xt7x959c8x2v https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7x959c8x2v/data/mets.xml France 1799-01-22 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French Paris : De l'imprimerie de Meymat, rue des Moineaux, n°. 423 This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Le Publiciste, Tridi 3 Pluviôse, an VII, [22 January 1799] text Le Publiciste, Tridi 3 Pluviôse, an VII, [22 January 1799] 1799 1799-01-22 2023 true xt7x959c8x2v section xt7x959c8x2v PUBLICISTE. T R ID I» 5 .Pluviéso , ran VII. , Ilienve publique donnée par le granrl-seigmmr (‘1, l’nmbgssmleur d’Anglele/‘re. -— Délails (lace gui s’est“ —- Proclunmlwn du ge’nérul do division. Serrurier an entrant .5 de Tom-mu) et de la répubhgue de Luvqucsr—Démils sur"l’évacualion de Livourne P ome pendant [e sz‘joul ales Nfipolitfli/Ls. yerriloire (in grand (luv as .anulitaius. --— ZVom/elles diverges. , e prix de la. souscriprion est de 12fr. pour trois mois, r. pour six mois , 65457121901” an an. 4’ es Loix et Arr'élés du direvtoire son; distribués aux soriptcurs sans augment ition de prix , clans (ll-s demi— zlles qui puroisserit aussi—tét qu’il y a assez de ma- es pour les relnplir. ‘ » es lettres at [as abonnemens doiuent étre adressés , no de port , au directeur du PUBLICISTE , rue des JlIai- ux, 11°. 425, butte dos Jlfaulins , [1 Parts. , W..- T.U,R Q U I E.” De Constantinople, le 20 frimaire. pencer Smilh , ambdssalleur (155. M. Britannique , em 1 de ce mois son audience publique du grand-Visit W 15 , il fut admis é celle du grand—seigncur; elle eul avec tout 1c céfirémonia’l uéilé-i la, Poi-ten Dans son ours ,.lfarnbassadeiir a rappellé {les ancicns trailés qui t l’Angchcrrc A la Porle .; il s’esL félicité d’une circons- ce qui va ress‘errer encore ces eugagemens. Sa haulusse ‘ pondu dans les tonnes les plus all'ccmch , {EL a assuré .4. Spencer Smith qu’cllo coopéreroit de loutes ses forces ' suC‘cés dos enlreprises qui ont melivé les nuuvellcs sons formées entre les deux puissances. pros lc repas qui Se dunno clans le divan, avant l’au- nee du sultan, 8C 0C1 le minislrc mange avec le grand- ir, on servit , conlrc l’usngc , le café. Le grand-scigneur galemantvdonné rm témoignnge d’amilio plus, inlimc, prenam lui—méme, (les mains (in grand-visir, la leHre mi d’Anglcterre qu’il est du corémonial usilo qne minislre pose simplement 31 la gauche du ermc do 5. H. La Porte ii’a recu jnsqu’z‘t ce moment aucune nouvrlle ielle des événcmcns qui onL dfi succéder 2‘1 l’insurrcction . Cairo. ‘ 0n attend incessamment une escadre anglaise sous Ics rcs de sir Sidney Smith. ‘ I T A L I E. Extr'ait d’mze lcltrc de Rome , du 10 nivose. -La liberté de Rome n’a cu qu’un intcrrcgne de seize Voici en abrf-gé l’llisloire de ce qui s’csl passé dans I, intervallc. Le 7 lrimaire , les troupes frangaiscs se rcli~ rent tranquillemcnl par la porlc (lu Pouple, landis que 5 Nupolilains, euli'oieut par cello do Saint-Jean. La. dur- ‘ ‘3“ are classe (lu peuplc , lrompéc par l’csprErance do vnir culfit rcnailre l‘abontlunco , alla an-Llcvant de ces (161‘- pm St lil. dos (lrnidnslrulions do joie. ivDc I'Ol 'de Naples fut applmdi a son entrée. ll avail \ \ fait publicr, avant son arrivée , un édit daté du camp dc San—G-crmano , par lcqncl il annongfit an peuple qu’il nagermt bicnlot clans l’abondance; maia l’ellL-L ne répon- _ dil pas aux promesses. [465 troupe; napolilaines épuisercnt bieiilbt le peu dc viy‘rcs qui rcstoit , ,8: le peuple man- qna (1c pain. S. hi. {it arréter tous ceux qui éloicnt in- diqués par les émissaires ou par les partisans de l’an— eisn gouvernemnnt. Les suldals napolitains 8: la mul— titu-dc on massécrcrent unc cinquantaine dans les rues. Aux armes‘de la répub'iquc romaine , on substitua d’abord cellos du Pape; muis il y euL centre—ordre, 8: on mit a, la place cello du roi dc, Naples. Le 13 frimaire , il y eut une alarme. On fit metlre en arme cutle' pal-Lie de la garde ‘urbaine qui ‘avoit voulu suivrc lo Chevalier Valentini. On arma de piques, dc pis- tolcfs , 8w. la populace (les quarLicrs do Transichre 6: do 'Mon'li. Celte lroul.-e' réuuie aux Napolilains 5c pox-la d’abord vers Ponte~Mollc : elle 'menaqa'ensuite le cha— lean Saint—Ange ; mnis deux coups dc canons sulfirent pour l’écarter. Lc roi 8: toute sa suite s’étoicnt disposés a, partir ; les voitures éloient pr‘étes. Le gouvcrnenicnt pre- V‘isoire publia cepcndanl dcux proclamglions pour assu— rer le peuple qu’il n’y avoit aucun sujct d’alarmes, & qua l’inviucible armcc (lu roi libérateur protégeoil la ville. Le 15 , mg' d’Osseri , vice—gércnt de Rome , fit publier nne invitation pour célébrer _un triduo cn l’honueur de l’immaculée concept/Ton, comme la moillcure manicrc dc rcmlrc graces é. Dicu dc la délivrance de Rome. Lc com- mandant de la garde urliziinc fit. mac proclamalion par la- queue il eugaguoil lcs fidcles romuius £1 s’euréler dans les hou es na Oitaucs- a'~ ‘3 ~' = - Nupglitainspai'oicxit Lléin‘ai i“;cliielnsloiiliiaeulgeéflizz-(i:esgtmd. L03 . ‘ i . . _ - \- ., ou ap- prlt biculél lem‘s dlil‘aites 2‘1 Tenn, 51 Forum , a Civil;«‘ Cistelluna , ii Olricoli, Pic. Le Ioi me so crut plus en sCu-eté 5i ROmc , 8L nnnonca , par une “Ollfiddllun du 17 , qu’il alloit nlcltrc son quarlicr-géncral 51 Albano , aliu qu’il suit plus :‘a porléc de défcndre la Ville. Le 19 , on lil; partir les équipagcs dc l’arméc, 6: le 23' les Napolitaim avoient onliércmcnl évacué Home. Lo com— missaire do guerrc Malville 6: lo commandant de la gardc uz‘baine , le Chevalier Valentin , publicrcnl dcs proclama— lions pdur mainlenir le hon orrl-rc duns la ville. Les grands é:liles reprircnl.’aussi-lél. leurs futiclions, Ex’ lireut les dis- positions pour empéchcr qua Rome in ffit livrr’ec £1 l’anzzr- cliie. On iguoroil alors l’elat (les armées. Mais lc lando— muin on sut quo les Franoais étoicnl: sous lcs murs de la. villc.‘Aus§i-‘Léllc drapcau tricolor fut arboré dans l’académia~ (2) dc France. Les grands édiles nommerent un nonveau com- mnmlant (le la 'garde nationale , 6L prirent les plus sages mesures pour assurer la tranquillité & les snbsistances de la ville. Le commandant du chdlean Saint-Ange , Vallerre, pril provisoircment lc commandementde Rome, on l’avanL— garde do l’armée francnise enlra le méme jour. Les proclamations du général Cllampionn‘et annoncercnt que la république romaine éloil délivée de son ennenii , 8r achck‘crent de ranimer la conflunce dcs amis de la li- bul‘lé. Du 15niuose. -- L’armée francaise est toute enlicre sur le terrilou‘e napoliluin , {St occupc‘ lcs hauleurs qui avoisinenl Capone. Elle ne svra pas arrélée par les‘ délices de cette ville jadis fameuse; mais elle l’a élé dams sa marche vicloricuse par les mauvais cliemius. Elle sera sans doute bienlfit :‘1 Naples , on l’on est dans la plus vive consternation. On y a fait prendre les atmes aux inzzaroni ; mais ‘malgré leur nombre 8c leur grossiere afl'cction pour le roi , 1e tréne de Ferdinand est bicn chancelant , s’il n’a pas d’autres appms. . , ‘ On nous annonce l’arrivée prochaine duciloyen Dubreton , quiremplace le citoyen Arcambal comine commissaire- oxdonnnlcur a l’armée de Rome. De Marlene, [.2 1‘2 nivdse. Proclamation du général de division, Serrurier, commandant 1m corps de troupes fi‘anpaisvs, d leur entrre dans les édats tlu grand—duo ‘de Toscane elf de la république dc Luz-qucs. ‘ - Le général en chef de l’armce frangaisc m’ordonne d’en- trcr dans les états'dn grand—duo dc Toscane , non pour y porter la gnerre , mais ponr en chasser lcs Napolitains &. lcs Anglais , qui s’y sont établi's conlre la fo'i‘ dcs trai‘tés. J’yrdél‘cudrai les pcrsonnes 5L les propriélés; la. formc (lu gouvcrncment y sera mainlenue , {Si la rcligionvrespeclée; que lo grand—doc (1e Toscanc éloigne dc lui toule influence enncmie, 8t il pourra reslcr lrunqnille clans ses élals». anquois, jo vous lc,répole, is no Viens pas pour délruire les gouvcrncmens; vos personncs , vos propriété , voire religion seront respeclécs; mais , an reste , la. uonduile dc votre gonvernemcnt réglera la micnnc. Au guarlicr-général dc Modene, le 8 nivése an 7. Signé, SERB (mum. De Liuourne , le ,15 niuése. Le 11 nivose, on annonca qu’une colonne de troupes rfrancaises , commandée par le général Scrrnriar, éloil cntrée snr le territoirc toscan , 8: se dirigeoit sur Livonrnc. Le soir mé‘me, le général napolilain fut z‘i Pise on se tronvoit la conr (lo Toscane, il en revint £1 minnit. Le lendcmain matin, la garnison commenca 'qnelqncs pré- paratifs do défcnse qui répandirent l’alarme pnrmi lcs liabi— lans. Chacnn sc disposoit :‘i quitter nne ville que lo délire nnpo‘lil’ain alloit lincr aux calamités (l’nn siiige , qmnd licurcusementvers le soir parut une notification (in général napolitnin, qui annoncoit qua, dél'éi-nnl aux vives inti— mations rln grand-due, la place alloit élrc (-vaonée, l‘z cs dispositions so fii'rnl on conséqucnce. Manfi'cdini nvoil élé joinrim le général Ssrruiicr. Le '13 , en apprit qne lcs Francois avoienl..ralenli lenr marchc. Le shit on sut qu’ils avoitrnl ronscnli é aban— donncr Ia Toscane , dés quc lns napolilains auroicm. cvacné Livonrnc , b’: que 13 port ne seroit plus_bluqué. Hicr 14 , on fit circuler une copic cle la nolo mim" tériolle. , communiquéc 3: tous les agcns diplomaliqnux a. prés de la cont, 6: porlant z‘i—pen—prcs cos paroles rema, quables (i La paix dc l’cmpercur {‘1 dc l’hmpire avccl » républiqne francaise élant conclue , la ncnlralilé dc » Toscnne esl gal-antic par lcs pen-lies (onlraclemlcs ». ll fnlrloit cctle lcgon frapp‘anle an pcn ple Loan; pour} désubuscr sur le compte dcs Anglnis. 1'! rcc-mnoit bicn prcscnt que ce sont eux qui on! mis lal'i‘oscamc snip! penchant dc l’abimc. EL les Napolitnins; . .. ! il fulloll cu ‘ lcndre ici lcs oflicicrs 8: soldats : flirzludctta [’amma,‘ iVJson, s’écl‘ioian-ils, mf‘me nprcs lcur di‘barqnemc" ll {lint voir dc quelle inunirre ils déscrlent Pour all joindrc lcs Franga‘is. ' Cos jours—ci , lns postes enliers des dcux portes dc} .ville sc sonl’ enfniq. Ce malin , on ”’21 ouvcrl les porlcsd la'ville qu‘a neufhcures , poor obvier aux dr-scrliom par tiulles qui se mnltiplioient. Les SOIdJLS s’aelrcswieutg toulcs les cocardcs francaises qu’ils renconlroicul dam! A ville, pour obtcnir la grace d’eire sous la protection de‘ rcpubllqne. Les suissr‘s sur-lont qui se tronvont rlzms le régimentd " la reiué , ne peuven! supporter l’ignominie dc l’nniforsr napolilain. Souvult dc faclionnaires, en Voyant passer dl Francois , s’i-crioicnt : vivent [es putriutm.’ (HIP/l8 sun Gen nero Vuol esser patriuto. Enlin , si on lcs laissoil fuire,l général napolilain no retourncroit qu’avuc ses malades . ‘lk- ne sont pas en petil nonibre. L’cmbarqucmenl s’opere, E domain nuns espérons étrc débarrassés loul-é-fail. ‘ De Plot's-once, le 18 nit-'ose. Le roi de Sardaianc u’a ascncore déiassé Parmeml . . b ~ , . 11 est furl accuellli par le doc. Dans son demonagemm . rapide (la anin , il a laissé plusicurs obicls précieux qn’ar, lui auroit probablcmcnl permis (l’emporler ; mais il 13’: pas oublié plusicurs caisscs pleincs dc I'cliqucs , d’ngnus‘ dc scannlaires & aulres chases é'mlcinent utiles dans u . . a long yvoyage. DANE.MARCK.. De Copen/mgue, le 12 niuose. Notrc rade.& le Sand sont converts (3e glaces; ce qui empéchc presqu’enlicremcnl la naVigalion. Tons lus vais~ seaux anglais qui se trouvoienl dans la radc d’Elscncur, out mis :1 la voilé pour la mcr (lo-Nomi. P R U S S E. De Berlin, le 19 niuose. Un des motifs qui portent 1e roi it so refuser conslam- ment £1 entrcr dens. une nouvelle coalition , vparoit @lre la Corlilude on il est (Inc l’Anliiclie n’atlcnd qui: lc moment de nous Voir en guerre avoc la France pour faire sa paix avoc clle, 2‘1 quclqne p'rix quc cc soil; [‘1 nous laisser sunls sur la'sccne. La [)oliliquc do noh‘e cabinet est irop line pour {lonner dams im picgu aussi facile z‘i voir. _ Le roi (Hunt .indisposé , les plaisirs do carnnval onl élé rccnlés dc hull. joni‘s. On croit qne colic indisposilion n’css qu’nne ruse pour 5c (lérobex‘ aux cnnuycuscs fi-licilalious ; do nonvol an. La disgrace lanl. sollicilée du ‘minislre comle (ls Hoyln :i’a pas eu lien. 11 est plus c-n [lxvcur qnc jenmis; 8:: le‘ présenl d’unc [abalicre do So millc francs n’cloil ii'cu 6“ ; comparaison de la leLLre qui li'accompuguuil. 1‘ (5) flfinh. m; a. . rem“ ~ A‘ANG’111E'FER RE. Exlraz't (Wane [ell/'6 parlivztliargécrite de Land/'63, 112 1/} nivose. ucam gouvernemcm, ne cunnnit mien}; que le 11611? 1 (lo falw Inuqusu' uu succés 8x d’cuflummcr l‘orgueil uual , lursque quclquo uvantagc 5c préscute. EL cu ua t pas s'zulcnwul lcs .uiuislrcs 6L lus gens cu place , mans sunL aussi lus lmunucs privés, des llommes éclailés ue qui cuméluum-ul. Icsren'curs & lcs fulies popu- as, quand cllcs servant lcurs vues, V .m‘d If” convmmit rm jrjur qu’il n’y avoit gueres mmes de la multitude qui ne crussent qu’un anglais volt ballre £1 lui scul qualrc frangais. —-— Non-scule— t ccla. est ridicule, lui rlil un frangais:; mais c’est uourrissau‘t lag llniues inuiiounles , i1 cmpéche lc rap- éx opércr enlz'er lcs peuplcs. — Cxla est vrai , répondit rd; mais moire salu‘t {mrliculier es: encore plus prés ’mus que le bien gfiuéral dcs nations. Nous x-ious do réjugé populelire, mais il nous cal ulilu.-Comme il y ach fraugais conlre uu arzglans , ccla scrL 51 uuus rap— her un peu de- l‘oquiliiue. ‘ - Nil (pardonneznmi la comparaison) inonde m1 ce eul, l’empire (la la mods. com me la terrain dc l‘I-lgyple fcl’lilisaul. Tout est dcveuu égyluicn clans lcs vélc- Lvs furmes chungcnt; nmis la culle est le mémc. ourounes (le clléne avac 10 110111 dc Nelson , que les 3 out porlées quclque lcmx , sonL remplacées par Lles ls eupyramidcs. Les SPEI’JCBI‘S se_sanl truml‘ormés en 5 rayés dc (lifl’crcnles coulcurs, lels quc L's fummcs il en portent, :21 cc qu’assureul les umrchaudcs rde san porle aussi des ceinlurcé [I [a crumdille 7.1x IC,| pnnvts t‘z [’al/igntor. Aux coeurs 8L aux médai‘llons ‘ 8: cu picrreries, qm: lus [‘cmmcsravoiont suspcmlus clmiues d’ur sur [curs poilrincs , ellcs out subsli’lué dds ‘ ; Cc qui a (luuué lieu £13des joux dc mots qu’on ue > it. lracluire. Nos él guns portcnt anssi di-s cravnlics , rayécs en bleu; cur lc blcu , qui est la coulcur alelol ‘auglais , est 7‘1 l’ordx'e du'jour. REPU BLIQUE FRANQAISE. ' De B/‘uxellm‘, 'Z.» 30 nitwse. A marched’une parlie dcs lroubes russes VFI‘S la Bavicrc -ppm-ler des Clumgémen's (lam l'a silualion rlvsarmt"es “ .uses sur le film. La plupmt th‘s lx-oupm qui avoiant vemmL repassres sur la rive gauche, vonl rcluurner , s borlls (la la. Nidtla SI de la Lalm. Déjz‘a dim‘rens ' out éLé‘ reprendre lcurs posiiiom Slll‘ la rive (lroite. cominue 51 (xcrcv-r la plus auti‘ve surveillance au- Wh, la fortex'csse dKEllrenbreilslein. On vieut 'eucure {or uu individu qui CllCl'CllOlL é s’y jnlrorluire. Ill -0nduit £1 Coblt-nlz , (You ll sera transféré £1 Mayenm'. lelh'es dc \Vescl porienl que, le 2?) (16 cc mois; line 'arrivé é Minrlcu , en “’eelplnlie , uu géuéral prus— ‘7 ‘cnzml dc Bu'lin nvec dcs‘ iusliuctivns qu’dn (lit I'm-t 1. élé James. Aussi-lél apr‘); sou arrivée', Ious lbs géni‘raux u’css ”"8 d’ubsu'wliun se sout ausmnljlés cu conwil de Cc gt'méi'al (lmt sr: ranch-9 le 25 A ‘Vvsul , Lila de cello llldCC) dnut la gzunium est doublée Z'i m‘l lmuve d:s umgasius (l’ufln‘nn'idonue‘uuxls puur six StalVilHl. les inf-mus avis, l’élcclcnr (lr .5un a dnuué .51 un corps do lrnupes, composé (lc quinzu mille ‘, de'sc tcuir [mil :1 mal'nhcr. On yréleud qu’il menl paix snub , immense. Les lranspoi'is se succbienb avec est (lesliné é ullcr joiud're I’armée d’Empit-e sur led bards (In l..ccl1._ L’expédxlmn comre les rcstes épars dvs rcbdlos de nos ’ l , - I _ , l v v; ) 7‘7‘\r I ' departexmns SV‘LHJlln-h, awe sn-chm Cuaquc wur on g” dé‘u‘uil d1: pmli cs lumzlcs. llss généraux Béguinut ts; Llal'flml _ moutrcul la plu~ grands aclivilé dams lcum opé—mlions. Les ; troupes nu sum z'chuéccs m par le fi'Old m parla fatigue V l . Le nouzln'c dcs cons-nus qui arrivcut en ceUc Ville est, rap‘dxté. Uu nombre conndcraulc d ofimcrs ES. dc sous-ohmlers sum, cm— ployés , dam ceile commune , 51 exercei‘ ce-He jeuuesse qui ' n’atlend‘ que le momeut favorable pour se signaler. ‘Dc tou§ lcs bclgcs qui out t‘ics c.1pilaux'sur la banquc (39 Vlennc , ll u an 8511119 nu qul sougc asc coufurmey- a 1’0,— ,. ’I‘ l f ‘. L . 1 : dunnance du cabinet autrichieuQ C’csl ici 1m .concert dc - H 0 ' ls r~ ~‘ ) my 5 l: ... .- - . , . re u“ PMWDE "”9 e an F“ u 101 m t” 0 1a ’wr . maledlchous cunlre 1:1 maiszm d’Aulnclxe; . . , . . ' ration u’cn aclléve as moins la ruine d’une I'ande .v _ mnenl que la ralson If: l’humamle dcvrunrnt (lli‘r- ! P g ‘1“411 mais son opé- tiLé dc famillcs qui se Lrouvoul réduiles 51 la xuiserc. DE I’dkla, [r 2 plzwio’se. L1 rigucur de la saison n’a permis de marquer'la file d’aujourdlxui par aucuuc cérémoni'e extérienrr. fifuis e119 :1 me célo’brée dans rmmmc du Tum/Me (la [a r'iczuire ' (ci-dovmxt S.1i11t-Sulpice ) avcc , la sulemuité acouumméc : (x (foxlfonnl'nu‘ul uu programme que nous en uvous impri- mé ll y a quclques juurs. Les membres du dix'cJoire , les ministres , tuulcs lcs aulorilés couslituécs , beuuroul) de gunélaux, dc militaln-s , 8t un concours 'uulnbreux de ciluycus s’y éloicnt rcudus. Le ecrmru‘. d;- lmiue a la ruyaulé K {1 l’anzu‘chic , a élé d’absml [mi-{é Ina:- le'prési— den! du direcluirc , BL réixéié avec eulhuusiasmc pay muse l‘afiscmblée. Nous fn'ons conn'oiLre le dificours que la Ré-n 3W'5ll'x:rc:Lépaux a plononco it 06 sujet. 11 a été viv‘cmunt applaunli —— Le bruit s’cst .répnmlu hier -qu’un courier d’Ilalie avail. appmlé nu direcluirc la démia‘Siou du général Jo“... bm‘l , ‘du commissaix'e Amelol , 8t dc l’ambassadcur Rivaud. On no (loune uucuu divtuil sur ccllc uochllc Vraissemblablc. lrés-p; M -——Le cik 'eu Balm , que les gnzclles étrangeres nous‘ monlreut on cnufércnces'a Vienna avcc l’empereur 8: le baron dc Tliugul , est, dilwm, 31 Paris, dans son lit malade SK furl soufl‘ranl. ——Ou assure! que 10 roi (16 Prusse vculml dormer uue uouvclle prruvc d'amiiié "u gouveruemen? fmncais. a écrit an cabinet de Loudrcs slu‘ l’afl‘lire des Irlandais’arrétés éliambourg , &' qu‘il a dcmaudé leur libcrlé. —_ On sail que Berlllier & Louis Buonaparle onl abordé £1 Tareule , (myanme dc Naples) comma sur une ten-e amie. Le cupilaine de leur vaieseau, él peiue revenu de sn sux‘pri'ae, n rcl‘um" de se rendre; 81 par des manoeu— vz'os aussi lnbiles qu’audacieuscé , il a réussi é soxlir du port 6: :‘1 gngncr lc lmge. Apré= une lraversée oy-ngcuse , il est arrive dams uu dcs ports de la Cone, d’m‘t You a. on dcs IIIHIVullcs cm‘lainos Lles Voyageurs , quoique les dé— "H“(‘lI-‘JS oflicicllcs doul ils souL (:hargés ne soicul pas encore a) nvces. — Les pvlils~princcs H’Allemagne paroissent TéSOlefi :3 {Hire loul-a-fu't. came mmmune avec la France, l‘lll‘ét qua dc manque: l1p:xix,sanslaquellcils se senlcnl [IL-['(Ius. — Le duc rlcl l’arquc , un 605 plus grands Sl‘iqnnurfl d’Expague , csl. atlcudu sous pen 5 Paris. Ila (15*th passé Bayonne. I! rluit se )‘ezulre 51 Drcsde comma minislre dc la cutu' dc Liadl'id. I "(4) —-— Vingt-sept accuses , faisant partie do reste (lea chouans qui ont infosté I’Avcyi‘on , ont été jugés le 17 nivose. Cinq out été condamués £1 mort , dcux aux fcrs , 8: deux i1 l’cmprisonnement; ils sc sont pourvus en casnation. Depuis leur jugement , on a. fail: plusieut's tentatives pour les faire ovucuer. Un courier d’Italie a rencontx‘é , 51 Bologne , 1e roi do Sardaigue 8L son cortcge; il alloit, par Lucques , s’em— hartluer $1 Livourne. ' ’ -—-— Les troupes antrichienues avoient refusé le passage sur leur territoirc a Trouvé , so rendant 9. son nouveau posle de Slutgard. —-— Dix-lluit bfilimens Anglais sortie de Lisbonne pour l’Anglelcn'e , aVec deux bitimens de gucrre Sc un cutter,» om péri corps 6L biens sur les Cotes (le Galiue ; un seul est parvcuu 51 so sauver dans un petit port Pros de la Corogne. -— Uxi'aidc-—rle—ca;m1) (In fen lorrl Filz-Gérald a été arrété ' en It‘lande , au moment. on it s’étoit embarqué £1 Dublin sur un bfi'iment neutrc. —— Les émigrés fi-angais rcprennent , 1a cout‘ dc Polet‘sboux'g C U H P 5 C o N s E I L D E s Présidcnce du citoyen LECLERG ( de Seine Séum‘e dd 2 pluviuse. L1 salle éloit preparée pour la féte 5atu-(lesstls (lu bureau, sur une dt‘aperie écarlale, on lisoit cn’ lettre d’or , ces mots : La souveruineté réside essentiallsnmzt clans l’uni- wersalité des citqyens. Des flours, ties guirlandes , des festons, cles arbustes paroieut Vintéricur LlL‘ la salle. La constitution étoit posée ouvcrte sur la. tribune. Le conseil enlre an bruit d’une musique militaire & de plusieurs salves d’arlillerie. La musique execute divers airs pah‘iotiqucs. Le president prononce un (liscours , dans lvquel il voue é. I’exocralion , ZS: ceux qui voudroivnl 1'(:lul)lit' la royauté 8L ceux qui regretteroient les [ems (lo l’anaruhic. Il retrace le tableau dr: la tongue patience (les repu- blicains , kqui lung—{ems ont cru que la libel-to étoit com— Palil‘le aveo la royuuté, mais qui , touiuurs lrompés par un roi perlidc, out été obliges do Yonder la république 1e 10 not‘tt. La victoire n’a pas tral-ii leur courage; elle no l’a pas trahi dtrpuis dzms tous les combats: lcs iois (lo Naples 81. do Tum! sunl tombés ; l’orgucilleuse t5: traitresse Au—i dit—on, du oiédit £1 LEGISLATIF. CiNQ CENTS SCOise). glelcrrc tonthct'o (le méme. Ce discouts‘ sem imprimé it dnuzn exemplaires. Le pri‘tidrnt préte le sermcnt de lmim: £1 la royauté 8: 2‘1 l’anarcliic; & d’attacliemcnt SC do fidelité a). la 11':- publique 8t 31 la constitution de PM 3. Les membrcs, l’un aprés l’auti‘e, prétcnt lc meme ser- ment. La sallc- rclcntit des cris dc Viva la Rtrublfgue. La musiqne exécule divers airs putriotiques. ()u cliante les airs , Dim; dcs l’cuples ; Allorzs enfims CONSEIL nns ANGIE-N5), Présidence dn citoyen G- A xutjr. Séa/zce dun pluuit’iae. A midi, l’artillerie 6: 1e son (lea fanfares ale trompettet , annoncenl l’ouvcrture de la Seance. La sallc test decon'ee do fastens de vet-(lures ; la tribune est couverte d’uu tupis do velours cranioisi , sur lequcli’ est place 16 livre (lo la loi. ' ,l 'I’G/‘lm Le president, apres avoir tracé le tableau des crimes qui a’é‘, Ont ctmdamué Louis in l’écllut'aud, compare les jugemnns qui ‘ [4: out condamné Charles I“. 8:. Louis XVI. Le roi d’Anglelcrre . .. . di’ fut: assassiué par des séditieux ; Louis XVI a été jugé par les l‘eprésenlans immédints do la France. La commission. qui prononoa sur le sort Lie Charles 1‘” , éloit toute devouécj é Crochl , pas une voix no se fit. enlcudx'e on l‘avmlr; do l’uccusé qui n’eut meme ni (lofn'iseurs ni oonseils. Dans, la convention nationale , an contraire , les opinions fun-cub trés—loug-tems partagés , 8L ce ne l'ut qu’apros lo dépouillc-i VXLe fi‘l—- meut du scrulin , qu’on reconnut que quelques voix scum 'comu lenient emportoient lat condanmaliou. Les eonseils 8t let? des a defenscurs-dc Louis furent choisis parmi les gens les plusl F)” ’QRIG, eclalres de to nation. L’un d’eux avott été , a la Veritc, mnnslre sous l’ancien regime -, nuns il éloit révéré par salg, ‘I’a‘r'h‘ probité 8C 565 luxnieres. Le second , celui qui siege clans? "Fl” celte enccinte , est célebre parses vastes cnnnoissances dam get ‘1‘ la jurisprudence 8(1).“ un jugement exquis. Le troisiemeI y la!“ (’1‘ qui s’étoit acquis déja unegmnde reputation dans le l)arreau,'- EL ‘ étoit clxargé de répandre dans le'pl‘aidoyer la chaleur & 19355 le pathétique qui convcnoit 2‘1 la situation. V-ous voyez' ' d3?” Vmgt . qn’il n’y a. aucuue analogie entre le proces de Charles 13.1; a: celui dc Louis XVI. ‘ It; , : Gin-at ajoutc en terminant: Louis n’étbit pas né pourlt V crime , mais il trouva une couronne dflns son bcrceau, ll I la royauté pervm‘tit en lui lcs heureux dons qu’il avoit ' reous dc lzi'nature. It avoit témoigué éi‘plusieurs époqnu dc ea vie son aversion pour le m’ensonge SC 121 peifitlie. Mais les maximes corruplrices des cours lui persuariuutt ‘ i qu’on ne pouvoit conser'vor un .tréne que par les vices it i les crimes , EL la perfidie lui parut un bcsoin fit 16 mensouge V une vcrtu. : Garet préte le serment de haine 5.1a royautéstk A l'a-~ ' narellic'. \ ‘ ‘ Le corps dc musique exéute les airs de la liberté , l'ar- tillerie so fuit cntendre. . -- ’ Les meaubrcs tuontent ,successivemc—nt i la 'tribunefi V' prélent le scx‘ment. La séance se leve an bruit du canon 8C Jes instrument ‘ I guen'icrs. - W— Corle dos lmx relatives d l’enrcgisfremcnl, timbre ct palm/H, contcuant la copie textuelle de ces trois loit, les decisions du mi- nistre (les finances sur les patentes , _& uue table mmlytiquc & par . lettres ulpllztbotiques (les dispositions do la loi sur l’cnregistremcut: per lo citoyen ltippert‘ Prix , 2 fr. 50 cent. pour Paris at 5 tram» .t‘r. tle port. A Paris , chez Saunois , rue (le la Loi, n". 1251. ' On trouve it 121 méme atlrcsse & moyeunant lo meme prix,l€ ; 'i LC: de la I’alric,‘ 18 0/1“,” (In 0‘73”” , 8L0. Code hypnlliecaire, par le citoyen Rippert, employt': duus la réglt‘; Ln Seance est levee aux cris de vive la Iifi'publigwe 8L de lemeglmcmeut & dcs hypoquucs' ptié I an bruitdu canon. A'. Fl‘lA 1C oo 18 de [N ‘ hoblc I . l - ' -: roit c autrc De l’lmprimorie de MEYMAT, rue ties Moineaux, n". 425.