous-niémes, (le conserver intaste la
dignite do nolrc curaclcre dams les pages L16 l’liistuire.
C’est une dc to quo nous (lCVOHS acquittcr envers la Pro-
vidence , qui nous 21 places si luiut dans l‘echelle tles
nations , ct nous ntérite l’adluix‘alion (le I’Eui‘ope, dout
la'plupar! des gouvememens torment un hem-cu}: cou—
ti'aste avec le notre.1\'osmoycnsclc salut sont encore en
nos mains; ct it aueun période de notre ltistoire , nous
n’avons prC-senté un spectacle plus iniposhnt it l’univers.
Nos ressources sont encore immenses gnotre commerce
est nn objet d‘envic pour les nations environnantcs. Les
avantages dont nous jouissons, nous l‘ilVOl‘lSCHL (-le—
mémcs lcs moyens ('l’cn assurer la continuation. Leurs
henreux auspices, j’ose 1e croire , nc nous abandonme-
rontjaniais ; ct j’cspere que l‘éclat ducaractcre anglais,
ne sera pas terni , ct maiutimulra notrc reputation nalio -
nale. Oui , vous ne rcnoncerez pasii vos (lcvoirs, envers
vous-mémcs, et envcrs la post-Griténii a la rcconnoissance
que vous devez a la Providence , a quelque extrémité
quc vous soycz réduits; muis vous enibrasscrez EH'CC
ardentl’accomplisscment (lo vos (lcvoirs , en vléclaraut
que vous étes disposes a soutenir votrc csrau‘tere , et de—
termines ii roster deli-out , on it lumber avec VOS loix ,
Vos liber gs et la religion dc Votrl? pays. >)

A )l'i's ce long discours. de M. I’itt , M. G. A. Pollen ,
et ensuiteM. Martin , donnerent dc gmmls eloges au

talent qu’il Venoit (1.0. ‘cléployer . y Joignircnt (le vngues

invectives contre la Fiance , ct app-1136mm l’adresse.

M. N. Edwards (bieu difi'crent cle M. B. Edwards ,
quant aux opinions) COlllbfllllt l’znnemlmnent, ct exalta
bcnucouples dispositions menacantcs des habitans ét'e son
comté enversles francais. M. Lloyd en lit ant-ant pour
son comte (le Flint. M. T. Tyrwiel‘tt , regretta que la-
niénflcmcnt pz'oposc par si:.Iol1n Sinclairmuisit EL Mina-r
nimité si nééessaire clans la chm-instance aetue-lle.

LelordCag‘ysl‘oi‘t tonna :‘i son tour contre ltfis tiangais,
e1 nl‘erciia 5 rassm‘ct‘ sur l'cnr projot. (lo descenitc.

LC Dr. Lewrence s’éclmutl'a bcuucoup en parlant de la
pcrfifiie, l’amhition il‘cla France, et. plus encore en excl-A
taut la, supéi‘ioltite navale llc l’Angleterre qui ax‘oit nus .
catte‘puissanee 51 la tétcwc'le I’Europe , ct conclut par in—
\‘tipt‘ htlssi M. Sinclaii' a iIthlll‘CT sen amentlemcnt.

VM. XYilbcrf‘orce insista snr ce moycn (lc mnmnordnns
la cl'zambre une pm‘fai te unii'l'ormité do sen timent,exprinut
ec-pémlant le vmu dc voiran‘ivox' l'vientot 'lc momcn-cou-
1a nation francuise , rccvuvrant sa raison , revicndrou é.

 

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[wit 5.

 

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ni'ag‘ocic-r (l'C‘ bnnne Poi, pour oistrn‘iir (nth: phi; (114i ,lL-Li
(:toit qneom plus néncssuirc qu’aux in "sis.

Enlin , sir Sinclair , cédant aux instanccs dos préopi—
nails , rclira son zlinenclcrncnt, eLl’zicll‘esse pussu sans
calitrz'ii'liclinn.

M. John Nicliolls qui s’étoit tn clans cette sénnce ,
ninsi que les untros mcmb'res tres- pen num'ureux dc l’op-
position, a [hit insérer aujourd’hui( 11k novenibre) (tans
lcsjouruaux, une. lettre pleiuc .de chalcur qu’il écrit 21
M. Pitt. ‘

Le g) , pendant que la populace alloit it la. {Etc civique
do Guitlllilll , unc picrre cassa, une glace ale lu V‘OltLU‘e (10
M. ])L111Ll11$ , clans laqnelle as ti‘ouvoit J’I. Pitt.Au mémc
moment, :iniinéu tl’uniautre sentiment pour in lord D-m-
cun 'et la Viec—uzniral Unslow , la populace dtételoit lenrs

Chev-aux ct trninuit leur voitttre ju “ n’au lieu dc la fete.

Le vice—ninirnl lmllanclais l’teintjies , fait prisonnier

t5 21 l’all'uire (in 11 newbie , mourut hier (lo 565 blessures.

V 505 cuinpnlriotes , ins amirrtux de Winter ct Il'l'unier ,
vont obtenir la lhcnlté dc retournei‘ duns leur patrie , Slll'
leur parole.

Nos mas continuent Si .n’éprouver aucnne variation
sensible (llepuis la 9 jus'lu’z‘i cnjnur 1"}; lo; consolidés 9L
Spout IOU, so smt maintains entre (if) et 43 cinq-liui~
tit-mes. '

REPUBLIQUE FRANQAIS‘E.

Bruxelles , 2G brumaiw.

& Les nntorités constitnées de nos départemens avoicnt
: pi'évu-lcs dispositions que le directoirc prescrit , dans
son dcrnicr arrété contre les ecclésinstiqnes (1135 diipartc-‘
mens rénnis, «Ini vi’imt pas prétt’: lc scrmcnt prescrit par
3: la loi; our ell'cs étoient presque tont‘es ,en viguenr. Au
"2 male , ii lit-Exception dc quntre églisrzs , cllcs sont toutes
sézinestrées on eutte ville I, {is :néinu lenrs biens—maubles
CililllllGublCS , ct ccux des nlnisons presbytérales qui
s’évncuent lea miss nprés les antrcs. Ill en Cat (le méme
(lans tnutes lcs communes rurales de nos environs,
a'nsi qua (inns tonte l’étemluc de la ci—devant lielgique.
Il~est plus qua juniais question rle déporter en masse les
‘ membres les plus influens du clergé beige , qui se'sont
prononcés contra la soumission :mx‘ lnix tie la repub'liqne.

Nos autorités constituxées‘, anssi birn qne l'es pnrtien- ‘

liers , interprétcient, en faveur ales absens belg-‘s , l’ar~
x. little IX dn traité (It paix , portant (1n: u dims tins les
‘ pays Céilés , scqnis on éelmngés pzir’lc. prés -nt tsnité , il
sru‘a accot' é :1 tons les imbiians gt propriétAn-os‘ quelc in-
ques, main—levée (lu séqncstre inis snr leursbiens , .etl'cts
et'revcnncs, ii cause de la guerre qui a. eu lien entre sa
Innjt-sté impérinle ct roynle, ct in republiqne t'rangnis‘e ,
,. sans qn’z‘i cet (Sgard ils puissént éa're inq :ié’tics ‘daws'l'e‘jrs
5 biens on perszinnes. n Delfile brn‘i‘ttrén ilcmcnt répnndu
Que le (lircctoirc executifavoit iInl‘o'rn‘u': le's adininistm—
tions CCUll'fllCS que , dés-lnratification tlc cutie-ltd, elses
pourroi'e-nt accnrtlsr la réintfgratiun 51 tons pen): tips :11)-
1" sens qui In ,ilein:in.'l_eroienit. Celtc version so tr: 763 (1(3—
mentie parnne lettre éerite par le niinislredé laijufstice
Lambrechts , .glont voipi la tencnr : V i
it La directoire exécntil‘, citoyén, est instrnit que de-
pu'is‘l’a'6'6’nnoissance'qti’on a enevl ms lea Llépartemens
réunis deila signature (lulu-site ile paix aveo l’empemunr .

iz‘urr Il’in<‘:i.rirlns,‘ct mémc (It: ionctimi‘fiififrqs

u) a -rn<é::r.t qu'nucun ci~